"Ce film évoque le mal de vivre des adolescents", dira le réalisateur lors d'une conférence de presse tenue à l'issue de la projection. Un " happening " durant lequel les participants se sont passés la bonne nouvelle : le nouveau film de Jilali Ferhati, "Mémoire de détention", a remporté le prix du meilleur scénario d'un autre festival.
En l'occurrence le Festival international du film du Caire dont la 28e édition avait pris fin le 10 décembre. Ce réalisateur auquel on doit notamment "Poupée de roseau" (1982), "La plage des enfants perdus" (1991) et "Tresses" (2000), avait rappelé aux journalistes qui le pressaient de questions "la présence remarquable du cinéma marocain sur la scène arabe", comme en témoigne le prix du Festival d'Alexandrie remporté récemment par Mohamed Asli pour son film "A Casablanca...les anges ne volent pas".
Autre point à mettre à l'actif du FIFM, la chaîne du festival a été d'un apport important pour la médiatisation du festival. Toutes les émissions diffusées ont certes eu un lien étroit avec le FIFM, mais elles ont également porté sur la ville de Marrakech, sur ses particularités et son patrimoine.
En l'occurrence le Festival international du film du Caire dont la 28e édition avait pris fin le 10 décembre. Ce réalisateur auquel on doit notamment "Poupée de roseau" (1982), "La plage des enfants perdus" (1991) et "Tresses" (2000), avait rappelé aux journalistes qui le pressaient de questions "la présence remarquable du cinéma marocain sur la scène arabe", comme en témoigne le prix du Festival d'Alexandrie remporté récemment par Mohamed Asli pour son film "A Casablanca...les anges ne volent pas".
Autre point à mettre à l'actif du FIFM, la chaîne du festival a été d'un apport important pour la médiatisation du festival. Toutes les émissions diffusées ont certes eu un lien étroit avec le FIFM, mais elles ont également porté sur la ville de Marrakech, sur ses particularités et son patrimoine.
