Driss Kadiri, 40 ans, est arrivé en Afrique du Sud après un long voyage jalonné, a-t-il dit, de toutes sortes de difficultés, d'aléas mais aussi d'aventures et de rencontres humaines passionnantes dans une dizaine de pays du continent.
«Mon voyage en Afrique, entamé en mars 2002, était extrêmement pénible mais très fructueux. Il s'apparente à une véritable aventure», a-t-il dit.
En dépit des divisions qui déchirent le continent, la diversité ethnique et linguistique, et les différences de cultures et de religions, ce voyageur dit avoir rencontré des gens qui partagent les mêmes valeurs de paix, d'amour et de générosité entre Africains et le même désir de voir l'Afrique débarrassée des guerres. «Je voulais surtout durant cette phase africaine m'associer aux handicapés des autres pays pour tirer la sonnette d'alarme sur les malheurs et les souffrances causés par les guerres et sur le nombre incalculable de mutilés et d'handicapés entraîné par ces conflits», a-t-il affirmé.
En Afrique et partout dans le monde, les handicapés refusent d'être à la marge de leur société et plus encore vouent une haine farouche à la guerre et aux déchirements car ils ne connaissent que trop les conséquences de l'handicap, a ajouté M. Kadiri.
Je veux ainsi plaider notre cause en Afrique et dans les quatre coins du monde, souligne ce fonctionnaire du ministère du Tourisme qui a entamé son rêve de parcourir le monde à vélo en 1994.
Driss Kadiri a scindé son périple en deux étapes. La première s'est achevée en 1996 après avoir parcouru une quarantaine de pays d'Europe, du Moyen-Orient et d'Asie.
La deuxième a débuté l'an dernier par un périple africain qui lui a permis de parcourir plus de 15 pays du continent.
De l'Afrique du Sud, Kadiri se rendra par avion à Rio de Janeiro au Brésil pour parcourir l'Amérique Latine avant de gagner l'Amérique du Nord et boucler cette phase en 2004 au Canada.
Dans chaque ville étape, Kadiri dit ne pas trop se soucier des questions de l'hébergement et de la nourriture. Souvent, des centres d'handicapés, les ambassades du Maroc, et surtout la communauté marocaine à l'étranger sont là pour lui apporter aide et soutien. Ils sont d'un grand soutien dans la réalisation de cet objectif, a-t-il dit.
Malgré son handicap, le manque de moyens matériels et les aléas de tout genre, Driss Kadiri fait montre d'une volonté et d'une détermination à toute épreuve. «J'ai prévu dix ans pour boucler mon voyage. Je suis déterminé à aller jusqu'au bout de mon rêve», conclut-il.
«Mon voyage en Afrique, entamé en mars 2002, était extrêmement pénible mais très fructueux. Il s'apparente à une véritable aventure», a-t-il dit.
En dépit des divisions qui déchirent le continent, la diversité ethnique et linguistique, et les différences de cultures et de religions, ce voyageur dit avoir rencontré des gens qui partagent les mêmes valeurs de paix, d'amour et de générosité entre Africains et le même désir de voir l'Afrique débarrassée des guerres. «Je voulais surtout durant cette phase africaine m'associer aux handicapés des autres pays pour tirer la sonnette d'alarme sur les malheurs et les souffrances causés par les guerres et sur le nombre incalculable de mutilés et d'handicapés entraîné par ces conflits», a-t-il affirmé.
En Afrique et partout dans le monde, les handicapés refusent d'être à la marge de leur société et plus encore vouent une haine farouche à la guerre et aux déchirements car ils ne connaissent que trop les conséquences de l'handicap, a ajouté M. Kadiri.
Je veux ainsi plaider notre cause en Afrique et dans les quatre coins du monde, souligne ce fonctionnaire du ministère du Tourisme qui a entamé son rêve de parcourir le monde à vélo en 1994.
Driss Kadiri a scindé son périple en deux étapes. La première s'est achevée en 1996 après avoir parcouru une quarantaine de pays d'Europe, du Moyen-Orient et d'Asie.
La deuxième a débuté l'an dernier par un périple africain qui lui a permis de parcourir plus de 15 pays du continent.
De l'Afrique du Sud, Kadiri se rendra par avion à Rio de Janeiro au Brésil pour parcourir l'Amérique Latine avant de gagner l'Amérique du Nord et boucler cette phase en 2004 au Canada.
Dans chaque ville étape, Kadiri dit ne pas trop se soucier des questions de l'hébergement et de la nourriture. Souvent, des centres d'handicapés, les ambassades du Maroc, et surtout la communauté marocaine à l'étranger sont là pour lui apporter aide et soutien. Ils sont d'un grand soutien dans la réalisation de cet objectif, a-t-il dit.
Malgré son handicap, le manque de moyens matériels et les aléas de tout genre, Driss Kadiri fait montre d'une volonté et d'une détermination à toute épreuve. «J'ai prévu dix ans pour boucler mon voyage. Je suis déterminé à aller jusqu'au bout de mon rêve», conclut-il.
