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Cette visite s’inscrit dans le cadre des relations étroites qui lient les deux clubs, dans la foulée du RCA-MAS qui a tourné à l’avantage des locaux.
Une rencontre dont les péripéties ont quelque peu rassuré côté fassi et confirmé que l’équipe de Rossely passait par une phase de construction et que les nouvelles recrues comme Boujemaâ Kassab (ex-WAC) et Thiam Cheikh Mohamed (ex-Jeanne d’Arc) ne réclament qu’un peu plus de temps pour s’exprimer pleinement.
Si on leur ajoute les retours attendus de Omar Hassi, de Chkilit, Bourissay voire Allaoui, on imagine ce que sera alors le MAS version 2005, on reconnaîtra au passage à M. Mohamed Bennani le mérite d’avoir ratissé large en contribuant de près au règlement de certains problèmes d’ordre interne en parfait accord, faut-il le souligner, avec les membres du comité dirigeant établis à Fès.
Revenons à cette visite effectuée au siège du club rajaoui pour mettre l’accent sur le fait qu’elle a marqué les esprits car le MAS, malgré un passé glorieux parmi l’élite de notre football, est loin de posséder des infrastructures propres et exemplaires à même de constituer la véritable identité du club.
Outre M. Chabat, Jawad Hamdoun et Aziz Filali, tous deux vice-présidents du conseil de la ville de Fès, ils auront eu une idée bien précise sur les avancées acquises par d’autres clubs, comme le Raja et son club-house.
La journée de l’unité… retrouvée ? Oui, le samedi 9 octobre demeurera une date dans l’histoire du club et de certains de ses dirigeants qui se sont associé au maire de Fès pour entreprendre un travail de longue haleine laissant de côté les frictions inutiles et surtout les médisances des terrasses de cafés.
Plus que par le passé et comme l’a rappelé M. Saâd Akesbi dans une déclaration faite au “ Matin ”, le MAS a plus que jamais besoin de retrouver une famille, seule alternative à ses yeux pour rompre avec un certain passé, contre lequel adhérents et sympathisants se sont mobilisés ensemble avant et lors de la dernière assemblée générale du 31 juillet dernier.
Dans cette perspective, le président du MAS garde toute sa confiance dans l’encadrement technique actuel, ne cachant pas qu’il compte sur le duo Aziz Souleiymani et Abdelkrim Mouiss pour veiller sur l’équipe “ juniors ” et suivre ses éléments au quotidien afin de répondre aux attentes de l’équipe première.
Concernant les recrutements opérés, M. Saâd Akesbi reconnaît qu’ils l’ont été un peu à la va-vite au mois de septembre pour des raisons de mise sur pied d’une équipe compétitive pour affronter les contraintes d’un calendrier peu clément pour le MAS en ce début de saison. D’où la nécessité selon toujours M. Akesbi de redoubler d’efforts et d’accorder davantage d’intérêt au centre de formation du MAS.
Quant à la question épineuse de la reconquête du public, le président du MAS nous indique que des cartes annuelles d’accès au stade sont mises en circulation à des tarifs très étudiés ce qui, à son avis, permettra au MAS de retrouver prochainement une moyenne de 3000 à 4000 spectateurs par match au stade Hassan II.
Une manière d’impliquer les amateurs qui ont déserté les terrains de reprendre goût au football. Nous ne conclurons pas sans ajouter que Saâd Akesbi, qui travaille actuellement sur plusieurs fronts, revient aux relations avec l’entraîneur Rossely pour souligner que celui-ci s’est engagé à respecter les termes du contrat signé avec le MAS tout en respectant l’application du programme de travail établi.
Par ailleurs, M. Akesbi compte élargir la base des adhérents du MAS en accordant à ceux qui le souhaitent d’ “ entrer ” au club par la grande porte, sans distinction ni exigences. Des pas qui en disent long sur la détermination de ce président qui connaît le MAS de l’intérieur puisqu’il y est depuis des années, se positionnant notamment au niveau de l’école de football où il a accompli un labeur discret mais important.
Une rencontre dont les péripéties ont quelque peu rassuré côté fassi et confirmé que l’équipe de Rossely passait par une phase de construction et que les nouvelles recrues comme Boujemaâ Kassab (ex-WAC) et Thiam Cheikh Mohamed (ex-Jeanne d’Arc) ne réclament qu’un peu plus de temps pour s’exprimer pleinement.
Si on leur ajoute les retours attendus de Omar Hassi, de Chkilit, Bourissay voire Allaoui, on imagine ce que sera alors le MAS version 2005, on reconnaîtra au passage à M. Mohamed Bennani le mérite d’avoir ratissé large en contribuant de près au règlement de certains problèmes d’ordre interne en parfait accord, faut-il le souligner, avec les membres du comité dirigeant établis à Fès.
Revenons à cette visite effectuée au siège du club rajaoui pour mettre l’accent sur le fait qu’elle a marqué les esprits car le MAS, malgré un passé glorieux parmi l’élite de notre football, est loin de posséder des infrastructures propres et exemplaires à même de constituer la véritable identité du club.
Outre M. Chabat, Jawad Hamdoun et Aziz Filali, tous deux vice-présidents du conseil de la ville de Fès, ils auront eu une idée bien précise sur les avancées acquises par d’autres clubs, comme le Raja et son club-house.
La journée de l’unité… retrouvée ? Oui, le samedi 9 octobre demeurera une date dans l’histoire du club et de certains de ses dirigeants qui se sont associé au maire de Fès pour entreprendre un travail de longue haleine laissant de côté les frictions inutiles et surtout les médisances des terrasses de cafés.
Plus que par le passé et comme l’a rappelé M. Saâd Akesbi dans une déclaration faite au “ Matin ”, le MAS a plus que jamais besoin de retrouver une famille, seule alternative à ses yeux pour rompre avec un certain passé, contre lequel adhérents et sympathisants se sont mobilisés ensemble avant et lors de la dernière assemblée générale du 31 juillet dernier.
Dans cette perspective, le président du MAS garde toute sa confiance dans l’encadrement technique actuel, ne cachant pas qu’il compte sur le duo Aziz Souleiymani et Abdelkrim Mouiss pour veiller sur l’équipe “ juniors ” et suivre ses éléments au quotidien afin de répondre aux attentes de l’équipe première.
Concernant les recrutements opérés, M. Saâd Akesbi reconnaît qu’ils l’ont été un peu à la va-vite au mois de septembre pour des raisons de mise sur pied d’une équipe compétitive pour affronter les contraintes d’un calendrier peu clément pour le MAS en ce début de saison. D’où la nécessité selon toujours M. Akesbi de redoubler d’efforts et d’accorder davantage d’intérêt au centre de formation du MAS.
Quant à la question épineuse de la reconquête du public, le président du MAS nous indique que des cartes annuelles d’accès au stade sont mises en circulation à des tarifs très étudiés ce qui, à son avis, permettra au MAS de retrouver prochainement une moyenne de 3000 à 4000 spectateurs par match au stade Hassan II.
Une manière d’impliquer les amateurs qui ont déserté les terrains de reprendre goût au football. Nous ne conclurons pas sans ajouter que Saâd Akesbi, qui travaille actuellement sur plusieurs fronts, revient aux relations avec l’entraîneur Rossely pour souligner que celui-ci s’est engagé à respecter les termes du contrat signé avec le MAS tout en respectant l’application du programme de travail établi.
Par ailleurs, M. Akesbi compte élargir la base des adhérents du MAS en accordant à ceux qui le souhaitent d’ “ entrer ” au club par la grande porte, sans distinction ni exigences. Des pas qui en disent long sur la détermination de ce président qui connaît le MAS de l’intérieur puisqu’il y est depuis des années, se positionnant notamment au niveau de l’école de football où il a accompli un labeur discret mais important.
