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Pour fructifier pareils résultats, les efforts du président se sont axés sur des thèmes d'une importance capitale. C'est ce qu'il va nous révéler lors de l'entretien qu'il nous a accordé.
" Le problème du volley-ball n'est pas celui des joueurs mais celui des moyens, en ce sens que même si le ministère de tutelle nous a accordé une bonne part des subventions qu'il octroie aux fédérations, il n'en demeure pas moins que cela reste insuffisant.
Comme nos voisins tunisiens, j'aurais aimé que les recettes du Loto puissent tomber dans les caisses du sport au lieu de celles de la trésorerie. Ce que cette dernière en fait ne suffit pas au sport. Certes, il y a certainement des priorités, mais… Car ce qui explique l'essor du sport tunisien, c'est justement cette manne d'argent mise à sa disposition.
L'intervention des gros bras tels Itissalat Al Maghrib, OCP, RAM, Banque du Maroc etc.. dans la promotion du sport pourrait avoir des conséquences inimaginable sur le décollage du sport national où les talents ne manquent pas.
Dorénavant, c'est l'orientation vers celui qui pourrait constituer un vecteur indéniable pour tirer le volley vers le haut du filet, c'est le beach volley. Après les contacts fructueux du président avec un gros sponsor, le beach semble s'attirer les faveurs de Itissalat Al Maghrib qui voit dans cette discipline un vecteur très porteur. Cela pourrait, via les deux chaînes nationales, élargir le secteur d'entente en permettant à la FRMVB d'offrir dans un premier temps des confrontations qui pourraient intéresser le public : la supercoupe, la finale de la Coupe du Trône, le top four et le beach.
A cela s'ajoute le subside du secteur Sport. L'argent récolté ça et là pourrait nous aider à faire appel à la FIV pour la construction d'un centre africain de beach car les centres de volley existent déjà à Tunis et à Dakar. Notre centre à nous va dispenser un savoir de haute facture, entre autres, puisque nous avons deux notoriétés internationales en la matière Ahchcouch et Idrissi.
Le second point pour donner davantage de tonus est un partenariat d'un genre particulier avec la FRMA : les contacts avec le DTN, Aziz Daouda, qui soutient ce partenariat. Je vous donne un exemple : sur 860.000 jeunes qui se présentent, 10% soit 86.00 préfèrent le volley à l'athlétisme, quel bon géant fera le volley-ball national !"
Nos vœux pour que cela se réalise !
" Le problème du volley-ball n'est pas celui des joueurs mais celui des moyens, en ce sens que même si le ministère de tutelle nous a accordé une bonne part des subventions qu'il octroie aux fédérations, il n'en demeure pas moins que cela reste insuffisant.
Comme nos voisins tunisiens, j'aurais aimé que les recettes du Loto puissent tomber dans les caisses du sport au lieu de celles de la trésorerie. Ce que cette dernière en fait ne suffit pas au sport. Certes, il y a certainement des priorités, mais… Car ce qui explique l'essor du sport tunisien, c'est justement cette manne d'argent mise à sa disposition.
L'intervention des gros bras tels Itissalat Al Maghrib, OCP, RAM, Banque du Maroc etc.. dans la promotion du sport pourrait avoir des conséquences inimaginable sur le décollage du sport national où les talents ne manquent pas.
Dorénavant, c'est l'orientation vers celui qui pourrait constituer un vecteur indéniable pour tirer le volley vers le haut du filet, c'est le beach volley. Après les contacts fructueux du président avec un gros sponsor, le beach semble s'attirer les faveurs de Itissalat Al Maghrib qui voit dans cette discipline un vecteur très porteur. Cela pourrait, via les deux chaînes nationales, élargir le secteur d'entente en permettant à la FRMVB d'offrir dans un premier temps des confrontations qui pourraient intéresser le public : la supercoupe, la finale de la Coupe du Trône, le top four et le beach.
A cela s'ajoute le subside du secteur Sport. L'argent récolté ça et là pourrait nous aider à faire appel à la FIV pour la construction d'un centre africain de beach car les centres de volley existent déjà à Tunis et à Dakar. Notre centre à nous va dispenser un savoir de haute facture, entre autres, puisque nous avons deux notoriétés internationales en la matière Ahchcouch et Idrissi.
Le second point pour donner davantage de tonus est un partenariat d'un genre particulier avec la FRMA : les contacts avec le DTN, Aziz Daouda, qui soutient ce partenariat. Je vous donne un exemple : sur 860.000 jeunes qui se présentent, 10% soit 86.00 préfèrent le volley à l'athlétisme, quel bon géant fera le volley-ball national !"
Nos vœux pour que cela se réalise !
