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Il a également coopté comme nouveau vice-président, M. Saâd Ibrahimi, directeur général du Crédit agricole du Maroc et reconduit M. El Hadi Chaâbanou, directeur général du GPBM. Le Conseil d’administration, procédant à ces désignations, s’est inscrit dans la tradition d’une institution ancrée dans la culture économique et financière du Maroc.En renouvelant sa confiance à M. Othman Benjelloun, le Conseil d’administration du GPBM rend hommage aussi à la gestion qu’il assure à la tête du groupement depuis 1995.
On peut en effet souligner que la communauté bancaire et financière peut se prévaloir du respect et de l’écoute auprès des autorités, et qu’un esprit de concertation et de dialogue caractérise leurs rapports.Sous la présidence de M. Othman Benjelloun, solidaire et responsable, la communauté bancaire et financière a gagné en cohésion, elle est un interlocuteur respecté et participe activement au développement de l’économie nationale. M. Othman Benjelloun entend renforcer la vocation du GPBM comme acteur et partenaire du développement.
Il appelle, ce faisant, à cultiver l’esprit de dialogue franc et fructueux au sein de l’institution qu’il préside, mais aussi avec les pouvoirs publics et les institutions internationales. Rassembleur et fédérateur, il n’a de cesse d’en appeler à dépasser les intérêts corporatistes, de transcender l’âpre mais réelle concurrence entre les banques pour préserver les acquis et les atouts de l’économie nationale et, au-delà, les intérêts du citoyen.
Il en appelle également à un plus grand engagement social des institutions bancaires, à l’instar de celui de BMCE-Bank au niveau des programmes de merdesat com. et des logements.
Selon lui, seules des règles saines et claires, une coopération franche et fructueuse peuvent asseoir une réelle mise à niveau et une croissance économique pérenne.
Il demeure attentif aux enjeux et aux défis qui interpellent la communauté bancaire et, naturellement, les autorités, et souligne sa volonté de mener une action qui s’inscrit en définitive dans le cadre des intérêts de la communauté bancaire, certes, mais qui contribue en même temps à la promotion et au développement économique du Royaume.
On peut en effet souligner que la communauté bancaire et financière peut se prévaloir du respect et de l’écoute auprès des autorités, et qu’un esprit de concertation et de dialogue caractérise leurs rapports.Sous la présidence de M. Othman Benjelloun, solidaire et responsable, la communauté bancaire et financière a gagné en cohésion, elle est un interlocuteur respecté et participe activement au développement de l’économie nationale. M. Othman Benjelloun entend renforcer la vocation du GPBM comme acteur et partenaire du développement.
Il appelle, ce faisant, à cultiver l’esprit de dialogue franc et fructueux au sein de l’institution qu’il préside, mais aussi avec les pouvoirs publics et les institutions internationales. Rassembleur et fédérateur, il n’a de cesse d’en appeler à dépasser les intérêts corporatistes, de transcender l’âpre mais réelle concurrence entre les banques pour préserver les acquis et les atouts de l’économie nationale et, au-delà, les intérêts du citoyen.
Il en appelle également à un plus grand engagement social des institutions bancaires, à l’instar de celui de BMCE-Bank au niveau des programmes de merdesat com. et des logements.
Selon lui, seules des règles saines et claires, une coopération franche et fructueuse peuvent asseoir une réelle mise à niveau et une croissance économique pérenne.
Il demeure attentif aux enjeux et aux défis qui interpellent la communauté bancaire et, naturellement, les autorités, et souligne sa volonté de mener une action qui s’inscrit en définitive dans le cadre des intérêts de la communauté bancaire, certes, mais qui contribue en même temps à la promotion et au développement économique du Royaume.
