Mohamed Mounir a souligné que l’avis du public marocain est d’une grande importance pour tout artiste arabe, estimant par ailleurs que les médias arabes n’ont pas accordé à l’art musical traditionnel marocain «la place qui lui échoit».
A ce propos, le chanteur nubien a considéré que la société égyptienne, « de par son caractère renfermé», ne déploie aucun effort pour découvrir le patrimoine artistique des autres pays du monde arabe.
« C’est grâce à un effort personnel que j’ai connu, il y a trente ans, les formations de Nass el Ghiwane et de Jil Jilala pour lesquelles j’ai beaucoup d’estime», a t-il ajouté.
Appelant tout artiste à adopter un projet artistique qui lui est propre, le chanteur a noté que le patrimoine artistique arabe est de loin plus riche que celui de l’Europe «qui est en manque de créativité dans les temps présents, raison pour laquelle certains chanteurs occidentaux n’hésitent nullement à faire des duos avec leurs homologues du monde arabe».
Evoquant l’expérience de l’album «Al Ard, Assalam» (la terre, la paix) dans lequel il reprend des chansons du riche patrimoine soufi, dont le célébre tube «Madad», Mohamed Mounir a souligné que ce projet se présente comme la réponse de l’artiste aux différentes critiques émises contre l’Islam, «une religion de paix, de tolérance et de solidarité».
Riche d’un parcours artistique de 25 ans, Mohamed Mounir doit son succès à ses camarades de l’armée qui l’ont soutenu et encouragé lors de la période de son service militaire de 1972 à 1973.
Il se rappelle avoir chanté pendant ces deux années pour 500.000 soldats qui lui ont beaucoup facilité la tâche au début de sa carrière.
Connu principalement comme chanteur, Mohammed Mounir s’est illustré dans d’autres domaines, notamment le théâtre et le cinéma dans lequel il a joué le rôle de «Marawane» dans le film «Al Massir» (le destin) du célébre réalisateur Youssef Chahine.
A ce propos, le chanteur nubien a considéré que la société égyptienne, « de par son caractère renfermé», ne déploie aucun effort pour découvrir le patrimoine artistique des autres pays du monde arabe.
« C’est grâce à un effort personnel que j’ai connu, il y a trente ans, les formations de Nass el Ghiwane et de Jil Jilala pour lesquelles j’ai beaucoup d’estime», a t-il ajouté.
Appelant tout artiste à adopter un projet artistique qui lui est propre, le chanteur a noté que le patrimoine artistique arabe est de loin plus riche que celui de l’Europe «qui est en manque de créativité dans les temps présents, raison pour laquelle certains chanteurs occidentaux n’hésitent nullement à faire des duos avec leurs homologues du monde arabe».
Evoquant l’expérience de l’album «Al Ard, Assalam» (la terre, la paix) dans lequel il reprend des chansons du riche patrimoine soufi, dont le célébre tube «Madad», Mohamed Mounir a souligné que ce projet se présente comme la réponse de l’artiste aux différentes critiques émises contre l’Islam, «une religion de paix, de tolérance et de solidarité».
Riche d’un parcours artistique de 25 ans, Mohamed Mounir doit son succès à ses camarades de l’armée qui l’ont soutenu et encouragé lors de la période de son service militaire de 1972 à 1973.
Il se rappelle avoir chanté pendant ces deux années pour 500.000 soldats qui lui ont beaucoup facilité la tâche au début de sa carrière.
Connu principalement comme chanteur, Mohammed Mounir s’est illustré dans d’autres domaines, notamment le théâtre et le cinéma dans lequel il a joué le rôle de «Marawane» dans le film «Al Massir» (le destin) du célébre réalisateur Youssef Chahine.
