Ce comportement lui mit la puce à l'oreille. Il commença des recherches pour déceler d'où venait le mal. Le bateau du Rachad aurait-il pris eau sans que le capitaine ait été mis au courant ?
Les recherches entreprises conduisirent vers deux hommes. Ceux en qui le président avait une confiance aveugle : le secrétaire général et le trésorier. Napoléon n'avait-il pas dit une fois : "Seigneur, protégez-moi de mes amis ! Mes ennemis, je m'en charge !"
Ayant été occupé par son poste de président de la Commune de Sidi Bernoussi, Ahmed Ammouri, puisque c'est de lui qu'il s'agit, signait tout ce que les deux hommes lui présentaient : chèques, documents administratifs, documents de la FRMF, de la ligue etc.
le président, via la presse, allait parer au plus urgent : annuler la date de cette assemblée fantoche. Les responsables de l'hôtel où allait se tenir cette fausse assemblée, privilégiant la légitimité, annulèrent la mascarade.
Toutes les potentialités animées de bonnes intentions ont été écartées voire dégoûtées par les deux principaux instigateurs de ce mini-putch. Le président Ahmed Ammouri entreprit de défaire tout ce que ses hommes de main ont tramé contre le Rachad. Le Groupement national averti entreprit de faire une enquête qui a abouti à la légitimité :" je tiens à remercier le président de la FRMF et le Groupement national et son président de nous avoir soutenus dans notre cause!" confie M. Ammouri. Fort de l'appui du GNFE, une vraie assemblée est tenue avec tous ceux qui ont été écartés. Le jour de l'assemblée, ce groupuscule n'a pas osé pénétrer dans la salle de réunion de peur de se retrouver nez à nez avec celui qu'ils ont trompé.
Le Rachad retrouva alors la sérénité. Mais ce groupe de faussaires a poussé la supercherie encore plus loin en leurrant même le président de la FRMF qui, dans sa sincérité habituelle, les a reçus pendant cinq bonnes minutes.
Laps de temps qu'ils ont transformé en "1 heure" lorsqu'ils sont revenus à Sidi Bernoussi pour poursuivre leur manœuvre. Mais puisqu'ils se croient dans le vrai et assurent avoir été reçus par le président de l'instance suprême qui gère le football dans notre pays, pourquoi n'osent-ils même pas passer à côté du stade du Rachad ? Tout simplement parce qu'ils ont peur d'être lynchés par un public qu'ils n'ont cessé de tourner en bourrique depuis très longtemps.
En tous les cas, la lettre du Rachad Bernoussi adressée au président de la FRMF est on ne peut plus claire. Elle comprend toutes les falsifications, tricheries, faux et usage de faux auxquels le secrétaire général et le trésorier se sont livré, abusant d'une confiance aveugle qui leur a été faite. Pour tirer davantage au clair cette situation, le président a porté l'affaire devant la justice.
Puis, où étaient ces hommes lorsque le Rachad a connu une traversée du désert ? Qui a financé salaires, primes et déplacements de ses propres deniers de 1987 jusqu'en 2001 ? Force est de reconnaître que le troisième club de Casablanca après le WAC et le Raja -mais le premier sur le plan de la formation -est un véritable pourvoyeur de clubs en talents. Rarissimes sont les clubs où il n'y a pas un ou plusieurs joueurs du Rachad Bernoussi.
Avec le retour de Ahmed Ammouri à la tête du RB, c'est la consécration d'un homme dont la responsabilité au sein du Conseil de la ville au niveau du budget a été à l'origine de l'octroi de subventions à toutes les associations de la mégapole.
Une question se pose cependant, pourquoi ces hommes tiennent tellement à rester dans le comité ? Car bon nombre de dirigeants sportifs aisés ont quitté leurs clubs et n'ont fait aucune tentative pour y retourner. Est-ce parce que les premiers croient que le club cher à Sidi Bernoussi est une mine d'or et qu'ils tiennent à en profiter? C'est ce qu'il
paraît !
Les recherches entreprises conduisirent vers deux hommes. Ceux en qui le président avait une confiance aveugle : le secrétaire général et le trésorier. Napoléon n'avait-il pas dit une fois : "Seigneur, protégez-moi de mes amis ! Mes ennemis, je m'en charge !"
Ayant été occupé par son poste de président de la Commune de Sidi Bernoussi, Ahmed Ammouri, puisque c'est de lui qu'il s'agit, signait tout ce que les deux hommes lui présentaient : chèques, documents administratifs, documents de la FRMF, de la ligue etc.
le président, via la presse, allait parer au plus urgent : annuler la date de cette assemblée fantoche. Les responsables de l'hôtel où allait se tenir cette fausse assemblée, privilégiant la légitimité, annulèrent la mascarade.
Toutes les potentialités animées de bonnes intentions ont été écartées voire dégoûtées par les deux principaux instigateurs de ce mini-putch. Le président Ahmed Ammouri entreprit de défaire tout ce que ses hommes de main ont tramé contre le Rachad. Le Groupement national averti entreprit de faire une enquête qui a abouti à la légitimité :" je tiens à remercier le président de la FRMF et le Groupement national et son président de nous avoir soutenus dans notre cause!" confie M. Ammouri. Fort de l'appui du GNFE, une vraie assemblée est tenue avec tous ceux qui ont été écartés. Le jour de l'assemblée, ce groupuscule n'a pas osé pénétrer dans la salle de réunion de peur de se retrouver nez à nez avec celui qu'ils ont trompé.
Le Rachad retrouva alors la sérénité. Mais ce groupe de faussaires a poussé la supercherie encore plus loin en leurrant même le président de la FRMF qui, dans sa sincérité habituelle, les a reçus pendant cinq bonnes minutes.
Laps de temps qu'ils ont transformé en "1 heure" lorsqu'ils sont revenus à Sidi Bernoussi pour poursuivre leur manœuvre. Mais puisqu'ils se croient dans le vrai et assurent avoir été reçus par le président de l'instance suprême qui gère le football dans notre pays, pourquoi n'osent-ils même pas passer à côté du stade du Rachad ? Tout simplement parce qu'ils ont peur d'être lynchés par un public qu'ils n'ont cessé de tourner en bourrique depuis très longtemps.
En tous les cas, la lettre du Rachad Bernoussi adressée au président de la FRMF est on ne peut plus claire. Elle comprend toutes les falsifications, tricheries, faux et usage de faux auxquels le secrétaire général et le trésorier se sont livré, abusant d'une confiance aveugle qui leur a été faite. Pour tirer davantage au clair cette situation, le président a porté l'affaire devant la justice.
Puis, où étaient ces hommes lorsque le Rachad a connu une traversée du désert ? Qui a financé salaires, primes et déplacements de ses propres deniers de 1987 jusqu'en 2001 ? Force est de reconnaître que le troisième club de Casablanca après le WAC et le Raja -mais le premier sur le plan de la formation -est un véritable pourvoyeur de clubs en talents. Rarissimes sont les clubs où il n'y a pas un ou plusieurs joueurs du Rachad Bernoussi.
Avec le retour de Ahmed Ammouri à la tête du RB, c'est la consécration d'un homme dont la responsabilité au sein du Conseil de la ville au niveau du budget a été à l'origine de l'octroi de subventions à toutes les associations de la mégapole.
Une question se pose cependant, pourquoi ces hommes tiennent tellement à rester dans le comité ? Car bon nombre de dirigeants sportifs aisés ont quitté leurs clubs et n'ont fait aucune tentative pour y retourner. Est-ce parce que les premiers croient que le club cher à Sidi Bernoussi est une mine d'or et qu'ils tiennent à en profiter? C'est ce qu'il
paraît !
