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Aujourd'hui, après cette acquisition, qui devrait être bientôt validée par les autorités monétaires, la BCM affiche sa volonté de devenir le premier conglomérat de l'industrie financière au Maroc.
Lors de la conférence de presse, tenue hier matin, au siège de la BCM, les deux protagonistes, MM. Khalid Oudghiri et Saâd Kettani, respectivement P-D.G de la BCM et P-D.G. de Wafa Assurance, devaient, tour à tour, confirmer ce rapprochement et expliquer les enjeux de cette mutation.
L'émergence de ce nouvel ensemble représentera, selon le classement Euromoney (se basant sur les données relatives aux fonds propres de l'année 2002), la première banque du Maghreb et se hissera au 8e rang africain, après les 6 banques sud-africaines et une banque égyptienne. La fusion définitive sera réalisée en octobre 2004, après la mise en place d'un comité de suivi entre les deux institutions.
D'un bout à l'autre de la conférence de presse, les deux responsables ont souligné leur volonté commune de contribuer au développement économique et social du pays, à promouvoir une véritable bancarisation du Maroc, actuellement située à seulement 25 %, à soutenir le développement des PME-PMI et relever le défi de la mondialisation.
Ils ont décidé de mettre en place un nouveau conseil d'administration et un nouvel organigramme qui intègre les attentes de leurs employés et leurs managements respectifs. Ils ont également décidé de créer une banque d'affaires commune.
Lors de la conférence de presse, tenue hier matin, au siège de la BCM, les deux protagonistes, MM. Khalid Oudghiri et Saâd Kettani, respectivement P-D.G de la BCM et P-D.G. de Wafa Assurance, devaient, tour à tour, confirmer ce rapprochement et expliquer les enjeux de cette mutation.
L'émergence de ce nouvel ensemble représentera, selon le classement Euromoney (se basant sur les données relatives aux fonds propres de l'année 2002), la première banque du Maghreb et se hissera au 8e rang africain, après les 6 banques sud-africaines et une banque égyptienne. La fusion définitive sera réalisée en octobre 2004, après la mise en place d'un comité de suivi entre les deux institutions.
D'un bout à l'autre de la conférence de presse, les deux responsables ont souligné leur volonté commune de contribuer au développement économique et social du pays, à promouvoir une véritable bancarisation du Maroc, actuellement située à seulement 25 %, à soutenir le développement des PME-PMI et relever le défi de la mondialisation.
Ils ont décidé de mettre en place un nouveau conseil d'administration et un nouvel organigramme qui intègre les attentes de leurs employés et leurs managements respectifs. Ils ont également décidé de créer une banque d'affaires commune.
