Huit personnes ont été électrocutées et 42 autres ont été brûlées dont deux grièvement, samedi matin à Médiouna (wilaya de Casablanca), lorsqu'un pilier soutenant d'un stand forain d'une société privée de détergents a touché le pylône d'une ligne à haute tension (60.000 volts) provoquant un court-circuit. Le drame s'est produit vers 11h30 au souk hebdomadaire de Sbiet dans la commune rurale Sidi Hajaj Oued Hassar (province de Médiouna).
Il s'agit des animateurs du stand et de certains commerçants limitrophes qui se trouvaient sur les lieux du drame. Une information judiciaire devrait être ouverte incessamment pour homicides et blessures involontaires. La thèse d'un accident semble la plus probable. Même si les éléments de la protection civile sont intervenus, il était déjà trop tard pour les victimes touchées par la foudre électrique. Sur le visage des proches des victimes se lisait la plus grande tristesse, l'effroi et l'affliction. Plusieurs d'entre eux ignorent où sont transportés les victimes ni quand ils récupéreront les dépouilles des défunts pour les enterrer.
Certains ne réalisent même pas l'ampleur de la catastrophe. Ils ont du mal à admettre qu'un des leurs avec qui ils venaient de déjeuner n'est plus là à cause d'un geste d'irresponsabilité. Ce drame a fortement perturbé l'activité commerciale du souk qui est le principal lieu de commerce dans la région. Les commerçants et les clients ont dû quitter de peur qu cela ne se reproduise. Ils s'estiment tous heureux et chanceux de ne pas être parmi les victimes.
Il est à signaler que le wali du Grand Casablanca, M'hamed Dryf, le ministre de la Santé publique, Mohamed Biadillah et le gouverneur de la province de Médiouna, le directeur général de l'Office National de l'électricité (ONE), le commandant régional de la protection civile, le commandant de la gendarmerie Royale de Ain Sbaa et le commandant régional des forces auxiliaires ainsi que les autorités locales, se sont rendus sur place pour s'enquérir de l'ampleur de la catastrophe.
Il s'agit des animateurs du stand et de certains commerçants limitrophes qui se trouvaient sur les lieux du drame. Une information judiciaire devrait être ouverte incessamment pour homicides et blessures involontaires. La thèse d'un accident semble la plus probable. Même si les éléments de la protection civile sont intervenus, il était déjà trop tard pour les victimes touchées par la foudre électrique. Sur le visage des proches des victimes se lisait la plus grande tristesse, l'effroi et l'affliction. Plusieurs d'entre eux ignorent où sont transportés les victimes ni quand ils récupéreront les dépouilles des défunts pour les enterrer.
Certains ne réalisent même pas l'ampleur de la catastrophe. Ils ont du mal à admettre qu'un des leurs avec qui ils venaient de déjeuner n'est plus là à cause d'un geste d'irresponsabilité. Ce drame a fortement perturbé l'activité commerciale du souk qui est le principal lieu de commerce dans la région. Les commerçants et les clients ont dû quitter de peur qu cela ne se reproduise. Ils s'estiment tous heureux et chanceux de ne pas être parmi les victimes.
Il est à signaler que le wali du Grand Casablanca, M'hamed Dryf, le ministre de la Santé publique, Mohamed Biadillah et le gouverneur de la province de Médiouna, le directeur général de l'Office National de l'électricité (ONE), le commandant régional de la protection civile, le commandant de la gendarmerie Royale de Ain Sbaa et le commandant régional des forces auxiliaires ainsi que les autorités locales, se sont rendus sur place pour s'enquérir de l'ampleur de la catastrophe.
