Voici venu le temps des alliances. La mode est en effet aux regroupements des partis politiques. Le phénomène prend chaque jour un peu plus d’ampleur. Hier, le PSD et le PPS initiaient le premier projet d’union.
Première étape dans une perspective de fusion entre les deux formations issues de la gauche. Dans la même foulée, on célébra les retrouvailles de la grande famille de la mouvance populaire. Le MP, le MNP et la toute dernière UD retourneront dans le giron du pôle haraki. Aujourd’hui, leur union a évolué et porte un nouveau nom. Le Mouvement populaire unifié vient de faire son entrée en scène. Une entrée en force puisque le MPU revendique le statut de première force politique du pays.
L’OADP choisira, elle, de faire bloc uni avec des petits partis de l’extrême gauche. Cela donnait naissance à la Gauche socialiste unifiée (GSU). Cette même GSU aujourd’hui présente dans tous les débats initiés à l’initiative de l’USFP au sujet d’un projet politique de la gauche. Le parti socialiste marocain, aujourd’hui dirigé par Mohamed El Yazghi, développe une sensibilité toute nouvelle à l’égard de ses partenaires à gauche de l’échiquier politique. L’idée est clairement suggérée d’un regroupement autour de l’USFP. Un projet à l’image du MPU où se retrouveront tous les anciens militants du parti socialiste.
La GSU, active sur le plan de la réflexion, tenait réunion hier à Casablanca de son comité central. Le projet y était soumis d’une union de la gauche socialiste. Le Parti de l’avant garde démocratique et socialiste (PADS), le Congrès national ittihadi (CNI), Fidélité à la démocratie et Annahj addimocrati sont sollicités pour faire partie de cette alliance.
Décomposé à l’infini, le champ politique national est en quête de recomposition.
Les alliances toutes nouvelles ont-elles au moins une chance de survivre ?
Première étape dans une perspective de fusion entre les deux formations issues de la gauche. Dans la même foulée, on célébra les retrouvailles de la grande famille de la mouvance populaire. Le MP, le MNP et la toute dernière UD retourneront dans le giron du pôle haraki. Aujourd’hui, leur union a évolué et porte un nouveau nom. Le Mouvement populaire unifié vient de faire son entrée en scène. Une entrée en force puisque le MPU revendique le statut de première force politique du pays.
L’OADP choisira, elle, de faire bloc uni avec des petits partis de l’extrême gauche. Cela donnait naissance à la Gauche socialiste unifiée (GSU). Cette même GSU aujourd’hui présente dans tous les débats initiés à l’initiative de l’USFP au sujet d’un projet politique de la gauche. Le parti socialiste marocain, aujourd’hui dirigé par Mohamed El Yazghi, développe une sensibilité toute nouvelle à l’égard de ses partenaires à gauche de l’échiquier politique. L’idée est clairement suggérée d’un regroupement autour de l’USFP. Un projet à l’image du MPU où se retrouveront tous les anciens militants du parti socialiste.
La GSU, active sur le plan de la réflexion, tenait réunion hier à Casablanca de son comité central. Le projet y était soumis d’une union de la gauche socialiste. Le Parti de l’avant garde démocratique et socialiste (PADS), le Congrès national ittihadi (CNI), Fidélité à la démocratie et Annahj addimocrati sont sollicités pour faire partie de cette alliance.
Décomposé à l’infini, le champ politique national est en quête de recomposition.
Les alliances toutes nouvelles ont-elles au moins une chance de survivre ?
