Elle a été exclue des Jeux et devra rendre sa médaille, a indiqué le CIO dans un communiqué. Il a chargé la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) de revoir en conséquence le classement du concours de lancer de poids et de prendre à l'encontre de Korzhanenko les mesures appropriées.
Irina Korzhanenko, 30 ans, est la première championne olympique disqualifiée et privée de son titre depuis le Canadien Ben Johnson, éphémère vainqueur du 100 m des JO de Séoul en 1988. Comme lui, la substance dopante dont elle a fait usage était du stanozolol, un stéroïde anabolisant.
L'annonce du contrôle antidopage positif de Korzhanenko avait été faite dimanche à l'AFP par la commission médicale du CIO.
Elle avait déjà été disqualifiée de sa deuxième (bien deuxième) place des Mondiaux en salle 1999 après avoir subi un contrôle antidopage positif.
Première championne olympique sacrée à Olympie où se disputaient les Jeux de l'Antiquité (les femmes n'étaient pas autorisées à y participer), elle l'avait emporté avec 21,06 m, meilleure performance mondiale de l'année.
Elle avait devancé la Cubaine Yumileidi Cumba, qui devrait hériter du titre, et l'Allemande Nadine Kleinert. La Russe Svetlana Krivelyova, classée 4e, accéderait au podium.
Ce cas de dopage est le 14e annoncé depuis le 30 juillet, date officielle de la "période des Jeux Olympiques" qui se sont ouverts officiellement le 13 août à Athènes.
En dehors de ces quatorze cas, les sprinteurs grecs Costas Kenteris et Ehkaterini Thanou ont été amenés à déclarer forfaits alors qu'ils étaient menacés d'exclusion pour avoir éludé un contrôle antidopage inopiné.
Depuis le 30 juillet, 1662 contrôles urinaires et 475 tests sanguins ont été diligentés par le CIO dans le cadre de la lutte antidopage.
Outre les interventions inopinées, pour chaque épreuve, les quatre premiers de la finale ainsi que deux concurrents tirés au sort sont automatiquement soumis à un contrôle.
Irina Korzhanenko, 30 ans, est la première championne olympique disqualifiée et privée de son titre depuis le Canadien Ben Johnson, éphémère vainqueur du 100 m des JO de Séoul en 1988. Comme lui, la substance dopante dont elle a fait usage était du stanozolol, un stéroïde anabolisant.
L'annonce du contrôle antidopage positif de Korzhanenko avait été faite dimanche à l'AFP par la commission médicale du CIO.
Elle avait déjà été disqualifiée de sa deuxième (bien deuxième) place des Mondiaux en salle 1999 après avoir subi un contrôle antidopage positif.
Première championne olympique sacrée à Olympie où se disputaient les Jeux de l'Antiquité (les femmes n'étaient pas autorisées à y participer), elle l'avait emporté avec 21,06 m, meilleure performance mondiale de l'année.
Elle avait devancé la Cubaine Yumileidi Cumba, qui devrait hériter du titre, et l'Allemande Nadine Kleinert. La Russe Svetlana Krivelyova, classée 4e, accéderait au podium.
Ce cas de dopage est le 14e annoncé depuis le 30 juillet, date officielle de la "période des Jeux Olympiques" qui se sont ouverts officiellement le 13 août à Athènes.
En dehors de ces quatorze cas, les sprinteurs grecs Costas Kenteris et Ehkaterini Thanou ont été amenés à déclarer forfaits alors qu'ils étaient menacés d'exclusion pour avoir éludé un contrôle antidopage inopiné.
Depuis le 30 juillet, 1662 contrôles urinaires et 475 tests sanguins ont été diligentés par le CIO dans le cadre de la lutte antidopage.
Outre les interventions inopinées, pour chaque épreuve, les quatre premiers de la finale ainsi que deux concurrents tirés au sort sont automatiquement soumis à un contrôle.
