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L'appel d'offre porte sur l'attribution de trois licences, à partir du mois d'avril prochain. Le secteur de la téléphonie fixe est aujourd'hui entièrement contrôlé par l'opérateur public algérien, “Algérie Télécom”, qui compte 2 millions d'abonnés, pour une population de 33 millions d'habitants.
Rappelons que le secteur des télécommunications devait être totalement privatisé en 2004, si l'on en croit les propos d'Amar Tou, président de l'Autorité de régulation des postes et télécommunication (ARPT) en Algérie.
Dans cette perspective, M. Tou a annoncé une série de ventes qui concerne, notamment, la troisième licence GSM, la deuxième licence du téléphone fixe et une licence du téléphone via Internet.
Cette accélération du calendrier de privatisation “nous permettra de combler le déficit actuel”, a encore souligné le président de l'ARPT qui estime que les deux opérateurs GSM -Algérie Télécom (AT, public) et Orascom Télécom Algérie (OTA, privé)- ne sont pas en mesure de répondre à la demande potentielle, évaluée à environ 10 millions de lignes, avec seulement 700.000 lignes actuellement disponibles.
Amar Tou n'a pas ménagé l'opérateur public algérien AT : “C'est l'opérateur historique qui doit être généralement le leader, alors que l'Algérie est le seul pays qui fait exception”.
“Algérie Télécom a du mal à passer d'une gestion administrative à une démarche compétitive de marché”.
Pour tenter de rattraper son retard, AT devrait mettre sur le marché, d'ici fin août, 500.000 nouvelles lignes, un projet décroché par l'équipementier suédois Ericsson.
L'Algérie ne compte, par ailleurs, que 1,8 million de lignes fixes pour 31 millions d'habitants, un nombre de lignes très largement insuffisant pour satisfaire une demande en constante croissance.
Ce taux d'équipement pourrait, cependant, augmenter sensiblement assez rapidement puisque à présent la totalité du réseau téléphonique algérien est numérisé, ce qui simplifie son extension.
Rappelons que le secteur des télécommunications devait être totalement privatisé en 2004, si l'on en croit les propos d'Amar Tou, président de l'Autorité de régulation des postes et télécommunication (ARPT) en Algérie.
Dans cette perspective, M. Tou a annoncé une série de ventes qui concerne, notamment, la troisième licence GSM, la deuxième licence du téléphone fixe et une licence du téléphone via Internet.
Cette accélération du calendrier de privatisation “nous permettra de combler le déficit actuel”, a encore souligné le président de l'ARPT qui estime que les deux opérateurs GSM -Algérie Télécom (AT, public) et Orascom Télécom Algérie (OTA, privé)- ne sont pas en mesure de répondre à la demande potentielle, évaluée à environ 10 millions de lignes, avec seulement 700.000 lignes actuellement disponibles.
Amar Tou n'a pas ménagé l'opérateur public algérien AT : “C'est l'opérateur historique qui doit être généralement le leader, alors que l'Algérie est le seul pays qui fait exception”.
“Algérie Télécom a du mal à passer d'une gestion administrative à une démarche compétitive de marché”.
Pour tenter de rattraper son retard, AT devrait mettre sur le marché, d'ici fin août, 500.000 nouvelles lignes, un projet décroché par l'équipementier suédois Ericsson.
L'Algérie ne compte, par ailleurs, que 1,8 million de lignes fixes pour 31 millions d'habitants, un nombre de lignes très largement insuffisant pour satisfaire une demande en constante croissance.
Ce taux d'équipement pourrait, cependant, augmenter sensiblement assez rapidement puisque à présent la totalité du réseau téléphonique algérien est numérisé, ce qui simplifie son extension.
