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Le public a eu le plaisir d'apprécier un récital varié, composé de deux morceaux classiques de Mozart et Schubert, puis deux autres romantiques, en deuxième partie, de Liszt et Chopin.
Mireille Faye-Mora a débuté sa carrière professionnelle en Espagne avec les meilleurs spécialistes de la musique espagnole. «C'était un hasard. Mais au fond de moi-même, j'ai vraiment aimé la musique espagnole. Peut-être parce que j'ai des liens familiaux avec ce pays, car ma grand-mère est espagnole.
J'avais une sorte de dialogue avec cette musique qui me parlait à travers ses contrastes et ses couleurs», nous confie Mireille Faye-Mora qui n'a jamais quitté, au cours de cette période, la musique classique.
Pour elle, «un artiste-musicien doit tout jouer. Il doit être complet. En dehors de la musique espagnole j'aime les classiques et les romantiques, car pour moi, ces deux genres musicaux ont déjà tout dit, ils parlent et nous les comprenons. Leur musique est comme une langue».
Cette langue peut être transmise par n'importe quel instrument, selon Mireille Faye-Mora, car pour elle l'instrument n'est pas le but, mais seulement le moyen. «Moi-même si on m'avait demandé le choix de l'instrument quand j'étais petite, j'aurais pris le violencelle. Mais il y avait un piano à la maison, puis mon père était chanteur.
Donc, très vite il a voulu que je l'accompagne. L'instrument reste un moyen pour exprimer quelque chose et la faire passer aux autres, tout en trouvant son bonheur». En effet, Mireille Faye-Mora trouve son bonheur au Maroc où elle a résidé de 1993 à 1997, quand elle a été appelée par le Collège Royal. «Je ne me sens pas du tout dépaysée au Maroc, c'est sûrement grâce à ses habitants généreux et plein de charisme».
Après des études au Conservatoire de Lyon, Mireille Faye-Mora est remarquée par Fernando Via, disciple de Granados, qui l'accepte comme élève et l'initie à la musique espagnole, puis lui obtient une bourse pour travailler avec les meilleurs spécialistes comme Rosa Sabater, Antonio Iglesias, Cristobal Hallfter et Federico Monpoù.
En 1970, elle remporte le Prix International d'Interprétation de la Musique Espagnole à Saint-Jacques de Compostelle et en 1980 celui du Concours International Claude Debussy. Mireille Faye-Mora entame alors une carrière de soliste dans plusieurs pays d'Europe, d'Afrique et d'Amérique. Actuellement, elle est Inspecteur de la création et des enseignements artistiques au ministère de la Culture (France).
Mireille Faye-Mora a débuté sa carrière professionnelle en Espagne avec les meilleurs spécialistes de la musique espagnole. «C'était un hasard. Mais au fond de moi-même, j'ai vraiment aimé la musique espagnole. Peut-être parce que j'ai des liens familiaux avec ce pays, car ma grand-mère est espagnole.
J'avais une sorte de dialogue avec cette musique qui me parlait à travers ses contrastes et ses couleurs», nous confie Mireille Faye-Mora qui n'a jamais quitté, au cours de cette période, la musique classique.
Pour elle, «un artiste-musicien doit tout jouer. Il doit être complet. En dehors de la musique espagnole j'aime les classiques et les romantiques, car pour moi, ces deux genres musicaux ont déjà tout dit, ils parlent et nous les comprenons. Leur musique est comme une langue».
Cette langue peut être transmise par n'importe quel instrument, selon Mireille Faye-Mora, car pour elle l'instrument n'est pas le but, mais seulement le moyen. «Moi-même si on m'avait demandé le choix de l'instrument quand j'étais petite, j'aurais pris le violencelle. Mais il y avait un piano à la maison, puis mon père était chanteur.
Donc, très vite il a voulu que je l'accompagne. L'instrument reste un moyen pour exprimer quelque chose et la faire passer aux autres, tout en trouvant son bonheur». En effet, Mireille Faye-Mora trouve son bonheur au Maroc où elle a résidé de 1993 à 1997, quand elle a été appelée par le Collège Royal. «Je ne me sens pas du tout dépaysée au Maroc, c'est sûrement grâce à ses habitants généreux et plein de charisme».
Après des études au Conservatoire de Lyon, Mireille Faye-Mora est remarquée par Fernando Via, disciple de Granados, qui l'accepte comme élève et l'initie à la musique espagnole, puis lui obtient une bourse pour travailler avec les meilleurs spécialistes comme Rosa Sabater, Antonio Iglesias, Cristobal Hallfter et Federico Monpoù.
En 1970, elle remporte le Prix International d'Interprétation de la Musique Espagnole à Saint-Jacques de Compostelle et en 1980 celui du Concours International Claude Debussy. Mireille Faye-Mora entame alors une carrière de soliste dans plusieurs pays d'Europe, d'Afrique et d'Amérique. Actuellement, elle est Inspecteur de la création et des enseignements artistiques au ministère de la Culture (France).
