Connexion
En effet, des efforts louables ont été consentis pour doter la ville des outils et infrastructures nécessaires à son développement.
Il a été opportun et indispensable d'offrir à cette ville une zone industrielle d'abord. Mûrement réfléchie, cette idée a débouché sur la création d'une zone industrielle aujourd'hui opérationnelle.
Située au nord de la ville, la zone industrielle de Ben Ahmed est aménagée sur une superficie de plus de 42 hectares.
Elle compte 195 lots, dont 90 lots industriels de deuxième catégorie dont la superficie moyenne est de 2.060 m2.
Dans leur conception, les promoteurs de la zone n'ont pas oublié, les jeunes entrepreneurs auxquels ils ont réservé 105 lots de 200 m2 chacun.
Le Conseil municipal de Ben Ahmed a veillé à la réalisation de ce grand projet, en prenant à sa charge, notamment, les travaux d'assainissement et de voirie. Travaux, qui ont nécessité une enveloppe budgétaire de 1.667.250 DHS.
D'autres institutions locales ont pris en charge la réalisation des artères au sein de la zone.
La région Chaouia-Ouardigha a ainsi déboursé 1.354.434 DHS pour la réalisation de l'ensemble de ces travaux.
En ce qui concerne l'alimentation en eau potable et en électricité ainsi que l'assainissement, ils ont été pris en charge par le Conseil municipal de la ville, pour un montant de près de 3 millions de DH.
Il est à noter qu'une telle réalisation n'a manifestement aucune portée, si elle n'est pas accompagnée par d'autres infrastructures. C'est pour cela que la réalisation de la zone industrielle de Ben Ahmed s'est faite parallèlement à la construction d'un Institut de Technologie appliquée (ITA) destiné à la formation d'un personnel qualifié pour répondre aux différents besoins des industriels de cette zone.
D'un coût de 12.400,00 dirhams, cet institut offre une capacité de 192 sièges pédagogiques. Il va aussi offrir une formation à 384 stagiaires dans différentes disciplines.
Mais tout cela n'aurait pu réussir sans la protection de la ville contre les inondations provoquées par Oued Bouriane. Heureusement, celui-ci a été maîtrisé grâce à l'aménagement du cours d'eau qui traverse la ville de Ben Ahmed sur une distance d'environ 6 km. Cet aménagement a nécessité une enveloppe budgétaire de 44,5 millions de DHS. A l'ensemble de ces réalisations s'ajoute la construction d'une station d'épuration des eaux usées, dont le coût de réalisation a été de 16.600 millions de Dirhams.
Ben Ahmed est donc en droit de prétendre au statut d'une ville disposant d'une zone industrielle fiable et structurée. Reste à promouvoir cette zone par des mesures incitatives qu'ils faudraient porter à la connaissance d'investisseurs. Des compagnes de vulgarisation et de promotion sont donc à inscrire parmi les priorités de vulgarisation de la ville.
Il a été opportun et indispensable d'offrir à cette ville une zone industrielle d'abord. Mûrement réfléchie, cette idée a débouché sur la création d'une zone industrielle aujourd'hui opérationnelle.
Située au nord de la ville, la zone industrielle de Ben Ahmed est aménagée sur une superficie de plus de 42 hectares.
Elle compte 195 lots, dont 90 lots industriels de deuxième catégorie dont la superficie moyenne est de 2.060 m2.
Dans leur conception, les promoteurs de la zone n'ont pas oublié, les jeunes entrepreneurs auxquels ils ont réservé 105 lots de 200 m2 chacun.
Le Conseil municipal de Ben Ahmed a veillé à la réalisation de ce grand projet, en prenant à sa charge, notamment, les travaux d'assainissement et de voirie. Travaux, qui ont nécessité une enveloppe budgétaire de 1.667.250 DHS.
D'autres institutions locales ont pris en charge la réalisation des artères au sein de la zone.
La région Chaouia-Ouardigha a ainsi déboursé 1.354.434 DHS pour la réalisation de l'ensemble de ces travaux.
En ce qui concerne l'alimentation en eau potable et en électricité ainsi que l'assainissement, ils ont été pris en charge par le Conseil municipal de la ville, pour un montant de près de 3 millions de DH.
Il est à noter qu'une telle réalisation n'a manifestement aucune portée, si elle n'est pas accompagnée par d'autres infrastructures. C'est pour cela que la réalisation de la zone industrielle de Ben Ahmed s'est faite parallèlement à la construction d'un Institut de Technologie appliquée (ITA) destiné à la formation d'un personnel qualifié pour répondre aux différents besoins des industriels de cette zone.
D'un coût de 12.400,00 dirhams, cet institut offre une capacité de 192 sièges pédagogiques. Il va aussi offrir une formation à 384 stagiaires dans différentes disciplines.
Mais tout cela n'aurait pu réussir sans la protection de la ville contre les inondations provoquées par Oued Bouriane. Heureusement, celui-ci a été maîtrisé grâce à l'aménagement du cours d'eau qui traverse la ville de Ben Ahmed sur une distance d'environ 6 km. Cet aménagement a nécessité une enveloppe budgétaire de 44,5 millions de DHS. A l'ensemble de ces réalisations s'ajoute la construction d'une station d'épuration des eaux usées, dont le coût de réalisation a été de 16.600 millions de Dirhams.
Ben Ahmed est donc en droit de prétendre au statut d'une ville disposant d'une zone industrielle fiable et structurée. Reste à promouvoir cette zone par des mesures incitatives qu'ils faudraient porter à la connaissance d'investisseurs. Des compagnes de vulgarisation et de promotion sont donc à inscrire parmi les priorités de vulgarisation de la ville.
