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Intervenant devant la 30e session de la Conférence de l’Organisation arabe du travail (OAT), il a évoqué le rapport du directeur général de cette instance sur la question et jugé opportun l’ouverture d’un dialogue arabe sérieux à ce sujet pour aboutir à l’adoption d’une position unifiée dans l’intérêt des communautés arabes à l’étranger.
Il a souligné la nécessité de mettre en œuvre un ensemble de mesures juridiques, administratives, économiques et politiques et de traiter les causes de la migration des jeunes Arabes notamment le chômage, la régression du développement économique au niveau local et l’inadéquation entre les programmes d’enseignement et le marché du travail.
Le traitement de cette question, a-t-il ajouté, requiert l’adoption d’une politique à l’échelle nationale et arabe axée sur le développement des ressources humaines, la lutte contre le chômage, la dynamisation des mécanismes juridiques et institutionnels y afférents et l’institution d’un partenariat entre les opérateurs économiques arabes œuvrant à la réalisation de la complémentarité arabe.
Le ministre a souligné que le gouvernement marocain a pris les mesures nécessaires pour faire face au problème du chômage et résorber le déficit annuel qui varie entre 30.000 et 40.000 postes d’emploi. Il a cité d’autres mesures visant notamment à corriger les déséquilibres et à promouvoir les investissements qui sont le moteur du développement ainsi qu’à promouvoir l’emploi par le biais de l’amélioration, la modernisation et la restructuration des systèmes d’éducation et de formation. Il a estimé que la généralisation de l’enseignement, la lutte contre l’analphabétisme ainsi que l’adaptation de la formation aux exigences du marché du travail jouent un rôle catalyseur dans la résorption du chômage.
Le ministre de l’Emploi a souligné la détermination à redoubler d’efforts au cours de la période 2003-2007 pour aller de l’avant dans le domaine de la formation professionnelle, estimant qu’il est temps de dynamiser ces mécanismes en vue de la création d’un marché arabe commun de travail permettant de faire face aux défis et aux mutations que connaît le monde.
Il a abordé également la question de l’immigration des travailleurs étrangers dans le monde arabe et la migration des compétences et des personnes qualifiées arabes vers l’étranger.
M. Mansouri a souligné, par ailleurs, l’importance de l’encouragement de la circulation des capitaux et des travailleurs entre les pays arabes en plus du lancement des projets mixtes entre les opérateurs économiques arabes en tant que pas important dans la voie de la réalisation de la complémentarité économique arabe escomptée.
Cela, a-t-il relevé, est à la portée des pays arabes appelés à hâter la création des zones de libre-échange bilatérales pouvant aboutir graduellement à l’instauration de la grande zone de libre-échange commerciale arabe.
Il a souligné la nécessité de mettre en œuvre un ensemble de mesures juridiques, administratives, économiques et politiques et de traiter les causes de la migration des jeunes Arabes notamment le chômage, la régression du développement économique au niveau local et l’inadéquation entre les programmes d’enseignement et le marché du travail.
Le traitement de cette question, a-t-il ajouté, requiert l’adoption d’une politique à l’échelle nationale et arabe axée sur le développement des ressources humaines, la lutte contre le chômage, la dynamisation des mécanismes juridiques et institutionnels y afférents et l’institution d’un partenariat entre les opérateurs économiques arabes œuvrant à la réalisation de la complémentarité arabe.
Le ministre a souligné que le gouvernement marocain a pris les mesures nécessaires pour faire face au problème du chômage et résorber le déficit annuel qui varie entre 30.000 et 40.000 postes d’emploi. Il a cité d’autres mesures visant notamment à corriger les déséquilibres et à promouvoir les investissements qui sont le moteur du développement ainsi qu’à promouvoir l’emploi par le biais de l’amélioration, la modernisation et la restructuration des systèmes d’éducation et de formation. Il a estimé que la généralisation de l’enseignement, la lutte contre l’analphabétisme ainsi que l’adaptation de la formation aux exigences du marché du travail jouent un rôle catalyseur dans la résorption du chômage.
Le ministre de l’Emploi a souligné la détermination à redoubler d’efforts au cours de la période 2003-2007 pour aller de l’avant dans le domaine de la formation professionnelle, estimant qu’il est temps de dynamiser ces mécanismes en vue de la création d’un marché arabe commun de travail permettant de faire face aux défis et aux mutations que connaît le monde.
Il a abordé également la question de l’immigration des travailleurs étrangers dans le monde arabe et la migration des compétences et des personnes qualifiées arabes vers l’étranger.
M. Mansouri a souligné, par ailleurs, l’importance de l’encouragement de la circulation des capitaux et des travailleurs entre les pays arabes en plus du lancement des projets mixtes entre les opérateurs économiques arabes en tant que pas important dans la voie de la réalisation de la complémentarité économique arabe escomptée.
Cela, a-t-il relevé, est à la portée des pays arabes appelés à hâter la création des zones de libre-échange bilatérales pouvant aboutir graduellement à l’instauration de la grande zone de libre-échange commerciale arabe.
