Quoi que "satisfaisante", la production oléicole a subi les effets négatifs de la chaleur qui a sévi durant la période estivale et du retard des pluies automnales, explique le rapport qui souligne que les dégâts causés par la canicule sont estimés à 5 % de la production.
Selon le document, 70 % de la production sont destinés à la trituration, 20 % à la conserverie et 10 % à l'auto-consommation.
La capacité de trituration des 16 unités industrielles existantes dans la province atteint 17.500 Tonnes par an alors que celle des 4.300 unités traditionnelles s'élève à 72.000 T par an.
La commercialisation de la production s'effectue à concurrence de 50 % par les intermédiaires alors que la vente sur pied concerne 30 % de la production, la vente aux usines industrielles (10 %), la vente directe (5 %) et la vente sur exploitation (5 %). Les prix de vente ont connu une augmentation en comparaison avec la précédente campagne en raison de la faible production. Pour les olives de conserves, les prix varient de 3 à 6 DH pour les vertes et de 3 à 4 DH pour les noires tandis que les prix des olives de trituration oscillent entre 2 et 4 DH. Le litre d'huile d'olive coûte entre 20 et 30 DH.
Le rapport rappelle, par ailleurs, que la superficie plantée d'olives à travers la province de Taza atteint 63.500 ha, soit 11 % de la superficie plantée en olives au plan national et 19 % de la superficie utile à l'agriculture de la province.
La superficie oléicole irriguée atteint 17.000 ha, soit 26,7 % de la superficie globale. Le cercle de Guercif occupe la première position en ce qui concerne la superficie plantée en olives avec 15.000 ha irrigués, soit 24 % de la superficie totale d'olives et 88 % de la superficie irriguée.
La superficie plantée en olives dans la province a connu une évolution importante entre la campagne oléicole 1994-95 et celle de 2002/03 puisqu'elle est passée de 39.280 ha à 63.500 ha et ce, grâce aux différents programmes de développement de la culture de l'olivier dont ceux menés avec l'Agence pour le développement des provinces du Nord (APDN).
La variété Picholine marocaine avec 8.247.550 pieds reste la plus répandue. Le secteur oléicole de Taza demeure jeune puisque les vergers de moins de 50 ans représentent 96 % du patrimoine oléicole.
Selon le document, 70 % de la production sont destinés à la trituration, 20 % à la conserverie et 10 % à l'auto-consommation.
La capacité de trituration des 16 unités industrielles existantes dans la province atteint 17.500 Tonnes par an alors que celle des 4.300 unités traditionnelles s'élève à 72.000 T par an.
La commercialisation de la production s'effectue à concurrence de 50 % par les intermédiaires alors que la vente sur pied concerne 30 % de la production, la vente aux usines industrielles (10 %), la vente directe (5 %) et la vente sur exploitation (5 %). Les prix de vente ont connu une augmentation en comparaison avec la précédente campagne en raison de la faible production. Pour les olives de conserves, les prix varient de 3 à 6 DH pour les vertes et de 3 à 4 DH pour les noires tandis que les prix des olives de trituration oscillent entre 2 et 4 DH. Le litre d'huile d'olive coûte entre 20 et 30 DH.
Le rapport rappelle, par ailleurs, que la superficie plantée d'olives à travers la province de Taza atteint 63.500 ha, soit 11 % de la superficie plantée en olives au plan national et 19 % de la superficie utile à l'agriculture de la province.
La superficie oléicole irriguée atteint 17.000 ha, soit 26,7 % de la superficie globale. Le cercle de Guercif occupe la première position en ce qui concerne la superficie plantée en olives avec 15.000 ha irrigués, soit 24 % de la superficie totale d'olives et 88 % de la superficie irriguée.
La superficie plantée en olives dans la province a connu une évolution importante entre la campagne oléicole 1994-95 et celle de 2002/03 puisqu'elle est passée de 39.280 ha à 63.500 ha et ce, grâce aux différents programmes de développement de la culture de l'olivier dont ceux menés avec l'Agence pour le développement des provinces du Nord (APDN).
La variété Picholine marocaine avec 8.247.550 pieds reste la plus répandue. Le secteur oléicole de Taza demeure jeune puisque les vergers de moins de 50 ans représentent 96 % du patrimoine oléicole.
