Connexion
Un accord avait été signé récemment à Rabat entre les représentants de l'institution néerlandaise «Nieuwe Kerk» et le ministère de la Culture en vertu duquel ce dernier a prêté à l'institution néerlandaise 300 pièces ethnographiques ainsi que des manuscrits historiques des bibliothèques royale et nationale, pour les exposer lors de cette manifestation dont le coup d'envoi a été donné mercredi soir. Cette exposition a été divisée en deux grandes parties dont les critères sont thématiques et chronologiques .
La première étape de l'exposition a mis en valeur le Maroc anté-islamique, offrant une panoplie d'objets d'art, âgés de plusieurs milliers d'années. Ce volet de l'exposition a mis la lumière sur la grandeur des civilisations phénicienne, carthaginoise, et présenté aux visiteurs une gamme de bijoux appartenant à cette époque. De magnifiques bronzes datant de la période romaine sont également exposés. La seconde partie de l'exposition aborde, pour sa part, le Maroc post-islamique .
L'activité culturelle , la cœxistence exemplaire entre les religions monothéistes, l'ethnographie et l'artisanat, témoignent de la période faste qui a suivi l'arrivée de l'Islam dans notre pays. Et comme cette période occupe un large espace de l'exposition, en raison de sa richesse historique, elle atteste également des richesses fondamentales du patrimoine national qui atteste du savoir-faire et de l'originalité et de la créativité au Maroc. L'artisanat marocain, très en vogue actuellement aux Pays-Bas, présente ses plus beaux atours: les zelliges et les portes géantes réalisées en bois sculpté.
Lors d'une conférence de presse, organisée hier matin, le directeur de la Fondation nationale de la Nieuwe Kerk, M. Ernest W. Veen a précisé, dans une allocution, qu' «en 2005, cela fera 400 ans que le Maroc et les Pays-Bas entretiennent des relations bilatérales». Pour sa Fondation, «cet anniversaire a été l'occasion d'organiser cette exposition et de perpétuer une tradition de sensibilisation du grand public à la culture d'un autre pays».
Pour sa part, le ministre de la Culture a insisté sur la nécessité d'avoir organisé «une telle rencontre qui permettra de jeter des ponts pour la compréhension mutuelle entre l'Orient et l'Occident».
La première étape de l'exposition a mis en valeur le Maroc anté-islamique, offrant une panoplie d'objets d'art, âgés de plusieurs milliers d'années. Ce volet de l'exposition a mis la lumière sur la grandeur des civilisations phénicienne, carthaginoise, et présenté aux visiteurs une gamme de bijoux appartenant à cette époque. De magnifiques bronzes datant de la période romaine sont également exposés. La seconde partie de l'exposition aborde, pour sa part, le Maroc post-islamique .
L'activité culturelle , la cœxistence exemplaire entre les religions monothéistes, l'ethnographie et l'artisanat, témoignent de la période faste qui a suivi l'arrivée de l'Islam dans notre pays. Et comme cette période occupe un large espace de l'exposition, en raison de sa richesse historique, elle atteste également des richesses fondamentales du patrimoine national qui atteste du savoir-faire et de l'originalité et de la créativité au Maroc. L'artisanat marocain, très en vogue actuellement aux Pays-Bas, présente ses plus beaux atours: les zelliges et les portes géantes réalisées en bois sculpté.
Lors d'une conférence de presse, organisée hier matin, le directeur de la Fondation nationale de la Nieuwe Kerk, M. Ernest W. Veen a précisé, dans une allocution, qu' «en 2005, cela fera 400 ans que le Maroc et les Pays-Bas entretiennent des relations bilatérales». Pour sa Fondation, «cet anniversaire a été l'occasion d'organiser cette exposition et de perpétuer une tradition de sensibilisation du grand public à la culture d'un autre pays».
Pour sa part, le ministre de la Culture a insisté sur la nécessité d'avoir organisé «une telle rencontre qui permettra de jeter des ponts pour la compréhension mutuelle entre l'Orient et l'Occident».
