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En dehors de l’immeuble mitoyen à la CDG en phase de finition, avec sa belle façade, rien n’a changé dans cette zone. Les fleuristes occupent toujours les mêmes espaces. Les fleurs sont toujours vendues dans les mêmes endroits, avec la même présentation à l’extérieur.
Le marché de la Place Piétri qui comprend quelques épiceries, deux boucheries et même des oiseleurs ne paie plus de mine depuis quelques années déjà. Son état n’a pas changé. La clientèle s’y bouscule de moins et en moins et son cas devrait empirer…à moins d’un projet de réaménagement aussi important que celui imaginé par la CDG et la commune urbaine de Rabat-Hassan.
Le projet prévoit en effet la construction d'un parking sous terrain à deux niveaux et d'un centre commercial de haut standing pour redonner une âme à la Place Moulay Al Hassan. Outre qu’un tel projet devrait apporter des solutions au problème de stationnement qui se posent avec acuité dans le centre ville de la capitale, la reflexion a abouti à la nécessité d’un centre commercial en lieu et place du marché existant. Le parking est même prévu sur deux niveaux pour offrir une grande capacité de stationnement aux automobilistes. Des solutions alternatives, en attendant la fin des travaux d’aménagement, ont été pensées pour abriter, de façon provisoire ou définitive, les commerçants et autres fleuristes de la Place Moulay Al Hassan.
La commune de Rabat-Hassan et la CDG dans leur volonté de donner une seconde vie à la Place Moulay Al Hassan n’ont pas oublié les commerçants qui s’y trouvent. Il est prévu de les loger ailleurs ou de les indemniser.
Le coût du projet d’aménagement de cette place est estimé à quelques 34 millions de DH, entièrement à la charge de la CDG.
En contrepartie, l’entente de principe entre la CDG et la Commune de Rabat-Hassan stipule que la CDG aura le droit d’exploitation du parking pendant 50 ans.
Dans la foulée, la CDG s'engage, par ailleurs, à construire 50 locaux commerciaux et à les livrer à la commune qui se chargera de leur gestion.
Le projet existe sur le papier. Il est viable et d’utilité publique. Reste la volonté de concrétiser le projet dans les plus brefs délais.
Les institutions locales ayant été renouvelées, la capitale a acquis une certaine visibilité institutionnelle et la CDG a des interlocuteurs pour relancer le projet avec les autorités locales et les élus de la Commune de Rabat-Hassan.
Le marché de la Place Piétri qui comprend quelques épiceries, deux boucheries et même des oiseleurs ne paie plus de mine depuis quelques années déjà. Son état n’a pas changé. La clientèle s’y bouscule de moins et en moins et son cas devrait empirer…à moins d’un projet de réaménagement aussi important que celui imaginé par la CDG et la commune urbaine de Rabat-Hassan.
Le projet prévoit en effet la construction d'un parking sous terrain à deux niveaux et d'un centre commercial de haut standing pour redonner une âme à la Place Moulay Al Hassan. Outre qu’un tel projet devrait apporter des solutions au problème de stationnement qui se posent avec acuité dans le centre ville de la capitale, la reflexion a abouti à la nécessité d’un centre commercial en lieu et place du marché existant. Le parking est même prévu sur deux niveaux pour offrir une grande capacité de stationnement aux automobilistes. Des solutions alternatives, en attendant la fin des travaux d’aménagement, ont été pensées pour abriter, de façon provisoire ou définitive, les commerçants et autres fleuristes de la Place Moulay Al Hassan.
La commune de Rabat-Hassan et la CDG dans leur volonté de donner une seconde vie à la Place Moulay Al Hassan n’ont pas oublié les commerçants qui s’y trouvent. Il est prévu de les loger ailleurs ou de les indemniser.
Le coût du projet d’aménagement de cette place est estimé à quelques 34 millions de DH, entièrement à la charge de la CDG.
En contrepartie, l’entente de principe entre la CDG et la Commune de Rabat-Hassan stipule que la CDG aura le droit d’exploitation du parking pendant 50 ans.
Dans la foulée, la CDG s'engage, par ailleurs, à construire 50 locaux commerciaux et à les livrer à la commune qui se chargera de leur gestion.
Le projet existe sur le papier. Il est viable et d’utilité publique. Reste la volonté de concrétiser le projet dans les plus brefs délais.
Les institutions locales ayant été renouvelées, la capitale a acquis une certaine visibilité institutionnelle et la CDG a des interlocuteurs pour relancer le projet avec les autorités locales et les élus de la Commune de Rabat-Hassan.
