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Le rapport d'enquête préliminaire, rendu public jeudi par la commission indépendante sur ces attaques, a notamment révélé l'implacable froideur des terroristes aux commandes de quatre avions suicidaires qui ont tué quelque 3.000 personnes. “Nous avons quelques avions. Gardez votre calme et tout ira bien.
Nous retournons à l'aéroport”, dira l'un des pirates à bord du vol 11 d'American Airlines au départ de Boston, à peine 22 minutes avant de s'écraser contre l'une des tours jumelles du World Trade Center à New York. A ce moment, les aiguilleurs du ciel à Boston commencent à réaliser ce qui se passe et tentent désespérément de téléphoner pour avertir les militaires.
Ils entrent finalement en contact avec le Northeast Air Defense Sector (NEADS) à 08h37. Neuf minutes après, le Boeing 767 s'écrase sur la tour nord du WTC. Le cauchemar des Américains vient de commencer. Presque au même moment, le vol 175 de United Airlines, en partance de Boston pour Los Angeles, pénètre dans l'espace aérien de New York. Son transpondeur a été éteint par les pirates afin de le rendre indétectable. Les aiguilleurs de New York tenteront d'alerter leurs supérieurs qui leur font dire qu'ils sont trop occupés par le premier détournement. Une minute après, à 09h03, le vol 175 s'engouffre dans la tour sud.
Pendant ce temps, le vol 77 d'American Airlines, parti de Washington pour Los Angeles, a fait demi-tour en direction de la capitale, à la plus grande confusion des aiguilleurs. Des avions de chasse décollent sur ordre de l'armée pour intercepter un vol qu'ils croient être le numéro 11 d'American Airlines qui descend sur New York. Mais au lieu de virer plein nord, ils foncent vers l'océan. L'avion s'écrasera ensuite sur le Pentagone. Le dernier volet du drame s'ouvre.
Le vol 93 de United Airlines, qui a décollé de Newark (New Jersey, est) pour San Francisco (Californie, ouest), a lui aussi éteint son transpondeur et viré en direction de Washington. Des aiguilleurs du secteur suggèrent d'informer l'armée de l'air qui ne réagit pas à temps . Le vol 93 s'écrasera dans un champ de Pennsylvanie, juste avant que le vice-Président Dick Cheney, depuis son abri, ne donne l'ordre de l'abattre en plein vol.
Nous retournons à l'aéroport”, dira l'un des pirates à bord du vol 11 d'American Airlines au départ de Boston, à peine 22 minutes avant de s'écraser contre l'une des tours jumelles du World Trade Center à New York. A ce moment, les aiguilleurs du ciel à Boston commencent à réaliser ce qui se passe et tentent désespérément de téléphoner pour avertir les militaires.
Ils entrent finalement en contact avec le Northeast Air Defense Sector (NEADS) à 08h37. Neuf minutes après, le Boeing 767 s'écrase sur la tour nord du WTC. Le cauchemar des Américains vient de commencer. Presque au même moment, le vol 175 de United Airlines, en partance de Boston pour Los Angeles, pénètre dans l'espace aérien de New York. Son transpondeur a été éteint par les pirates afin de le rendre indétectable. Les aiguilleurs de New York tenteront d'alerter leurs supérieurs qui leur font dire qu'ils sont trop occupés par le premier détournement. Une minute après, à 09h03, le vol 175 s'engouffre dans la tour sud.
Pendant ce temps, le vol 77 d'American Airlines, parti de Washington pour Los Angeles, a fait demi-tour en direction de la capitale, à la plus grande confusion des aiguilleurs. Des avions de chasse décollent sur ordre de l'armée pour intercepter un vol qu'ils croient être le numéro 11 d'American Airlines qui descend sur New York. Mais au lieu de virer plein nord, ils foncent vers l'océan. L'avion s'écrasera ensuite sur le Pentagone. Le dernier volet du drame s'ouvre.
Le vol 93 de United Airlines, qui a décollé de Newark (New Jersey, est) pour San Francisco (Californie, ouest), a lui aussi éteint son transpondeur et viré en direction de Washington. Des aiguilleurs du secteur suggèrent d'informer l'armée de l'air qui ne réagit pas à temps . Le vol 93 s'écrasera dans un champ de Pennsylvanie, juste avant que le vice-Président Dick Cheney, depuis son abri, ne donne l'ordre de l'abattre en plein vol.
