Les familles françaises qui ont décollé d'Orly mercredi en début d'après-midi, étaient accompagnées par dix médecins et psychologues, six fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères, cinq aumôniers de toutes les confessions et des policiers français qui participeront à l'enquête, à précisé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Hervé Ladsous. Rappelons que sur les 148 personnes à bord, figuraient 133 touristes français.
Le crash de l'Airbus A 320 n'a pas fini de faire couler de l'encre. Causes du drame encore indéfinies, l'avion à peine localisé et juste quelques signaux des boîtes noires. Ce ne sont pas des informations suffisantes pour clore l'affaire, mais elles le sont assez pour nourrir toutes les rumeurs. Les compagnies de vol charter comme Flash Airlines sont plus que montrées du doigt, et les contrôles aériens ne sont pas en reste.
Alors que le Boeing 737-300 continue de garder ses secrets au fond de la mer Rouge, les premiers éléments de l'enquête semblent indiquer qu'il s'agit d'un accident et il semble établi à la suite d'inspections techniques en 2002 et 2003, notamment en Suisse, que l'appareil de la compagnie charter égyptienne présentait de graves problèmes de maintenance.
Si des contrôles inopinés permettent aux services de contrôles de constater des lacunes dans les appareils et documents de bords, c'est aux pays que revient la responsabilité d'interdire ou non leurs aéroports à tel ou tel avion.
A ce propos, et après les fracassantes révélations du gouvernement helvétique concernant l'établissement d'une «liste noire» des compagnies aériennes interdites de survol du pays, les agences de voyage suisses n'ont pas tardé à réagir. «Nous demandons à l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC) de nous faire parvenir cette liste», a déclaré à l'AFP le directeur de la Fédération suisse des agences de voyages (FSAV), Walter Kunz.
Le crash de l'Airbus A 320 n'a pas fini de faire couler de l'encre. Causes du drame encore indéfinies, l'avion à peine localisé et juste quelques signaux des boîtes noires. Ce ne sont pas des informations suffisantes pour clore l'affaire, mais elles le sont assez pour nourrir toutes les rumeurs. Les compagnies de vol charter comme Flash Airlines sont plus que montrées du doigt, et les contrôles aériens ne sont pas en reste.
Alors que le Boeing 737-300 continue de garder ses secrets au fond de la mer Rouge, les premiers éléments de l'enquête semblent indiquer qu'il s'agit d'un accident et il semble établi à la suite d'inspections techniques en 2002 et 2003, notamment en Suisse, que l'appareil de la compagnie charter égyptienne présentait de graves problèmes de maintenance.
Si des contrôles inopinés permettent aux services de contrôles de constater des lacunes dans les appareils et documents de bords, c'est aux pays que revient la responsabilité d'interdire ou non leurs aéroports à tel ou tel avion.
A ce propos, et après les fracassantes révélations du gouvernement helvétique concernant l'établissement d'une «liste noire» des compagnies aériennes interdites de survol du pays, les agences de voyage suisses n'ont pas tardé à réagir. «Nous demandons à l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC) de nous faire parvenir cette liste», a déclaré à l'AFP le directeur de la Fédération suisse des agences de voyages (FSAV), Walter Kunz.
