Connexion
Le Premier ministre israélien, Ariel Sharon, a lancé vendredi des menaces à peine voilées d'élimination du président de l'Autorité palestinienne, tandis que le ministre de la Santé, Danny Naveh, a affirmé: «Yasser Arafat et son gang de terroristes venus de Tunis (où il résidait avant son retour dans les territoires palestiniens en 1994) constitue un obstacle plus important que le Hamas et cheikh Ahmad Yassine».
M. Kaddoumi, qui réside en permanence à Tunis, a dénoncé samedi «l'escalade militaire israélienne et l'agression perpétrée contre le peuple palestinien», lors d'un point de presse.
«La poursuite des opérations de répression est la preuve irréfutable que le gouvernement israélien ne veut ni la paix ni la sécurité ni la stabilité dans la région», a-t-il affirmé, ajoutant que l'Autorité palestinienne était pour sa part «attachée au processus de paix sur la base de la légalité internationale».
Le secrétaire général de la Ligue arabe séjourne, depuis vendredi à Tunis, où il s'est entretenu de l'organisation du prochain Sommet arabe avec le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali et le ministre des Affaires étrangères, Habib Ben Yahia.
Le porte-parole de la présidence avait affirmé à l'issue de l'entretien Ben Ali-Moussa que la Tunisie «se réserve le droit de réunir ce sommet sur son sol», ajoutant dans le même temps la volonté de Tunis «de poursuivre et d'intensifier les concertations avec les pays frères».
La Tunisie avait annoncé il y a une semaine le report, sine die, du sommet arabe qu'elle devait accueillir les 29 et 30 mars en raison, selon elle, de «profondes divergences» sur les réformes politiques dans le monde arabe.
L'Egypte s'était alors déclarée prête à accueillir le sommet mais le président Ben Ali avait aussitôt affirmé que «le report du sommet ne veut pas dire que la Tunisie renonce à sa présidence ni à son engagement de l'accueillir».
M. Amr Moussa, qui s'est rendu samedi en Libye pour un séjour de quelques heures où il a eu des contacts avec les autorités de ce pays portant sur la tenue du sommet, a quitté Tunis dimanche en milieu de journée pour le Maroc.
M. Kaddoumi, qui réside en permanence à Tunis, a dénoncé samedi «l'escalade militaire israélienne et l'agression perpétrée contre le peuple palestinien», lors d'un point de presse.
«La poursuite des opérations de répression est la preuve irréfutable que le gouvernement israélien ne veut ni la paix ni la sécurité ni la stabilité dans la région», a-t-il affirmé, ajoutant que l'Autorité palestinienne était pour sa part «attachée au processus de paix sur la base de la légalité internationale».
Le secrétaire général de la Ligue arabe séjourne, depuis vendredi à Tunis, où il s'est entretenu de l'organisation du prochain Sommet arabe avec le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali et le ministre des Affaires étrangères, Habib Ben Yahia.
Le porte-parole de la présidence avait affirmé à l'issue de l'entretien Ben Ali-Moussa que la Tunisie «se réserve le droit de réunir ce sommet sur son sol», ajoutant dans le même temps la volonté de Tunis «de poursuivre et d'intensifier les concertations avec les pays frères».
La Tunisie avait annoncé il y a une semaine le report, sine die, du sommet arabe qu'elle devait accueillir les 29 et 30 mars en raison, selon elle, de «profondes divergences» sur les réformes politiques dans le monde arabe.
L'Egypte s'était alors déclarée prête à accueillir le sommet mais le président Ben Ali avait aussitôt affirmé que «le report du sommet ne veut pas dire que la Tunisie renonce à sa présidence ni à son engagement de l'accueillir».
M. Amr Moussa, qui s'est rendu samedi en Libye pour un séjour de quelques heures où il a eu des contacts avec les autorités de ce pays portant sur la tenue du sommet, a quitté Tunis dimanche en milieu de journée pour le Maroc.
