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Comme à l’accoutumée depuis déjà cinq ans, l’association Ribat Al Fath lance demain en partenariat avec l’Office national du Tourisme, le Festival international du film animalier et de l’environnement du 22 au 25 avril au théâtre national Mohammed V. « Cette cinquième édition sera marquée par la grande place qui sera accordée à la peinture », souligne Abdelfattah Berhil, chargé de communication. Un vernissage de deux artistes peintres Denis Morel et Karim Alaoui organisé le jour de l’ouverture sera l’événement phare du festival.
Cette année encore, le FIFALE s’est attaché à réunir des personnalités nationales et internationales, des professionnels du film et des décideurs des chaînes de télévision étrangères. Quelque trente-huit court métrages représentant entre autres la France, l’Italie, l’île de la Réunion, la Finlande, la Belgique, la Suisse et le Canada sont prévus au cours de cette rencontre. Les films en lice rivaliseront pour l’une des trois cigognes (d’or, d’argent et de bronze) qui seront décernées aux gagnants. La cigogne, emblème du FIFALE, n’a pas été choisie par hasard. Elle est le symbole de la migration des espèces. Cet oiseau en voie de disparition est un animal mythique au Maroc. Il fait partie de notre environnement.
«En identifiant notre trophée à la cigogne, nous avons voulu attirer l’attention sur le sort de cet animal qui symbolise une partie de la faune marocaine, et se trouve malheureusement aujourd’hui en voie de disparition », déclare Danny Sarazin, Directrice et fondatrice du FIFALE.
Par ailleurs, un des évènements majeurs du festival est la projection en avant-première du film « Planète bleue» qui permet la découverte d’espèces inconnues vivant dans des profondeurs jamais atteintes par l’homme.
Ce film a nécessité cinq ans de tournage. Son équipe a visité 200 sites à travers 40 pays.
Pour sensibiliser au maximum le public sur l’intérêt de préserver notre environnement, bon nombre de tables rondes seront organisées durant cette manifestation. Elles seront animées par des producteurs et experts environnementaux. Les organisateurs s’assignent, en effet, pour objectif d’exposer les innovations techniques introduites en matière de cinéma animalier sans pour autant omettre de s’attarder sur les problèmes majeurs qui menacent notre environnement. Et pour que ce festival atteigne cet objectif, des rencontres sont programmées dans des écoles, collèges et lycées de la capitale.
Dans chaque établissement scolaire, on projettera des courts-métrages sur l’environnement et l’on essaiera autant que faire se peut de faire participer les élèves aux discussions pour tester si le message a été bien assimilé par eux.
Le programme du FIFALE promet, donc, d’être riche et varié.
On présentera, en fait, les meilleures productions mondiales de films animaliers et environnementaux pour mieux faire connaître les nombreuses actions internationales de protection de la nature.
Cette année encore, le FIFALE s’est attaché à réunir des personnalités nationales et internationales, des professionnels du film et des décideurs des chaînes de télévision étrangères. Quelque trente-huit court métrages représentant entre autres la France, l’Italie, l’île de la Réunion, la Finlande, la Belgique, la Suisse et le Canada sont prévus au cours de cette rencontre. Les films en lice rivaliseront pour l’une des trois cigognes (d’or, d’argent et de bronze) qui seront décernées aux gagnants. La cigogne, emblème du FIFALE, n’a pas été choisie par hasard. Elle est le symbole de la migration des espèces. Cet oiseau en voie de disparition est un animal mythique au Maroc. Il fait partie de notre environnement.
«En identifiant notre trophée à la cigogne, nous avons voulu attirer l’attention sur le sort de cet animal qui symbolise une partie de la faune marocaine, et se trouve malheureusement aujourd’hui en voie de disparition », déclare Danny Sarazin, Directrice et fondatrice du FIFALE.
Par ailleurs, un des évènements majeurs du festival est la projection en avant-première du film « Planète bleue» qui permet la découverte d’espèces inconnues vivant dans des profondeurs jamais atteintes par l’homme.
Ce film a nécessité cinq ans de tournage. Son équipe a visité 200 sites à travers 40 pays.
Pour sensibiliser au maximum le public sur l’intérêt de préserver notre environnement, bon nombre de tables rondes seront organisées durant cette manifestation. Elles seront animées par des producteurs et experts environnementaux. Les organisateurs s’assignent, en effet, pour objectif d’exposer les innovations techniques introduites en matière de cinéma animalier sans pour autant omettre de s’attarder sur les problèmes majeurs qui menacent notre environnement. Et pour que ce festival atteigne cet objectif, des rencontres sont programmées dans des écoles, collèges et lycées de la capitale.
Dans chaque établissement scolaire, on projettera des courts-métrages sur l’environnement et l’on essaiera autant que faire se peut de faire participer les élèves aux discussions pour tester si le message a été bien assimilé par eux.
Le programme du FIFALE promet, donc, d’être riche et varié.
On présentera, en fait, les meilleures productions mondiales de films animaliers et environnementaux pour mieux faire connaître les nombreuses actions internationales de protection de la nature.
