«Bien que ce ne soit pas sa culture, le Marocain n'a rien à envier aux musiciens du monde entier, il faut seulement lui donner la possibilité de travailler avec un encadrement de très haut niveau», a souligné M. Biondi dans un entretien à la MAP.
Tout en se prononçant pour l'union des orchestres symphoniques du Maroc en vue «d'assurer la gloire de la musique», Jean-Charles Biondi, qui dit être «une symphonie inachevée», estime que les Marocains «se singularisent par la passion, l'amour de ce qu'ils font et l'envie d'apprendre».
Déplorant le manque de formateurs de haut niveau en musique classique, le chef de l'orchestre philarmonique du Maroc a exprimé son «souci de former des pédagogues dignes de ce nom". "Par manque de professeurs de haut niveau nous avons des carences et nous devons faire appel à chaque concert à des musiciens étrangers», a-t-il dit.
Présentant la création de l'orchestre philharmonique du Maroc comme un pari réussi, M. Biondi a indiqué qu'après sept annnées d'existence, cette formation a atteint progressivement, grâce à un travail journalier acharné, le niveau musical qui lui permet de s'ouvrir sur la scène internationale.
Créé en tant qu'association en 1996, l'orchestre philharmonique du Maroc a commencé à faire les premières répétitions en novembre 1996 pour présenter son premier concert le 25 février 1997.
Arrivé au Maroc le 6 décembre 1984 pour diriger l'orchestre des Forces Royales Air (FRA), M. Biondi affirme avoir passé au Royaume «20 ans d'amour, d'abnégation, de passion et d'émotion».
Le 3 mars 1985, trois mois après son établissement au pays, cet italien de naissance a dirigé le premier concert de musique classique dans l'Histoire du Maroc. Le 17 décembre 1992, Jean-Charles Biondi a dirigé, à la Cathédrale de Rabat, le concert de Noël, le premier du genre au Maroc.
Témoignant de «l'ouverture du Maroc sur toutes les formes de cultures», ce concert était animé par un orchestre composé de musiciens des FRA et du Conservatoire national de musique de Rabat.
Pour sa prochaine sortie, Jean-Charles Biondi donne rendez-vous aux mélomanes le 15 janvier 2004 à Rabat, avec notamment au menu, un morceau de musique andalouse.
Tout en se prononçant pour l'union des orchestres symphoniques du Maroc en vue «d'assurer la gloire de la musique», Jean-Charles Biondi, qui dit être «une symphonie inachevée», estime que les Marocains «se singularisent par la passion, l'amour de ce qu'ils font et l'envie d'apprendre».
Déplorant le manque de formateurs de haut niveau en musique classique, le chef de l'orchestre philarmonique du Maroc a exprimé son «souci de former des pédagogues dignes de ce nom". "Par manque de professeurs de haut niveau nous avons des carences et nous devons faire appel à chaque concert à des musiciens étrangers», a-t-il dit.
Présentant la création de l'orchestre philharmonique du Maroc comme un pari réussi, M. Biondi a indiqué qu'après sept annnées d'existence, cette formation a atteint progressivement, grâce à un travail journalier acharné, le niveau musical qui lui permet de s'ouvrir sur la scène internationale.
Créé en tant qu'association en 1996, l'orchestre philharmonique du Maroc a commencé à faire les premières répétitions en novembre 1996 pour présenter son premier concert le 25 février 1997.
Arrivé au Maroc le 6 décembre 1984 pour diriger l'orchestre des Forces Royales Air (FRA), M. Biondi affirme avoir passé au Royaume «20 ans d'amour, d'abnégation, de passion et d'émotion».
Le 3 mars 1985, trois mois après son établissement au pays, cet italien de naissance a dirigé le premier concert de musique classique dans l'Histoire du Maroc. Le 17 décembre 1992, Jean-Charles Biondi a dirigé, à la Cathédrale de Rabat, le concert de Noël, le premier du genre au Maroc.
Témoignant de «l'ouverture du Maroc sur toutes les formes de cultures», ce concert était animé par un orchestre composé de musiciens des FRA et du Conservatoire national de musique de Rabat.
Pour sa prochaine sortie, Jean-Charles Biondi donne rendez-vous aux mélomanes le 15 janvier 2004 à Rabat, avec notamment au menu, un morceau de musique andalouse.
