Dans son allocution, lors de la cérémonie de clôture, M. Fassi Fihri a affirmé que “ ce fut pour nous un grand honneur et une immense fierté d’avoir été choisi pour abriter une manifestation d’une telle envergure (…). La richesse des thèmes débattus, qu’ils soient scientifiques, techniques, institutionnels, économiques ou managériaux, conjugués à la qualité très élevée des interventions et des débats, ont contribué à assurer un large succès à notre rencontre ”.
Pour M. Michael Rouse, président sortant de l’IWA : “ Notre association a établi d’excellentes relations avec plusieurs organismes comme l’OMS, l’OMC et la Banque mondiale. Nous avons également, pu développer nos activités régionales. Le moteur de l’IWA est constitué par ses experts. Notre rôle se développe davantage dans le monde comme un organisme influent ”.
De son coté, le nouveau président, M. Laszlo Somloydy , a affirmé dans son intervention que “ l’eau est un miracle. La molécule de l’eau est la plus simple. Mais la plus essentielle pour la vie et pour l’humanité. L’IWA est aussi un miracle. Nous devons améliorer nos performances. Nous devons jouer un rôle plus actif surtout envers les pays en voie de développement ”.
Faut-il rappeler que ce Congrès s’est déroulé en présence de plus de 2.300 participants et 120 exposants. 32 ateliers et 500 séances thématiques ont été programmés.
Un sondage réalisé par les organisateurs révèle une nette satisfaction des participants sur le plan scientifique qui n’ont pas manqué de souligner la haute qualité des sujets et des thèmes débattus. On note également le même degré de satisfaction chez les exposants ou plusieurs contrats ou contacts ont été réalisés
Ce 4e Congrès de l’IWA aura rapporté une contribution importante à la résolution des problèmes lies à l’eau avec la publication de la 3e édition des directives de l’OMS pour la qualité de l’eau, l’annonce de la charte de Bonn, ou la constitution du Réseau académique africain de l’eau.
Le congrès s’est penché aussi sur l’amorce d’une meilleure prise en charge des problèmes des pays en voie de développement et des besoins des populations déshéritées. La dimension humaine a dominé ce Congrès. Les êtres humains ne sont-ils pas l’ultime raison d’être des professionnels ?
Pour M. Michael Rouse, président sortant de l’IWA : “ Notre association a établi d’excellentes relations avec plusieurs organismes comme l’OMS, l’OMC et la Banque mondiale. Nous avons également, pu développer nos activités régionales. Le moteur de l’IWA est constitué par ses experts. Notre rôle se développe davantage dans le monde comme un organisme influent ”.
De son coté, le nouveau président, M. Laszlo Somloydy , a affirmé dans son intervention que “ l’eau est un miracle. La molécule de l’eau est la plus simple. Mais la plus essentielle pour la vie et pour l’humanité. L’IWA est aussi un miracle. Nous devons améliorer nos performances. Nous devons jouer un rôle plus actif surtout envers les pays en voie de développement ”.
Faut-il rappeler que ce Congrès s’est déroulé en présence de plus de 2.300 participants et 120 exposants. 32 ateliers et 500 séances thématiques ont été programmés.
Un sondage réalisé par les organisateurs révèle une nette satisfaction des participants sur le plan scientifique qui n’ont pas manqué de souligner la haute qualité des sujets et des thèmes débattus. On note également le même degré de satisfaction chez les exposants ou plusieurs contrats ou contacts ont été réalisés
Ce 4e Congrès de l’IWA aura rapporté une contribution importante à la résolution des problèmes lies à l’eau avec la publication de la 3e édition des directives de l’OMS pour la qualité de l’eau, l’annonce de la charte de Bonn, ou la constitution du Réseau académique africain de l’eau.
Le congrès s’est penché aussi sur l’amorce d’une meilleure prise en charge des problèmes des pays en voie de développement et des besoins des populations déshéritées. La dimension humaine a dominé ce Congrès. Les êtres humains ne sont-ils pas l’ultime raison d’être des professionnels ?
