Aaroub est un homme très sévère envers sa famille et arrogant envers ses ouvriers agricoles. M’barch quant à lui est un homme pieux, très solidaire envers la communauté. Il se dévoue pour monter des projets d’entraide à vocation socio-économique dans un esprit de solidarité.
Suite à une demande en mariage de la fille de M’barch qui lui a été refusée, Aaroub dévoile alors des sentiments de haine envers M’barch ce qui l’amènera à conduire son troupeau paître dans les champs cultivés de M’barch. Il s’en ira dévier le cours d’eau d’irrigation de ses terres pour son bénéfice.
Il ira ensuite labourer les terres qui appartiennent à M’barch, avouant vouloir se les accaparer, il ira jusqu’à barricader une piste empruntée par les villageois et M’barch prétendant que la piste faisait partie de ses terres.
Exacerbé devant les abus de Aaroub, M’barch s’en ira ensuite se plaindre à la Jmaâ et au Cheikh pour se voir humilié par ces derniers avant de décider de vendre tous ses biens, pour aller s’installer en ville. Après une transaction de vente il sera la proie des voleurs qui lui déroberont argent et troupeau. Le fou énigmatique, qui subissait les exactions de la part de Aaroub récupérera ce qu’a perdu ce dernier pour le lui restituer. On découvrira alors que le fou n’est autre que le neveu de Aaroub qui a été spolié de son héritage par Aaroub lui même et qui avait été même torturé jusqu’à perdre la raison. En lui rendant argent et troupeau, Aaroub périra après une crise de délire où il montera les prémisses d’un début de folie. Plus tard, le fou ayant retrouvé toutes ses facultés, se mariera avec Ayada, sa cousine, fille de Aaroub.
Cavalier seul
Faisant cavalier seul au sein de sa propre société de production «Ifrane film 2000» en l’absence de toute aide ou subvention que ça soit des collectivités locales ou des deux chaînes de télévision nationales ou autres, notre jeune scénariste et réalisateur de ce troisième cours métrage a décidé de se lancer dans ce nouveau défi de la production cinématographique nationale tout en espérant trouver des sponsors potentiels capables de participer au financement des dépenses du film en question conformément aux dispositions des textes en vigueurs à savoir le Dahir de 1985 concernant les mesures d’encouragement aux activités culturelles, scientifiques et médicales et la note circulaire 671 de la direction des impôts du 04/11/1985.
Suite à une demande en mariage de la fille de M’barch qui lui a été refusée, Aaroub dévoile alors des sentiments de haine envers M’barch ce qui l’amènera à conduire son troupeau paître dans les champs cultivés de M’barch. Il s’en ira dévier le cours d’eau d’irrigation de ses terres pour son bénéfice.
Il ira ensuite labourer les terres qui appartiennent à M’barch, avouant vouloir se les accaparer, il ira jusqu’à barricader une piste empruntée par les villageois et M’barch prétendant que la piste faisait partie de ses terres.
Exacerbé devant les abus de Aaroub, M’barch s’en ira ensuite se plaindre à la Jmaâ et au Cheikh pour se voir humilié par ces derniers avant de décider de vendre tous ses biens, pour aller s’installer en ville. Après une transaction de vente il sera la proie des voleurs qui lui déroberont argent et troupeau. Le fou énigmatique, qui subissait les exactions de la part de Aaroub récupérera ce qu’a perdu ce dernier pour le lui restituer. On découvrira alors que le fou n’est autre que le neveu de Aaroub qui a été spolié de son héritage par Aaroub lui même et qui avait été même torturé jusqu’à perdre la raison. En lui rendant argent et troupeau, Aaroub périra après une crise de délire où il montera les prémisses d’un début de folie. Plus tard, le fou ayant retrouvé toutes ses facultés, se mariera avec Ayada, sa cousine, fille de Aaroub.
Cavalier seul
Faisant cavalier seul au sein de sa propre société de production «Ifrane film 2000» en l’absence de toute aide ou subvention que ça soit des collectivités locales ou des deux chaînes de télévision nationales ou autres, notre jeune scénariste et réalisateur de ce troisième cours métrage a décidé de se lancer dans ce nouveau défi de la production cinématographique nationale tout en espérant trouver des sponsors potentiels capables de participer au financement des dépenses du film en question conformément aux dispositions des textes en vigueurs à savoir le Dahir de 1985 concernant les mesures d’encouragement aux activités culturelles, scientifiques et médicales et la note circulaire 671 de la direction des impôts du 04/11/1985.
