Le sénateur de la Caroline du Nord a décidé de jeter l'éponge, maintenant qu'il vient de perdre l'Ohio et le Maryland, deux états clés dans sa campagne.
Kerry, le sénateur sexagénaire qui rêve de faire “revenir Bush au Texas”, s'approche du sprint final où il croisera le fer avec le Président américain George. W Bush. L'annonce officielle du candidat démocrate se fera fin juillet à Boston au cours de la Convention nationale du parti. Mais la question de savoir son nom ne se pose plus.
La course à la présidentielle n'est pas une mince affaire. Il ne suffit pas d'avoir de l'ambition et la bonne stratégie, mais il faut savoir compter sur l'expérience et une image qui colle aux grands thèmes qui intéressent les Américains.
Ces thèmes qui sont devenus si chers aux électeurs du pays de l'oncle Sam sont la guerre en Irak, là George Bush perd un point, surtout avec la polémique autour de l'absence des Armes de destruction massive. Ensuite il y'a la question du terrorisme et de la sécurité. Kerry prône une réforme de fond, alors que l'actuel Président, compte sur ses exploits depuis le 11 septembre pour défendre une “soi-disant” fermeté face au terrorisme.
Quand on arrive au domaine de l'Emploi et de l'économie, c'est encore John Kerry qui s'attaque au candidat républicain l'accusant d'être responsable de la perte de milliers d'emplois depuis son entrée à la maison Blanche.
D'autres dossiers tels la santé, la peine de mort et d'autres , seront le champ propice pour un face à face Kerry-Bush devant des électeurs qui devront adhérer au discours de l'un ou de l'autre, l'expérience ayant démontré qu'une fois installé dans le bureau ovale, bien des candidats oublient leurs paroles.
En tout cas, ce qui est sûre c'est que John Edwards, avocat de 50 ans, n'avait pas assez d'expérience pour compléter son talent de grand plaideur et séduire les Américains.
Les électeurs démocrates veulent quelqu'un capable à leurs yeux de battre l'actuel Président. John Kerry en a, semble-t-il, le profil. Aujourd'hui seul en selle, celui-ci entame ainsi un marathon de huit mois seul contre le président George W. Bush, qui prendra fin novembre devant les électeurs américains.
Kerry, le sénateur sexagénaire qui rêve de faire “revenir Bush au Texas”, s'approche du sprint final où il croisera le fer avec le Président américain George. W Bush. L'annonce officielle du candidat démocrate se fera fin juillet à Boston au cours de la Convention nationale du parti. Mais la question de savoir son nom ne se pose plus.
La course à la présidentielle n'est pas une mince affaire. Il ne suffit pas d'avoir de l'ambition et la bonne stratégie, mais il faut savoir compter sur l'expérience et une image qui colle aux grands thèmes qui intéressent les Américains.
Ces thèmes qui sont devenus si chers aux électeurs du pays de l'oncle Sam sont la guerre en Irak, là George Bush perd un point, surtout avec la polémique autour de l'absence des Armes de destruction massive. Ensuite il y'a la question du terrorisme et de la sécurité. Kerry prône une réforme de fond, alors que l'actuel Président, compte sur ses exploits depuis le 11 septembre pour défendre une “soi-disant” fermeté face au terrorisme.
Quand on arrive au domaine de l'Emploi et de l'économie, c'est encore John Kerry qui s'attaque au candidat républicain l'accusant d'être responsable de la perte de milliers d'emplois depuis son entrée à la maison Blanche.
D'autres dossiers tels la santé, la peine de mort et d'autres , seront le champ propice pour un face à face Kerry-Bush devant des électeurs qui devront adhérer au discours de l'un ou de l'autre, l'expérience ayant démontré qu'une fois installé dans le bureau ovale, bien des candidats oublient leurs paroles.
En tout cas, ce qui est sûre c'est que John Edwards, avocat de 50 ans, n'avait pas assez d'expérience pour compléter son talent de grand plaideur et séduire les Américains.
Les électeurs démocrates veulent quelqu'un capable à leurs yeux de battre l'actuel Président. John Kerry en a, semble-t-il, le profil. Aujourd'hui seul en selle, celui-ci entame ainsi un marathon de huit mois seul contre le président George W. Bush, qui prendra fin novembre devant les électeurs américains.
