C'est à El Oulja en effet que des jeunes de l'institut Zhor Azzarka proposent d'implanter leur village touristique. Ce choix est motivé par la présence du fleuve Bouregreg dont les eaux permettront de couvrir les zones représentatives des océans.
Toute la terre sera représentée avec ses plaines et vallées, ses montagnes et ses déserts. Tous les pays seront représentés selon une échelle qui correspond à leurs dimensions géograhiques réelles. Cette maquette en miniature permettrait au visiteur de tout savoir sur un pays donné, son positionnement sur la carte, ses principales villes, ses monuments, ses us et coutumes, ses spécialités culinaires… Le visiteur pourra même acheter des produits à l'occasion de sa visite à chaque pays.
Prenant comme exemple de ces pays Cuba. «La Perle des Antilles» sera représentée comme dans la réalité ou comme l'a décrite l'un de ses illustres fils, le poète Nicolas Guillén «un long crocodile vert avec des yeux d'eaux et de pierre» selon une échelle qui répercutera ses 110922 Km2. En franchissant les frontières de ce pays, le visiteur aura l'impression qu'il est au cœur de Cuba en découvrant, par exemple, la même effigie gigantesque de Ghe Cuevara dominant la place de la Révolution.
Le visiteur découvrira l'immense plaine cultivée qu'est cette île avec ses abondants palmiers et d'autres espèces végétales les plus connues. Pour l'habitat rural, il découvrira le traditionnel «bohio», cahute au toit de palme, qui garde encore la faveur des paysans. A la Havane, il fera connaissance des guaguas(autobus), des fameuses boutiques cubaines où les femmes ménagères achètent à des prix dérisoires leurs allocations mensuelles de riz, d'huile, de lait, de café…avec la fameuse Liberta, la carte d'approvisionnement.
Le touriste trouvera sûrement La bodeguita del Melio (cave du milieu). Il aura l'occasion de contempler dans cette vieille taverne rustique qui constitue à Cuba un grand rendez-vous des vedettes des arts, des lettres, du spectacle et qu'on ne peut absolument pas manquer en passant à la Havane, la statue de l'un de ses habitués, l'écrivain américain Ernest Hemingway à qui les Cubain vouent un véritable culte.
Il verra aussi tout l'archipel cubain comme l'île des Pins (alias Ile de la Jeunesse) et son millier et demi de cayos éparpillés, comme dans leur pays d'origine, comme une troupe de dauphins dans la mer couleur émeraude.
Il rencontrera de même des Cubains et comprendra des aspects originaux de la vie de ce peuple comme son irrésistible besoin de faire la fête et sa philosophie qui veut que toute occasion est bonne pour se divertir…
Le projet prévoit une estrade avec un écran géant pour les festivals Son et Lumières. L'objectif étant d'immortaliser des événements qui ont constitué un tournant dans la vie de toute l'humanité. Le visiteur pourra, lors d'une soirée de quelques heures, parcourir les détails d'un événement vécu par ses ancêtres. Il pourra ainsi revivre les scénarios des deux guerres mondiales, les pérégrinations d'Ibn Battuta à travers l'Afrique, la Chine, la Perse et l'Inde, accompagner le voyageur vénitien Marco Polo dans sa longue et périlleuse traversée de l'Asie via le Turkestan et le désert de Gobi, le navigateur portugais Fernand de Magellan dans sa traversée du Pacifique ou encore le célèbre Christophe Colomb dans sa découverte du nouveau monde.
La maquette du projet prévoit des ateliers photo qui disposent de posters reflétant les paysages les plus connues des différents pays que tiennent des photographes professionnels. Le visiteur pourra y mettre les costumes spécifiques de n'importe quel pays de son choix et prendre une photo à côté du paysage qui convient à sa tenue. L'espace réunira des habitants de plusieurs continents facilement identifiables par leurs traits comme les asiatiques.
Le touriste gardera une photo-souvenir vive et authentique. Et toujours dans le cadre de faire connaître ces pays, un hyper marché a été conçu pour la vente de tous les produits et articles (timbres-postes, monnaies anciennes…)
Une bibliothèque publique ainsi qu'une librairie internationale mettront à la disposition des visiteurs ouvrages et autres supports médiatiques traitant de chaque pays et embrassant les différents thèmes de sa vie artistique, culturelle et sociale.
Pour les initiateurs de ce projet, le rendement de ce village touristique est indéniable. D'une part, il participera au rayonnement du Maroc sur le plan international et d'autres part il sera le point de mire de milliers de touristes.
Aussi il ne manquera par d'attirer des investisseurs des 4 contrées du monde.
L'association convient toutefois qu'un projet de cette taille dépasse largement ses moyens et qu'il demande pour sa réalisation des fonds importants qui nécessitent la participation de plusieurs acteurs économiques et autres : «Nous avons juste élaboré l'idée d'un projet que nous estimons très rentable. C'est aux responsables de faire le nécessaire, c'est-à-dire, désigner des experts pour faire une étude, évaluer le coût de l'ouvrage et trouver des fonds de roulements», souligne Mohamed Benchekroun, directeur de l'Institut Zhor Azzarka
Reste à dire que le projet a été vu et apprécié par Yasmina Baddou, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires sociales chargée de la Famille et de la Solidarité et de l'Action sociale qui a promis de le recommander aux autorités compétentes.
Toute la terre sera représentée avec ses plaines et vallées, ses montagnes et ses déserts. Tous les pays seront représentés selon une échelle qui correspond à leurs dimensions géograhiques réelles. Cette maquette en miniature permettrait au visiteur de tout savoir sur un pays donné, son positionnement sur la carte, ses principales villes, ses monuments, ses us et coutumes, ses spécialités culinaires… Le visiteur pourra même acheter des produits à l'occasion de sa visite à chaque pays.
Prenant comme exemple de ces pays Cuba. «La Perle des Antilles» sera représentée comme dans la réalité ou comme l'a décrite l'un de ses illustres fils, le poète Nicolas Guillén «un long crocodile vert avec des yeux d'eaux et de pierre» selon une échelle qui répercutera ses 110922 Km2. En franchissant les frontières de ce pays, le visiteur aura l'impression qu'il est au cœur de Cuba en découvrant, par exemple, la même effigie gigantesque de Ghe Cuevara dominant la place de la Révolution.
Le visiteur découvrira l'immense plaine cultivée qu'est cette île avec ses abondants palmiers et d'autres espèces végétales les plus connues. Pour l'habitat rural, il découvrira le traditionnel «bohio», cahute au toit de palme, qui garde encore la faveur des paysans. A la Havane, il fera connaissance des guaguas(autobus), des fameuses boutiques cubaines où les femmes ménagères achètent à des prix dérisoires leurs allocations mensuelles de riz, d'huile, de lait, de café…avec la fameuse Liberta, la carte d'approvisionnement.
Le touriste trouvera sûrement La bodeguita del Melio (cave du milieu). Il aura l'occasion de contempler dans cette vieille taverne rustique qui constitue à Cuba un grand rendez-vous des vedettes des arts, des lettres, du spectacle et qu'on ne peut absolument pas manquer en passant à la Havane, la statue de l'un de ses habitués, l'écrivain américain Ernest Hemingway à qui les Cubain vouent un véritable culte.
Il verra aussi tout l'archipel cubain comme l'île des Pins (alias Ile de la Jeunesse) et son millier et demi de cayos éparpillés, comme dans leur pays d'origine, comme une troupe de dauphins dans la mer couleur émeraude.
Il rencontrera de même des Cubains et comprendra des aspects originaux de la vie de ce peuple comme son irrésistible besoin de faire la fête et sa philosophie qui veut que toute occasion est bonne pour se divertir…
Le projet prévoit une estrade avec un écran géant pour les festivals Son et Lumières. L'objectif étant d'immortaliser des événements qui ont constitué un tournant dans la vie de toute l'humanité. Le visiteur pourra, lors d'une soirée de quelques heures, parcourir les détails d'un événement vécu par ses ancêtres. Il pourra ainsi revivre les scénarios des deux guerres mondiales, les pérégrinations d'Ibn Battuta à travers l'Afrique, la Chine, la Perse et l'Inde, accompagner le voyageur vénitien Marco Polo dans sa longue et périlleuse traversée de l'Asie via le Turkestan et le désert de Gobi, le navigateur portugais Fernand de Magellan dans sa traversée du Pacifique ou encore le célèbre Christophe Colomb dans sa découverte du nouveau monde.
La maquette du projet prévoit des ateliers photo qui disposent de posters reflétant les paysages les plus connues des différents pays que tiennent des photographes professionnels. Le visiteur pourra y mettre les costumes spécifiques de n'importe quel pays de son choix et prendre une photo à côté du paysage qui convient à sa tenue. L'espace réunira des habitants de plusieurs continents facilement identifiables par leurs traits comme les asiatiques.
Le touriste gardera une photo-souvenir vive et authentique. Et toujours dans le cadre de faire connaître ces pays, un hyper marché a été conçu pour la vente de tous les produits et articles (timbres-postes, monnaies anciennes…)
Une bibliothèque publique ainsi qu'une librairie internationale mettront à la disposition des visiteurs ouvrages et autres supports médiatiques traitant de chaque pays et embrassant les différents thèmes de sa vie artistique, culturelle et sociale.
Pour les initiateurs de ce projet, le rendement de ce village touristique est indéniable. D'une part, il participera au rayonnement du Maroc sur le plan international et d'autres part il sera le point de mire de milliers de touristes.
Aussi il ne manquera par d'attirer des investisseurs des 4 contrées du monde.
L'association convient toutefois qu'un projet de cette taille dépasse largement ses moyens et qu'il demande pour sa réalisation des fonds importants qui nécessitent la participation de plusieurs acteurs économiques et autres : «Nous avons juste élaboré l'idée d'un projet que nous estimons très rentable. C'est aux responsables de faire le nécessaire, c'est-à-dire, désigner des experts pour faire une étude, évaluer le coût de l'ouvrage et trouver des fonds de roulements», souligne Mohamed Benchekroun, directeur de l'Institut Zhor Azzarka
Reste à dire que le projet a été vu et apprécié par Yasmina Baddou, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires sociales chargée de la Famille et de la Solidarité et de l'Action sociale qui a promis de le recommander aux autorités compétentes.
