Des journalistes de la chaîne de télévision 2M affirmant être « la majorité silencieuse au sein de la rédaction » soulignent, dans un communiqué, que « les doléances aux allures d'accusations contre certains journalistes n'émanent que d'une minorité » et que « loin de vouloir améliorer les conditions et la qualité de travail des journalistes installent au contraire au sein de la rédaction un climat nuisible à la mission d'information qu'elle doit remplir ». Se considérant comme étant jusque-là silencieux et pris en otage par des individualités aux desseins biens différents, ces journalistes regrettent la tournure personnifiée prise par les récents événements.
Ils regrettent, également, l'existence d'une volonté délibérée de pousser la situation vers le pourrissement, vers le non respect des règles de travail au sein d'une structure appelée à accompagner les réformes que connaît le pays et qui doit être à la hauteur de la confiance de tous les Marocains.
Ils souhaitent « un retour au calme afin d'évoluer de nouveau dans un environnement strictement professionnel où l'ancienneté, aussi respectable soit-elle n'est plus érigée en unique qualité mais, où, au contraire, la compétence et le mérite sont les critères professionnels premiers ».
Cela dit, le 19 octobre dernier, s'est tenue une assemblée de journalistes, affiliés au Syndicat national de la presse marocaine, et appartenant à la deuxième chaîne. A l'issue de cette réunion, ils ont publié un communiqué faisant état de la détérioration du climat de travail au sein de cette chaîne.
Dans le même ordre, ils ont demandé la restructuration de certains services d'information et la constitution d'un conseil de rédaction et la mise en place d'une charte rédactionnelle.
Aussi, l'accent a été mis sur la nécessité de répondre aux doléances matérielles et professionnelles des journalistes.
Ils regrettent, également, l'existence d'une volonté délibérée de pousser la situation vers le pourrissement, vers le non respect des règles de travail au sein d'une structure appelée à accompagner les réformes que connaît le pays et qui doit être à la hauteur de la confiance de tous les Marocains.
Ils souhaitent « un retour au calme afin d'évoluer de nouveau dans un environnement strictement professionnel où l'ancienneté, aussi respectable soit-elle n'est plus érigée en unique qualité mais, où, au contraire, la compétence et le mérite sont les critères professionnels premiers ».
Cela dit, le 19 octobre dernier, s'est tenue une assemblée de journalistes, affiliés au Syndicat national de la presse marocaine, et appartenant à la deuxième chaîne. A l'issue de cette réunion, ils ont publié un communiqué faisant état de la détérioration du climat de travail au sein de cette chaîne.
Dans le même ordre, ils ont demandé la restructuration de certains services d'information et la constitution d'un conseil de rédaction et la mise en place d'une charte rédactionnelle.
Aussi, l'accent a été mis sur la nécessité de répondre aux doléances matérielles et professionnelles des journalistes.
