Connexion
Ils en parlent comme d'un cauchemar et d'un gâchis irréparable dont ils ont du mal a se remettre.ce 17 août 1995, un ouragan d'une violence inhabituelle avait frappe leur vallee. Une pluie diluvienne s'était alors abattue sur la région, la transformant en torrent tumultueux.
Sitti Fadma,dernier bourg au pied de la montagne, jusqu'à Souk Tnine Ourika, autant dire a une trentaine de kilomètres en aval. dévalant des contreforts du Haut Atlas. des blocs de rochers,arracha des arbres et emporta sur sa lancée hommes et animaux,bétail,vegetation.les voitures des estivants furent réduites a l'état de carcasses et l'excursion se transforma pour eux en couchemar.bilan plus de 200 morts et disparus et des dégâts matériels évalues a plusieurs millions de dirhams dans le secteur agricole,des routes,commerce de services aussi dans l'hôtellerie .
La région a été marginalisée et délaisse jusqu'aux années 1991 au moment du découpage national.lorsqu'elle érigée en provance.aujourd'hui le Taux de 60 % de couverture pour l'electrification.les 1300 villages constituant la région étaient isoles en 1991.depuis 1995 un travail énorme qui a été effectue,il reste Beaucoup a faire ( des Douars sans Eau courante ni electritecite aussi ni route ) mais le Grande ennemi demeure l'analphabétisme ( 75 % ) dans la province AL HAOUZ et la pauvreté dans la région est une des 5 régions les plus pauvres du maroc.
Depuis les tristes événements de 17 août 1995 , il plusieurs programmes de prévention dont un est mène par la province de AL HAOUZ avec l'aide dans le cadre de la coopération internationale marocain japonaise .il s'agit d'un système d'alerte dans le bassin versant d'ourika. Un équipement pour cinq stations d'observation des crues.l'enveloppe de la subvention japonaise est de 40 millions de dirhams.
par ailleurs le département des eaux et forets et de la lutte contre la désertification a-t-il entrepris de grande travaux de correction torrentielles dans le cadre du projet de développement du bassin versant de l'oued ourika finance par le fonds Hassan II pour le développement économique et social a hauteur de 100 millions de dirhams.les travaux déjà entamer depuis 2001en exécution,vise essentiellement le traitement mécanique des ravins les plus névralgiques et le traitement biologique de ceux qui le sont moins , en sus des actions de désenclavement de certains douars ( 40 douars déjà désenclaver ).
les opérations initiées ont également consiste en contrôle de l'accès a la vallée en cas de risque,en la signalisation des zones dangereuses,en l'interdiction de toute construction toute sorte d'urbanisation sur la rive gauche de la vallée de lits des oueds et des massifs en lutte contre le camping sauvage. Aujourd'hui que grâce a ce programme aune autre catastrophe a été vite en août 2003 de l'année dernier. La vallée a retrouve son dynamisme pendant la période estival 2004 et la préparation du moussem de mois août de Sitti fadma .la vallée reçois rien que pendant les trois mois d'été 120 000 visiteurs et 500 000 toute l'année .le site qui connaît une affluence remarquable d'estivants, que soit des marrakchis ou de autres vacanciers venant des autres ville du Royaume ou des touristes étrangers pour leur départ randonnée dans les montagne.
Sitti Fadma,dernier bourg au pied de la montagne, jusqu'à Souk Tnine Ourika, autant dire a une trentaine de kilomètres en aval. dévalant des contreforts du Haut Atlas. des blocs de rochers,arracha des arbres et emporta sur sa lancée hommes et animaux,bétail,vegetation.les voitures des estivants furent réduites a l'état de carcasses et l'excursion se transforma pour eux en couchemar.bilan plus de 200 morts et disparus et des dégâts matériels évalues a plusieurs millions de dirhams dans le secteur agricole,des routes,commerce de services aussi dans l'hôtellerie .
La région a été marginalisée et délaisse jusqu'aux années 1991 au moment du découpage national.lorsqu'elle érigée en provance.aujourd'hui le Taux de 60 % de couverture pour l'electrification.les 1300 villages constituant la région étaient isoles en 1991.depuis 1995 un travail énorme qui a été effectue,il reste Beaucoup a faire ( des Douars sans Eau courante ni electritecite aussi ni route ) mais le Grande ennemi demeure l'analphabétisme ( 75 % ) dans la province AL HAOUZ et la pauvreté dans la région est une des 5 régions les plus pauvres du maroc.
Depuis les tristes événements de 17 août 1995 , il plusieurs programmes de prévention dont un est mène par la province de AL HAOUZ avec l'aide dans le cadre de la coopération internationale marocain japonaise .il s'agit d'un système d'alerte dans le bassin versant d'ourika. Un équipement pour cinq stations d'observation des crues.l'enveloppe de la subvention japonaise est de 40 millions de dirhams.
par ailleurs le département des eaux et forets et de la lutte contre la désertification a-t-il entrepris de grande travaux de correction torrentielles dans le cadre du projet de développement du bassin versant de l'oued ourika finance par le fonds Hassan II pour le développement économique et social a hauteur de 100 millions de dirhams.les travaux déjà entamer depuis 2001en exécution,vise essentiellement le traitement mécanique des ravins les plus névralgiques et le traitement biologique de ceux qui le sont moins , en sus des actions de désenclavement de certains douars ( 40 douars déjà désenclaver ).
les opérations initiées ont également consiste en contrôle de l'accès a la vallée en cas de risque,en la signalisation des zones dangereuses,en l'interdiction de toute construction toute sorte d'urbanisation sur la rive gauche de la vallée de lits des oueds et des massifs en lutte contre le camping sauvage. Aujourd'hui que grâce a ce programme aune autre catastrophe a été vite en août 2003 de l'année dernier. La vallée a retrouve son dynamisme pendant la période estival 2004 et la préparation du moussem de mois août de Sitti fadma .la vallée reçois rien que pendant les trois mois d'été 120 000 visiteurs et 500 000 toute l'année .le site qui connaît une affluence remarquable d'estivants, que soit des marrakchis ou de autres vacanciers venant des autres ville du Royaume ou des touristes étrangers pour leur départ randonnée dans les montagne.
