Les Européens de l'Ouest dépenseront 2,5 milliards d'euros d'ici 2007 pour du contenu numérique, toutes formes confondues, contre 337 millions d'euros en 2002.
L'institut ajoute que 19% des internautes d'Europe occidentale se disent prêts à payer pour télécharger des chansons sur l'internet, contre 16% il y a un an et 13% d'entre eux y seraient favorables pour le téléchargement de contenu vidéo, contre 3% en 2001.
Pour les jeux en ligne, les internautes pourraient dépenser en moyenne 100 à 150 euros chaque année pour les télécharger ou jouer à plusieurs.
Au cours des deux dernières années, un certain nombre de fournisseurs d'accès à l'internet (FAI), dont l'allemand T-Online et le français Wanadoo , ont lancé des offres d'abonnement pour jouer en ligne, dans l'espoir de compenser la baisse de leurs revenus publicitaires sur le Net.
Les éditeurs de magazines et de journaux, dont Times, appartenant au groupe de presse de Rupert Murdoch News Corp et le Financial Times de Pearson, se sont aussi lancés sur le marché électronique, facturant à leur lecteurs l'accès à leur pages en ligne.
Pendant ce temps, les grosses maisons de disques et les chaînes de disquaires continuent à se battre pour imposer un tarif aux consommateurs et les détourner des plates-formes gratuites d'échange de fichiers tels que Kazaa ou LimeWire.
Même si les consommateurs sont plus nombreux à être prêts à payer pour accéder à du contenu en ligne les abonnements ne sont pas à la veille de détrôner la publicité en ligne en tant que plus importante source de revenus.
L'étude a été conduite auprès de 10.000 internautes en Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Espagne et Suède.
L'institut ajoute que 19% des internautes d'Europe occidentale se disent prêts à payer pour télécharger des chansons sur l'internet, contre 16% il y a un an et 13% d'entre eux y seraient favorables pour le téléchargement de contenu vidéo, contre 3% en 2001.
Pour les jeux en ligne, les internautes pourraient dépenser en moyenne 100 à 150 euros chaque année pour les télécharger ou jouer à plusieurs.
Au cours des deux dernières années, un certain nombre de fournisseurs d'accès à l'internet (FAI), dont l'allemand T-Online et le français Wanadoo , ont lancé des offres d'abonnement pour jouer en ligne, dans l'espoir de compenser la baisse de leurs revenus publicitaires sur le Net.
Les éditeurs de magazines et de journaux, dont Times, appartenant au groupe de presse de Rupert Murdoch News Corp et le Financial Times de Pearson, se sont aussi lancés sur le marché électronique, facturant à leur lecteurs l'accès à leur pages en ligne.
Pendant ce temps, les grosses maisons de disques et les chaînes de disquaires continuent à se battre pour imposer un tarif aux consommateurs et les détourner des plates-formes gratuites d'échange de fichiers tels que Kazaa ou LimeWire.
Même si les consommateurs sont plus nombreux à être prêts à payer pour accéder à du contenu en ligne les abonnements ne sont pas à la veille de détrôner la publicité en ligne en tant que plus importante source de revenus.
L'étude a été conduite auprès de 10.000 internautes en Grande-Bretagne, Allemagne, France, Italie, Espagne et Suède.
