A quel point la formation à l'ISIC répond-elle aux exigences du marché du travail ?
Il faut reconnaître que l'Institut supérieur de l'Information et de la Communication est le premier établissement de l'enseignement supérieur spécialisé dans le domaine du journalisme et de communication au Maroc. Il s'assigne comme objectif primordial de former des jeunes journalistes et des professionnels de la communication. Il faut reconnaître aussi qu'i s'est avéré que la formation à l'ISIC n'a pas su il y a quelques années s'adapter parfaitement avec la nouvelle donne du marché du travail.
L'Enseignement était axé pour l'essentiel sur des cours plutôt théoriques donc en déphasage ou inadéquation avec la nouvelle pratique professionnelle dictée par l'expansion foudroyante des nouvelles technologies de l'information. Ceci étant et dans le but d'accentuer le caractère professionnel des enseignements et pour positionner l'ISIC comme institution de référence en matière de formation des journalistes et des spécialistes de la communication, il a fallu réactualiser la mission de l'ISIC.
L'administration et le corps pédagogique sous la direction de Mme. Akharbach ont, à ce titre, élaboré un nouveau cursus qui repose sur deux orientations principales : la promotion des enseignements spécialisés et le renforcement des enseignements professionnels et des ateliers de production pour ancrer le savoir faire acquis à l'institut dans une réalité professionnelle. Croyez mois que les étudiants, les enseignants et l'administration sont plus que jamais motivés pour relever le défi. En tout cas, nous n'avons pas le choix. Pour pouvoir suivre la réforme et l'ouverture du paysage médiatique marocain, il est impératif de s'engager dans une pédagogie d'amélioration de la qualité de la formation, et c'est notre souci, notre objectif.
Croyez vous qu'avec un seul institut d'Etat de journalisme, le secteur peut évoluer surtout avec la libéralisation de l'audiovisuel ?
Il est vrai que l'ISIC a toujours privilégié l'approche qualitative et c'est la raison pour laquelle il organise une sélection et un concours pour ne retenir que les meilleurs candidats. Mais sa mission ne se limite pas uniquement à la formation des futures journalistes, elle couvre aussi la formation continue, l'institut collabore également avec les organismes nationaux et internationaux opérant dans le domaine de l'information et de la communication. Ainsi, il organise régulièrement des sessions de formation au profit des journalistes de la radio, la télévision, la presse écrite et la communication.
Êtes-vous satisfait du projet de loi sur l'audiovisuel?
Je crois que le projet de loi relatif à la liberté de la communication audiovisuelle est, après avoir subi quelques retouches, une avancée sérieuse dans le domaine. Il traduit, en effet, la volonté politique de faire du secteur de l'audiovisuel un outil efficient de développement démocratique, culturel, social et économique du Maroc.
Ceci dit, je crois que le projet est synonyme d'ouverture, de modernisation, de transition et de développement d'un secteur peu développé.
Aussi, faudrait-il le souligner : le projet de loi sur l'audiovisuel est une occasion heureuse pour les professionnels et nos lauréats puisqu'il va leur permettre sans doute aucun d'avoir plus de confiance et de chance.
En tant que directeur des études de l'ISIC, que représente pour vous le 15 novembre ?
Le 15 novembre est un rendez-vous professionnel qui favorise l'adhésion consciente des femmes et des hommes des médias à la volonté du changement et de développement de la profession.
Il faut reconnaître que l'Institut supérieur de l'Information et de la Communication est le premier établissement de l'enseignement supérieur spécialisé dans le domaine du journalisme et de communication au Maroc. Il s'assigne comme objectif primordial de former des jeunes journalistes et des professionnels de la communication. Il faut reconnaître aussi qu'i s'est avéré que la formation à l'ISIC n'a pas su il y a quelques années s'adapter parfaitement avec la nouvelle donne du marché du travail.
L'Enseignement était axé pour l'essentiel sur des cours plutôt théoriques donc en déphasage ou inadéquation avec la nouvelle pratique professionnelle dictée par l'expansion foudroyante des nouvelles technologies de l'information. Ceci étant et dans le but d'accentuer le caractère professionnel des enseignements et pour positionner l'ISIC comme institution de référence en matière de formation des journalistes et des spécialistes de la communication, il a fallu réactualiser la mission de l'ISIC.
L'administration et le corps pédagogique sous la direction de Mme. Akharbach ont, à ce titre, élaboré un nouveau cursus qui repose sur deux orientations principales : la promotion des enseignements spécialisés et le renforcement des enseignements professionnels et des ateliers de production pour ancrer le savoir faire acquis à l'institut dans une réalité professionnelle. Croyez mois que les étudiants, les enseignants et l'administration sont plus que jamais motivés pour relever le défi. En tout cas, nous n'avons pas le choix. Pour pouvoir suivre la réforme et l'ouverture du paysage médiatique marocain, il est impératif de s'engager dans une pédagogie d'amélioration de la qualité de la formation, et c'est notre souci, notre objectif.
Croyez vous qu'avec un seul institut d'Etat de journalisme, le secteur peut évoluer surtout avec la libéralisation de l'audiovisuel ?
Il est vrai que l'ISIC a toujours privilégié l'approche qualitative et c'est la raison pour laquelle il organise une sélection et un concours pour ne retenir que les meilleurs candidats. Mais sa mission ne se limite pas uniquement à la formation des futures journalistes, elle couvre aussi la formation continue, l'institut collabore également avec les organismes nationaux et internationaux opérant dans le domaine de l'information et de la communication. Ainsi, il organise régulièrement des sessions de formation au profit des journalistes de la radio, la télévision, la presse écrite et la communication.
Êtes-vous satisfait du projet de loi sur l'audiovisuel?
Je crois que le projet de loi relatif à la liberté de la communication audiovisuelle est, après avoir subi quelques retouches, une avancée sérieuse dans le domaine. Il traduit, en effet, la volonté politique de faire du secteur de l'audiovisuel un outil efficient de développement démocratique, culturel, social et économique du Maroc.
Ceci dit, je crois que le projet est synonyme d'ouverture, de modernisation, de transition et de développement d'un secteur peu développé.
Aussi, faudrait-il le souligner : le projet de loi sur l'audiovisuel est une occasion heureuse pour les professionnels et nos lauréats puisqu'il va leur permettre sans doute aucun d'avoir plus de confiance et de chance.
En tant que directeur des études de l'ISIC, que représente pour vous le 15 novembre ?
Le 15 novembre est un rendez-vous professionnel qui favorise l'adhésion consciente des femmes et des hommes des médias à la volonté du changement et de développement de la profession.
