Les actions entreprises, depuis lors, dans les domaines de l'exploration et de la recherche minières se sont donc naturellement inscrites dans l'optique de la mise en œuvre de cette stratégie visant à encourager les opérateurs aussi bien marocains qu'étrangers à investir davantage dans un secteur réputé hautement capitalistique et où les risques sont importants.
La modernisation du cadre juridique, la réalisation des infrastructures géologiques, l'octroi d'incitations fiscales et l'encouragement du processus partenarial à tous les stades de l'exploration et de la recherche minière ont constitué autant de champs d'actions et d'investissement qui devaient déboucher sur le drainage des capitaux nationaux et étrangers. Outre les phosphates qui constituent l'apanage exclusif de l'OCP, la recherche pétrolière qui a été, au départ, confiée au Bureau de recherches et de participations minières (BRPM) créé en 1928, a été relancée, une année plus tard, par la création de la Société chérifienne des pétroles (SCP) avant d'être confiée, depuis avril 1981 à l'Office national de recherches et d'exploitations pétrolières (ONAREP).
Finalisé vers la fin des années quatre-vingt dix, le nouveau code minier, a introduit de nombreuses dispositions incitatives. D'abord, il a permis d'accorder des autorisations d'exploration sur de grandes zones tout en étendant le règlement minier à certaines substances, qui étaient jadis placées sous le régime des carrières, comme la calcite, le marbre, la perlite...
Parallèlement à cette refonte du code minier, et dans le souci d'élargir les opportunités à proposer aux investisseurs potentiels, il a également été procédé à l'assainissement du portefeuille de permis détenus jusque-là par le BRPM et recentré l'action de celui-ci sur ses missions principales d'exploration et de promotion en le désengageant des activités d'exploitation.
Dans ce même contexte, plusieurs conventions de partenariat ont été signées, portant essentiellement sur la promotion de la recherche et le développement du secteur minier. Un mécanisme a été également mis en oeuvre pour la privatisation de certaines sociétés minières dont une part du capital était détenue par l'Etat via le BRPM et le secteur du raffinage et de distribution des hydrocarbures est entré dans l'ère des privatisations. Ce processus étant arrivé à terme, il fallait renforcer les synergies entre deux des principaux leviers de la politique minière nationale ; en l'occurrence le BRPM et l'ONAREP. Ce à quoi vise la création de l'Office national des hydrocarbures et des mines.
La modernisation du cadre juridique, la réalisation des infrastructures géologiques, l'octroi d'incitations fiscales et l'encouragement du processus partenarial à tous les stades de l'exploration et de la recherche minière ont constitué autant de champs d'actions et d'investissement qui devaient déboucher sur le drainage des capitaux nationaux et étrangers. Outre les phosphates qui constituent l'apanage exclusif de l'OCP, la recherche pétrolière qui a été, au départ, confiée au Bureau de recherches et de participations minières (BRPM) créé en 1928, a été relancée, une année plus tard, par la création de la Société chérifienne des pétroles (SCP) avant d'être confiée, depuis avril 1981 à l'Office national de recherches et d'exploitations pétrolières (ONAREP).
Finalisé vers la fin des années quatre-vingt dix, le nouveau code minier, a introduit de nombreuses dispositions incitatives. D'abord, il a permis d'accorder des autorisations d'exploration sur de grandes zones tout en étendant le règlement minier à certaines substances, qui étaient jadis placées sous le régime des carrières, comme la calcite, le marbre, la perlite...
Parallèlement à cette refonte du code minier, et dans le souci d'élargir les opportunités à proposer aux investisseurs potentiels, il a également été procédé à l'assainissement du portefeuille de permis détenus jusque-là par le BRPM et recentré l'action de celui-ci sur ses missions principales d'exploration et de promotion en le désengageant des activités d'exploitation.
Dans ce même contexte, plusieurs conventions de partenariat ont été signées, portant essentiellement sur la promotion de la recherche et le développement du secteur minier. Un mécanisme a été également mis en oeuvre pour la privatisation de certaines sociétés minières dont une part du capital était détenue par l'Etat via le BRPM et le secteur du raffinage et de distribution des hydrocarbures est entré dans l'ère des privatisations. Ce processus étant arrivé à terme, il fallait renforcer les synergies entre deux des principaux leviers de la politique minière nationale ; en l'occurrence le BRPM et l'ONAREP. Ce à quoi vise la création de l'Office national des hydrocarbures et des mines.
