Ce dernier point dispose d’une attention toute particulière de la part de certains organismes internationaux et des instances bruxelloises. Considérée comme l’incontournable et central aspect de l’environnement économique, la réforme de l’Administration ou modernisation du service public fait actuellement l’objet de négociations entre la délégation européenne et les instances marocaines. «Le gouvernement marocain s’est engagé dans un ambitieux programme», affirme M. Ruyssen «et nous l’appuyons totalement». Si la réforme de l’Administration paraît capitale, celle du secteur financier ne l’est pas moins.
Depuis l’année 2000, le programme européen d’appui au secteur financier doit engager, jusqu’à 2006, près de 56 millions d’euros. A date d’aujourd’hui, on estime que près des deux tiers ont été réalisés par rapport au programme initial.
Depuis l’année 2000, le programme européen d’appui au secteur financier doit engager, jusqu’à 2006, près de 56 millions d’euros. A date d’aujourd’hui, on estime que près des deux tiers ont été réalisés par rapport au programme initial.
