«Le MDS s'est toujours déroulé dans un esprit de fraternité, de solidarité et de respect pour les différences des uns et des autres. Ce message est d'autant plus important à faire passer cette année».
Un départ rapide pour cette étape de mise en jambe de 25 kilomètres qui comporte néanmoins beaucoup de terrain sablonneux. Ce sont les frères Ahansal (6 victoires au MDS) et leur équipier de l'équipe GEMMA, l'Italien Marco Gozzano, suivis de Mustapha Aït Amar de la CTM qui pointent les premiers au point de contrôle, s'arrêtant à peine, juste le temps de prendre une bouteille d'eau. Loin des leaders, une longue ligne de coureurs et marcheurs s'étale sur plusieurs kilomètres beaucoup et s'attardent au point de contrôle pour vider le sable des chaussures, manger, boire et discuter avec leurs compatriotes. On prend le temps d'apprécier le très beau paysage, même prendre des photos. C'est Mohamed Ahansal qui franchit la ligne d'arrivée le premier, suivi à une minute par son frère Lahcen. L'italien Marco Olmo, vainqueur de la Desert cup (la deuxième course de l'organisation) arrive en 6ème position. Chez les femmes, c'est la Japonaise Emiko Maeda qui fera la tête du classement général. Ce 18e Marathon reste fidèle aux valeurs qui ont fait sa réputation : l'éthique écologique et sportive.
Le Marathon des Sables est une course de gestion. Il faut pendant une semaine gérer son effort, son alimentation et ses besoins hydriques, «gérer sa course, c'est réussir sa course». En autosuffisance alimentaire, tout doit être pesé au gramme près afin de ne pas transporter un matériel qui va rapidement se révéler intransportable s'il n'est pas adapté à ses propres performances physiques (poids du sac compris entre 5 et 12 Kg).
Le coureur doit, par sécurité présenter un minimum de 2000 Kcalories à chaque point de contrôle technique, sous peine de pénalités (à titre informatif, un sédentaire de notre société moderne actuelle avale plus de 2500 Kcalories par jour).
Un départ rapide pour cette étape de mise en jambe de 25 kilomètres qui comporte néanmoins beaucoup de terrain sablonneux. Ce sont les frères Ahansal (6 victoires au MDS) et leur équipier de l'équipe GEMMA, l'Italien Marco Gozzano, suivis de Mustapha Aït Amar de la CTM qui pointent les premiers au point de contrôle, s'arrêtant à peine, juste le temps de prendre une bouteille d'eau. Loin des leaders, une longue ligne de coureurs et marcheurs s'étale sur plusieurs kilomètres beaucoup et s'attardent au point de contrôle pour vider le sable des chaussures, manger, boire et discuter avec leurs compatriotes. On prend le temps d'apprécier le très beau paysage, même prendre des photos. C'est Mohamed Ahansal qui franchit la ligne d'arrivée le premier, suivi à une minute par son frère Lahcen. L'italien Marco Olmo, vainqueur de la Desert cup (la deuxième course de l'organisation) arrive en 6ème position. Chez les femmes, c'est la Japonaise Emiko Maeda qui fera la tête du classement général. Ce 18e Marathon reste fidèle aux valeurs qui ont fait sa réputation : l'éthique écologique et sportive.
Le Marathon des Sables est une course de gestion. Il faut pendant une semaine gérer son effort, son alimentation et ses besoins hydriques, «gérer sa course, c'est réussir sa course». En autosuffisance alimentaire, tout doit être pesé au gramme près afin de ne pas transporter un matériel qui va rapidement se révéler intransportable s'il n'est pas adapté à ses propres performances physiques (poids du sac compris entre 5 et 12 Kg).
Le coureur doit, par sécurité présenter un minimum de 2000 Kcalories à chaque point de contrôle technique, sous peine de pénalités (à titre informatif, un sédentaire de notre société moderne actuelle avale plus de 2500 Kcalories par jour).
