La réunion des ministres arabes de l'Intérieur qui sera consacrée aux problèmes sécuritaires, à la lutte contre le terrorisme et le crime organisé, s'est ouverte dimanche à Tunis.
A l'ordre du jour de cette session du Conseil des ministres arabes de l'Intérieur, figure notamment un examen des divers aspects du crime organisé pour l'élaboration d'un projet de convention arabe de lutte contre la criminalité organisée transfrontalière dans le monde arabe.
La réunion prévoit l'établissement d'un projet de loi d'orientation arabe en matière de lutte contre la criminalité informatique pour combattre les "nouveaux types de délits commis au moyens d'ordinateurs et par Internet.
La lutte contre les stupéfiants et le trafic des êtres humains est également prévue à l'ordre du jour de cette réunion qui s'achèvera mardi. "Le dossier du terrorisme est prioritaire" en raison des graves conséquences qu'il fait peser "sur la sécurité, la stabilité et l'entente dans le monde, en général, et notre région arabe, en particulier", a noté le président Tunisien Zine El Abidine Ben Ali dans un discours lu par son ministre de l'Intérieur, Hedi M'Henni.
"La Tunisie condamne les actes terroristes commis récemment dans certains pays du monde et dénonce le mépris affiché par leurs auteurs à l'égard des nobles valeurs humaines, et le tort immense qu'ils ont porté à l'Islam, notre sublime religion fondée sur le dialogue, le juste milieu, la modération et la tolérance", a ajouté M. Ben Ali.
Il a réaffirmé "la nécessité de multiplier les opportunités de concertation et de coopération entre les ministères de l'Intérieur des pays arabes, pour faire face aux divers défis en matière de sécurité et particulièrement à ceux liés au terrorisme, dans le cadre de la légalité internationale."
Le prince Nayef Ben Abdelaziz, ministre saoudien de l'Intérieur et président d'honneur du Conseil, a pour sa part estimé que la "violence terroriste" est la plus grande menace sur la sécurité arabe. Il appelé à une "confrontation sécuritaire intellectuelle, globale et continue" et des actions au niveau social pour lutter contre "des pensées déviées de leur identité et de leur religion".
A l'ordre du jour de cette session du Conseil des ministres arabes de l'Intérieur, figure notamment un examen des divers aspects du crime organisé pour l'élaboration d'un projet de convention arabe de lutte contre la criminalité organisée transfrontalière dans le monde arabe.
La réunion prévoit l'établissement d'un projet de loi d'orientation arabe en matière de lutte contre la criminalité informatique pour combattre les "nouveaux types de délits commis au moyens d'ordinateurs et par Internet.
La lutte contre les stupéfiants et le trafic des êtres humains est également prévue à l'ordre du jour de cette réunion qui s'achèvera mardi. "Le dossier du terrorisme est prioritaire" en raison des graves conséquences qu'il fait peser "sur la sécurité, la stabilité et l'entente dans le monde, en général, et notre région arabe, en particulier", a noté le président Tunisien Zine El Abidine Ben Ali dans un discours lu par son ministre de l'Intérieur, Hedi M'Henni.
"La Tunisie condamne les actes terroristes commis récemment dans certains pays du monde et dénonce le mépris affiché par leurs auteurs à l'égard des nobles valeurs humaines, et le tort immense qu'ils ont porté à l'Islam, notre sublime religion fondée sur le dialogue, le juste milieu, la modération et la tolérance", a ajouté M. Ben Ali.
Il a réaffirmé "la nécessité de multiplier les opportunités de concertation et de coopération entre les ministères de l'Intérieur des pays arabes, pour faire face aux divers défis en matière de sécurité et particulièrement à ceux liés au terrorisme, dans le cadre de la légalité internationale."
Le prince Nayef Ben Abdelaziz, ministre saoudien de l'Intérieur et président d'honneur du Conseil, a pour sa part estimé que la "violence terroriste" est la plus grande menace sur la sécurité arabe. Il appelé à une "confrontation sécuritaire intellectuelle, globale et continue" et des actions au niveau social pour lutter contre "des pensées déviées de leur identité et de leur religion".
