«Le rôle de l’Institut du Monde Arabe, explique M. Bauchard, c’est de montrer justement au moment où on parle beaucoup de confrontation, de choc des civilisations, qu’il y a un lieu privilégié d’échange et de connaissance de l’autre, un pont entre le monde arabo-musulman et les pays occidentaux. Je pense que c’est la tâche de l’IMA de faire rencontrer intellectuels, universitaires et journalistes pour dialoguer».
La salle d’exposition, la bibliothèque, le musée, la médiathèque s’avèrent de plus en plus étroits pour contenir l’engouement grandissant des visiteurs dont le nombre grossit de jour en jour. «Nous recevons beaucoup de jeunes, des étudiants d’origine arabe, ou français intéressés par le monde arabe qui viennent prendre des cours de langue dans notre centre d’apprentissage», annonce avec fierté M. Bauchard comme pour présenter l’autre rôle de l’Institut à former et à sensibiliser les générations de demain à la culture de la paix. Parmi les pays qui contribuent activement au projet de l’IMA, le Maroc tient une place de choix. Au terme de sa visite à Rabat, Tanger et Casablanca, M. Bauchard qui a rencontré plusieurs responsables marocains, s’est dit, en effet, très heureux de cette prise de contact pour le moins fructueuse. Le Président de l’IMA qui s’est entretenu avec le Premier ministre Driss Jettou nous a confié qu’il serait question qu’une grande exposition se tienne à Paris dans 18 ou 24 mois, dans le sillage du Temps du Maroc en France. La réflexion est engagée. Entretemps, Rabat accueillera bientôt le prolongement de l’exposition sur les chevaux et les cavaliers arabes qui s’est tenue récemment dans les murs de l’IMA et une autre de photographies d’Al Qods Acharif.
La salle d’exposition, la bibliothèque, le musée, la médiathèque s’avèrent de plus en plus étroits pour contenir l’engouement grandissant des visiteurs dont le nombre grossit de jour en jour. «Nous recevons beaucoup de jeunes, des étudiants d’origine arabe, ou français intéressés par le monde arabe qui viennent prendre des cours de langue dans notre centre d’apprentissage», annonce avec fierté M. Bauchard comme pour présenter l’autre rôle de l’Institut à former et à sensibiliser les générations de demain à la culture de la paix. Parmi les pays qui contribuent activement au projet de l’IMA, le Maroc tient une place de choix. Au terme de sa visite à Rabat, Tanger et Casablanca, M. Bauchard qui a rencontré plusieurs responsables marocains, s’est dit, en effet, très heureux de cette prise de contact pour le moins fructueuse. Le Président de l’IMA qui s’est entretenu avec le Premier ministre Driss Jettou nous a confié qu’il serait question qu’une grande exposition se tienne à Paris dans 18 ou 24 mois, dans le sillage du Temps du Maroc en France. La réflexion est engagée. Entretemps, Rabat accueillera bientôt le prolongement de l’exposition sur les chevaux et les cavaliers arabes qui s’est tenue récemment dans les murs de l’IMA et une autre de photographies d’Al Qods Acharif.
