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Lorsqu'il fit ses débuts à l'OC avec Chadli, Jrindou, El Gotti, Saïd Deghaye, Nazir, Bekkari et bien d'autres, le jeune Youssef ne pensait certainement pas qu'il ferait une fulgurante carrière. La fusion avec le Raja a été le tournant de ce parcours. Rares sont ceux qui le savent mais le père Rossi a évolué au club des “Verts” et c'est tout naturellement qu'il y résigna.
Il connut par la suite la sélection espoir et une participation aux Jeux de la Francophonie en 1993 à Paris. "Nous avions perdu en demi-finale contre la France, se rappelle-t-il, par 1-0. Ce fut une expérience enrichissante pour moi". Il tapa très vite dans l'œil l'ancien entraîneur de l'équipe nationale, le Brésilien Nuñez. Commence alors une belle carrière internationale qui le mènera aux quatre coins du globe. Il se forge une personnalité et devient l'une des pièces maîtresses du Raja de Casablanca et des Lions de l'Atlas .
En 1997, l'occasion se présente pour lui de jouer dans un club professionnel en France. Il tente l'expérience avec Rennes. Il est très vite adopté par les Bretons qui lui réservent un accueil des plus chaleureux. "J'ai beaucoup aimé cette ville, avoue-t-il. C'est calme et les gens sont accueillants. Evidemment, il y a une différence entre la vie en France et au Maroc, ne serait-ce qu'au point de vue climat, des us et coutumes. Mais au fil du temps, j'ai réussi à m'adapter".
Dans le même temps, il est appelé par Henri Michel, tout juste avant les phases finales de la Coupe du Monde en France en 98. "Henri Michel est un entraîneur que je respecte, avait-il déclaré à un journal local. Il a beaucoup fait pour le football marocain. Grâce à lui, nous sommes qualifiés pour la Coupe d'Afrique et la Coupe du Monde".
Un climat très rude
L'année suivante, il est prêté à Nec Nijmegen, un club hollandais de D1, avant un retour rapide à son club d'origine. Son ambition était de jouer à un plus haut niveau, raison pour laquelle il opta, dès la saison 2000/2001 pour l'Ecosse et plus précisément à Dunfermline Athletic en Premier League. "Ce furent des années difficiles, reconnaît-il, sur le site Sportmaroc.com dont l'un des animateurs s'occupe désormais du site du Raja (raja-foot.com) surtout en comparaison avec mes trois saisons en France. Il y a d'abord le climat très rude : froid, neige qui rendaient les entraînements difficiles. Sur le plan footballistique, l'engagement est plus physique, ne laissant aucune place à l'expression technique propre au football africain…".
Pourquoi a-t-il choisi de revenir au Maroc ? "J'ai le mal du pays. L'envie d'y retourner était débordante. Je voulais retrouver ma famille, mes amis, berf, la chaleur de mon pays. Et puis, c'était pour moi une excellente possibilité de relancer ma carrière à 29 ans…".
Il a réjoint la formation des FAR, mais au bout de quelques jours, il ne se sentait pas très à l'aise dans un environnement dont il n'a pas l'habitude. "J'ai compris que je ne pouvais pas m'intégrer facilement. Je ne peux pas, en fait, jouer ailleurs qu'au Raja…", déclare-t-il sur ce même cite. Il est heureux de se retrouver dans son club d'origine où il n'a laissé que de bons souvenirs.
Il connut par la suite la sélection espoir et une participation aux Jeux de la Francophonie en 1993 à Paris. "Nous avions perdu en demi-finale contre la France, se rappelle-t-il, par 1-0. Ce fut une expérience enrichissante pour moi". Il tapa très vite dans l'œil l'ancien entraîneur de l'équipe nationale, le Brésilien Nuñez. Commence alors une belle carrière internationale qui le mènera aux quatre coins du globe. Il se forge une personnalité et devient l'une des pièces maîtresses du Raja de Casablanca et des Lions de l'Atlas .
En 1997, l'occasion se présente pour lui de jouer dans un club professionnel en France. Il tente l'expérience avec Rennes. Il est très vite adopté par les Bretons qui lui réservent un accueil des plus chaleureux. "J'ai beaucoup aimé cette ville, avoue-t-il. C'est calme et les gens sont accueillants. Evidemment, il y a une différence entre la vie en France et au Maroc, ne serait-ce qu'au point de vue climat, des us et coutumes. Mais au fil du temps, j'ai réussi à m'adapter".
Dans le même temps, il est appelé par Henri Michel, tout juste avant les phases finales de la Coupe du Monde en France en 98. "Henri Michel est un entraîneur que je respecte, avait-il déclaré à un journal local. Il a beaucoup fait pour le football marocain. Grâce à lui, nous sommes qualifiés pour la Coupe d'Afrique et la Coupe du Monde".
Un climat très rude
L'année suivante, il est prêté à Nec Nijmegen, un club hollandais de D1, avant un retour rapide à son club d'origine. Son ambition était de jouer à un plus haut niveau, raison pour laquelle il opta, dès la saison 2000/2001 pour l'Ecosse et plus précisément à Dunfermline Athletic en Premier League. "Ce furent des années difficiles, reconnaît-il, sur le site Sportmaroc.com dont l'un des animateurs s'occupe désormais du site du Raja (raja-foot.com) surtout en comparaison avec mes trois saisons en France. Il y a d'abord le climat très rude : froid, neige qui rendaient les entraînements difficiles. Sur le plan footballistique, l'engagement est plus physique, ne laissant aucune place à l'expression technique propre au football africain…".
Pourquoi a-t-il choisi de revenir au Maroc ? "J'ai le mal du pays. L'envie d'y retourner était débordante. Je voulais retrouver ma famille, mes amis, berf, la chaleur de mon pays. Et puis, c'était pour moi une excellente possibilité de relancer ma carrière à 29 ans…".
Il a réjoint la formation des FAR, mais au bout de quelques jours, il ne se sentait pas très à l'aise dans un environnement dont il n'a pas l'habitude. "J'ai compris que je ne pouvais pas m'intégrer facilement. Je ne peux pas, en fait, jouer ailleurs qu'au Raja…", déclare-t-il sur ce même cite. Il est heureux de se retrouver dans son club d'origine où il n'a laissé que de bons souvenirs.
