Dans un magnifique stade de la Luz où avaient pris près de 80.000 spectateurs dont 13.000 Grecs, la première mi-temps fut quelque peu à l'avantage des Portugais qui exercèrent une pression accrue sur la défense grecque sans pour autant parvenir à concrétiser leur supériorité.
Et c'est ainsi que, tour à tour, Maniche, Figo, Ronaldo, Pauleta ou encore Deco, échouèrent sur une solide défense hellène, menée par un excellent Dellas. Déterminés et physiques, les Grecs, même dominés, ont su défendre admirablement leur arrière-garde sans jamais commettre de fautes, si ce n'est loin de leur surface de réparation.
Blessé, le défenseur portugais Miguel, cèdera sa place à Paulo Ferreira, obligeant de ce fait Scolari à procéder à un changement dont il se serait volontiers passé.
La seconde mi-temps démarra sur un rythme soutenu et très élevé de la part des hommes de Scolari alors que l'entraîneur des Grecs, Rehhagal, adoptera la prudence et se contentera de contre-attaques dont l'une aboutira à un corner qui est astucieusement botté sur la tête de Charisthéas lequel ne laisse aucune chance au portier Ricardo.
Ce fut la douche écossaise sur le stade de la Luz.
Le Portugal part résolument à l'attaque et exerce une domination aussi aveugle que stérile sur une équipe grecque qui dresse un mur défensif épais.
Les rentrées de Rui Costa qui relève Costinha puis de Nuño Gomes à la place de Pauleta n'apportera rien de nouveau.
Et le capitaine de la Grèce pouvait monter brandir la Coupe d'Europe remportée haut la main.
Les Grecs peuvent désormais préparer sereinement leurs Jeux olympiques.
Et c'est ainsi que, tour à tour, Maniche, Figo, Ronaldo, Pauleta ou encore Deco, échouèrent sur une solide défense hellène, menée par un excellent Dellas. Déterminés et physiques, les Grecs, même dominés, ont su défendre admirablement leur arrière-garde sans jamais commettre de fautes, si ce n'est loin de leur surface de réparation.
Blessé, le défenseur portugais Miguel, cèdera sa place à Paulo Ferreira, obligeant de ce fait Scolari à procéder à un changement dont il se serait volontiers passé.
La seconde mi-temps démarra sur un rythme soutenu et très élevé de la part des hommes de Scolari alors que l'entraîneur des Grecs, Rehhagal, adoptera la prudence et se contentera de contre-attaques dont l'une aboutira à un corner qui est astucieusement botté sur la tête de Charisthéas lequel ne laisse aucune chance au portier Ricardo.
Ce fut la douche écossaise sur le stade de la Luz.
Le Portugal part résolument à l'attaque et exerce une domination aussi aveugle que stérile sur une équipe grecque qui dresse un mur défensif épais.
Les rentrées de Rui Costa qui relève Costinha puis de Nuño Gomes à la place de Pauleta n'apportera rien de nouveau.
Et le capitaine de la Grèce pouvait monter brandir la Coupe d'Europe remportée haut la main.
Les Grecs peuvent désormais préparer sereinement leurs Jeux olympiques.
