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Malgré l'absence de tableaux jeunes, le RUC a connu quatre semaines de tennis non-stop avec une animation bien particulière. Le tournoi du RUC a toujours attiré les meilleures raquettes du pays et cette année, il y a eu une nouvelle fois la crème des champions. Le docteur Zouheir, vice-président du club , était bien heureux à l'issue de la finale 1re et 2e séries qui s'est déroulée sur le «petit» central du club.
Entouré par plusieurs membres fédéraux et par le comité d'organisation, il n'a guère pu cacher son émotion face à un tel succès. «Je crois que devant le succès grandissant de notre tournoi, il va nous falloir organiser un tournoi plus consistant et ma foi, nous pensons sérieusement à un ITF ou un Future's, histoire de faire renaître notre tournoi Feu Omar Ben Omar, qui était l'un des deux ATP organisés au Maroc. Le RUC a toujours œuvré pour la promotion du tennis, la preuve ce sont nos résultats obtenus à travers les championnats ou les tournois nationaux. Aujourd'hui, nous sommes heureux d'accueillir tous ces jeunes qui ont offert au public un beau tennis».
A tout seigneur, tout honneur, le tableau qui a attiré le gotha du tennis national est incontestablement celui des premières séries. Le dernier carré était composé de Blal Chemseddine du Stade Marocain, Mohcine Roudami de l'ACSA, qui fut demi-finaliste plus tard à l'ITF Med Avenir du COC et deux rucistes , Hicham Fethi et Mehdi Belbacha. En finale, ce sont d'ailleurs ces deux derniers joueurs qui se sont retrouvés sur le court. Une rencontre suivie par un public enthousiaste qui a eu l'embarras du choix pour supporter l'un ou l'autre joueur. Mais ce jour-là, la motivation a penché en faveur de Mehdi Belbacha qui a réussi à remporter la victoire. Mais les deux joueurs ont été très applaudi avec des «oh ! » et des «ah» ! à chaque revers ou coup droit réussi. Chez les dames, c'est encore Ifrakh Habiba qui a frappé fort au tableau 2e série.
Elle a eu plus de réussite face à une autre grande joueuse, en l'occurrence Mouna Sabri du RTMCO. La perle noire du Wifaq n'a malheureusement pas eu les moyens pour faire une grande carrière professionnelle comme les sœurs Williams. Elle a beaucoup de talent mais elle s'est contentée de petits tournois nationaux.
Les demi-finalistes, El Ouazzani Zineb du PTTR et Lahlou Meriem du Riad n'ont guère démérité et auraient pu prétendre au podium. Le double hommes a été dominé par les rucistes puisqu'en finale, on retrouva le duo Alami Omar - Alami Hicham face à la paire Kazmane Zouheir - Benboubker Othman . Quatre garçons dans le vent qui ont attiré beaucoup de monde autour du court et qui ont su faire apprécier leurs beaux gestes techniques. Les Alami ont gagné haut la main cette finale. Enfin, le tableau grande jeunesse a réuni des potes en dehors du court mais des adversaires acharnés sur le terrain. Chaque joueur oublie le temps d'une rencontre «l'ami» qui est en face.
Ahmed El Khiat, doyen des photographes et grand spécialiste du tennis a été le plus fort et au large sourire lors de la remise des prix en disait long sur sa joie d'avoir surpris un autre ruciste, Farid Bensaïd qui attend toujours une revanche. Ce tableau était également composé de Hassan Benaboub et El Fares Zouhair, tous du RUC . Bravo donc aux universitaires qui ont offert des plateaux relevés.
Entouré par plusieurs membres fédéraux et par le comité d'organisation, il n'a guère pu cacher son émotion face à un tel succès. «Je crois que devant le succès grandissant de notre tournoi, il va nous falloir organiser un tournoi plus consistant et ma foi, nous pensons sérieusement à un ITF ou un Future's, histoire de faire renaître notre tournoi Feu Omar Ben Omar, qui était l'un des deux ATP organisés au Maroc. Le RUC a toujours œuvré pour la promotion du tennis, la preuve ce sont nos résultats obtenus à travers les championnats ou les tournois nationaux. Aujourd'hui, nous sommes heureux d'accueillir tous ces jeunes qui ont offert au public un beau tennis».
A tout seigneur, tout honneur, le tableau qui a attiré le gotha du tennis national est incontestablement celui des premières séries. Le dernier carré était composé de Blal Chemseddine du Stade Marocain, Mohcine Roudami de l'ACSA, qui fut demi-finaliste plus tard à l'ITF Med Avenir du COC et deux rucistes , Hicham Fethi et Mehdi Belbacha. En finale, ce sont d'ailleurs ces deux derniers joueurs qui se sont retrouvés sur le court. Une rencontre suivie par un public enthousiaste qui a eu l'embarras du choix pour supporter l'un ou l'autre joueur. Mais ce jour-là, la motivation a penché en faveur de Mehdi Belbacha qui a réussi à remporter la victoire. Mais les deux joueurs ont été très applaudi avec des «oh ! » et des «ah» ! à chaque revers ou coup droit réussi. Chez les dames, c'est encore Ifrakh Habiba qui a frappé fort au tableau 2e série.
Elle a eu plus de réussite face à une autre grande joueuse, en l'occurrence Mouna Sabri du RTMCO. La perle noire du Wifaq n'a malheureusement pas eu les moyens pour faire une grande carrière professionnelle comme les sœurs Williams. Elle a beaucoup de talent mais elle s'est contentée de petits tournois nationaux.
Les demi-finalistes, El Ouazzani Zineb du PTTR et Lahlou Meriem du Riad n'ont guère démérité et auraient pu prétendre au podium. Le double hommes a été dominé par les rucistes puisqu'en finale, on retrouva le duo Alami Omar - Alami Hicham face à la paire Kazmane Zouheir - Benboubker Othman . Quatre garçons dans le vent qui ont attiré beaucoup de monde autour du court et qui ont su faire apprécier leurs beaux gestes techniques. Les Alami ont gagné haut la main cette finale. Enfin, le tableau grande jeunesse a réuni des potes en dehors du court mais des adversaires acharnés sur le terrain. Chaque joueur oublie le temps d'une rencontre «l'ami» qui est en face.
Ahmed El Khiat, doyen des photographes et grand spécialiste du tennis a été le plus fort et au large sourire lors de la remise des prix en disait long sur sa joie d'avoir surpris un autre ruciste, Farid Bensaïd qui attend toujours une revanche. Ce tableau était également composé de Hassan Benaboub et El Fares Zouhair, tous du RUC . Bravo donc aux universitaires qui ont offert des plateaux relevés.
