Les membres de cette communauté abordent ce scrutin forts des expériences accumulées, une quarantaine d’années durant, par des générations successives d’immigrés qui, de simples spectateurs confinés dans leur fonction purement productive, se sont forgés une place à part entière sur la scène politique belge.
Cette place, les citoyens d’origine marocaine l’ont conquise grâce à la maturité politique acquise au fil des années et à la présence qualitative qui est désormais la leur dans les différents rouages politiques où leur apport à la réflexion et leur contribution au processus de décision sont indéniables.Marque de cette évolution notoire, les quatre principales formations qui ont coutume de se partager les sièges au sein des sept institutions représentatives (le Parti socialiste, le Mouvement réformateur, les Verts et le Centre démocrate humaniste) ont retenu, sur leurs listes à des emplacements variables - dont la tête de liste - la candidature d’une vingtaine de citoyens et citoyennes d’origine marocaine.
La majorité de ces candidats postuleront à un siège à la Chambre des représentants, les quatre principaux partis ayant jugé que seul un nombre réduit parmi eux a les atouts nécessaires pour prétendre à un siège de sénateur.
Ainsi, alors que le nombre des candidats aux niveaux fédéral et régional pour la Chambre des représentants atteint quatorze - dont la plupart briguent un siège au Parlement régional de Bruxelles-capitale -, celui des candidats au Sénat ne dépasse guère trois, à savoir Fadila Laânane, dixième sur la liste du Parti socialiste, Fatiha Saïdi, quatrième sur la liste d’«Ecolo» (les Verts francophones), et Ainoune Najiha, sixième sur la liste du centre démocrate humaniste.
Le Mouvement réformateur (libéral) n’a, de son côté, retenu la candidature d’aucun citoyen d’origine marocaine pour le Sénat, préférant présenter trois d’entre eux pour le Parlement régional de Bruxelles, à savoir Mustapha Karouni (septième sur la liste), Mustapha Ouezekhti (dixième sur la liste) et Souad Razzouk (quatorzième sur la liste).
Cette place, les citoyens d’origine marocaine l’ont conquise grâce à la maturité politique acquise au fil des années et à la présence qualitative qui est désormais la leur dans les différents rouages politiques où leur apport à la réflexion et leur contribution au processus de décision sont indéniables.Marque de cette évolution notoire, les quatre principales formations qui ont coutume de se partager les sièges au sein des sept institutions représentatives (le Parti socialiste, le Mouvement réformateur, les Verts et le Centre démocrate humaniste) ont retenu, sur leurs listes à des emplacements variables - dont la tête de liste - la candidature d’une vingtaine de citoyens et citoyennes d’origine marocaine.
La majorité de ces candidats postuleront à un siège à la Chambre des représentants, les quatre principaux partis ayant jugé que seul un nombre réduit parmi eux a les atouts nécessaires pour prétendre à un siège de sénateur.
Ainsi, alors que le nombre des candidats aux niveaux fédéral et régional pour la Chambre des représentants atteint quatorze - dont la plupart briguent un siège au Parlement régional de Bruxelles-capitale -, celui des candidats au Sénat ne dépasse guère trois, à savoir Fadila Laânane, dixième sur la liste du Parti socialiste, Fatiha Saïdi, quatrième sur la liste d’«Ecolo» (les Verts francophones), et Ainoune Najiha, sixième sur la liste du centre démocrate humaniste.
Le Mouvement réformateur (libéral) n’a, de son côté, retenu la candidature d’aucun citoyen d’origine marocaine pour le Sénat, préférant présenter trois d’entre eux pour le Parlement régional de Bruxelles, à savoir Mustapha Karouni (septième sur la liste), Mustapha Ouezekhti (dixième sur la liste) et Souad Razzouk (quatorzième sur la liste).
