Pour ce qui est des autres prix, le Tanit d'argent, court métrage, a été décerné au film "Mardi 29 février" de Gehan El Assar (Egypte). Le Tanit d'argent, long métrage, est revenu au film "Lettre d'amour zoulou" réalisé par Ramadan Sulman ( Afrique du Sud). Le film "Visions chimériques" de Waha Erraheb (Syrie) a obtenu le Tanit de bronze, long métrage. Le Tanit de bronze, court métrage , a été décerné au film "Le Sifflet" de As Thiam ( Sénégal).
Le prix de la meilleure oeuvre, long métrage (volet vidéo), a été attribué au film "Tanger, le rêve des brûleurs" de Leïla Kilani ( Maroc).
Le film marocain "La Chambre noire" réalisé par Hassan Ben Jelloun a eu le diplôme de mérite (Attakdir ).
Dans une déclaration à MAP-Tunis, Mohamed Asli a souligné que cette haute distinction honore les cinémas marocain, maghrébin, arabe et africain et constitue, également, un stimulus et un encouragement à la créativité, à la réalisation et à la production des oeuvres cinématographiques de qualité.
Il a évoqué le renouveau que connaît le cinéma marocain, l'apport du cumul des expériences et les acquis à fructifier pour aller de l'avant. "Nous avons les moyens et les capacités d'être la locomotive d'un nouveau cinéma qui doit ressembler de plus en plus à notre culture", a-t-il dit . Pour Mohamed Asli, le nombre de films produits au Maroc (une dizaine par an) reste insuffisant compte tenu du potentiel du pays qui compte plus de 30 millions d'habitants.
Le film marocain souligne que "les anges ne volent pas, seuls les vautours et les rapaces planent". Saïd est contraint de s'installer à Casablanca malgré le refus de son épouse. Dans ses lettres, elle le supplie de revenir auprès d'elle car Casablanca "est une mangeuse d'hommes". Saïd qui travaille dans un restaurant avec Othman et Ismaïl, reçoit une lettre de sa femme l'exhortant à rentrer pour la naissance de son enfant.
Pour les trois amis, rien ne va plus, les problèmes prennent des ampleurs dramatiques dans cette ville qui "est un leurre qui finit par avoir raison d'eux".
Mohamed Asli est né en 1957 à Casablanca. Après les études de cinéma à Milan, il entame une carrière variée : d'abord assistant cameramen, assistant réalisateur, puis régisseur général, il se spécialise dans la production. En 2004, il réalise et produit "A Casablanca, les anges ne volent pas", son premier long métrage de fiction.
Le film tunisien "Visa" met l'accent sur la nouvelle loi des pays de l'espace Schengen relative à l'immigration. Il faut, pour le réalisateur, "réussir la Dictée de Pivot pour pouvoir obtenir un visa d'entrée en Europe".Pour cela, Rachid, candidat à l'immigration, doit subir ce test.
Le prix de la meilleure oeuvre, long métrage (volet vidéo), a été attribué au film "Tanger, le rêve des brûleurs" de Leïla Kilani ( Maroc).
Le film marocain "La Chambre noire" réalisé par Hassan Ben Jelloun a eu le diplôme de mérite (Attakdir ).
Dans une déclaration à MAP-Tunis, Mohamed Asli a souligné que cette haute distinction honore les cinémas marocain, maghrébin, arabe et africain et constitue, également, un stimulus et un encouragement à la créativité, à la réalisation et à la production des oeuvres cinématographiques de qualité.
Il a évoqué le renouveau que connaît le cinéma marocain, l'apport du cumul des expériences et les acquis à fructifier pour aller de l'avant. "Nous avons les moyens et les capacités d'être la locomotive d'un nouveau cinéma qui doit ressembler de plus en plus à notre culture", a-t-il dit . Pour Mohamed Asli, le nombre de films produits au Maroc (une dizaine par an) reste insuffisant compte tenu du potentiel du pays qui compte plus de 30 millions d'habitants.
Le film marocain souligne que "les anges ne volent pas, seuls les vautours et les rapaces planent". Saïd est contraint de s'installer à Casablanca malgré le refus de son épouse. Dans ses lettres, elle le supplie de revenir auprès d'elle car Casablanca "est une mangeuse d'hommes". Saïd qui travaille dans un restaurant avec Othman et Ismaïl, reçoit une lettre de sa femme l'exhortant à rentrer pour la naissance de son enfant.
Pour les trois amis, rien ne va plus, les problèmes prennent des ampleurs dramatiques dans cette ville qui "est un leurre qui finit par avoir raison d'eux".
Mohamed Asli est né en 1957 à Casablanca. Après les études de cinéma à Milan, il entame une carrière variée : d'abord assistant cameramen, assistant réalisateur, puis régisseur général, il se spécialise dans la production. En 2004, il réalise et produit "A Casablanca, les anges ne volent pas", son premier long métrage de fiction.
Le film tunisien "Visa" met l'accent sur la nouvelle loi des pays de l'espace Schengen relative à l'immigration. Il faut, pour le réalisateur, "réussir la Dictée de Pivot pour pouvoir obtenir un visa d'entrée en Europe".Pour cela, Rachid, candidat à l'immigration, doit subir ce test.
