Quel effet ça fait d'être le premier Arabe et Africain à monter sur le podium lors d'un championnat du monde ?
D'abord, je dédie cette victoire à S.M le Roi Mohammed VI parce qu'il a toujours soutenu le jet-ski. Je remercie également M. Oussama Al Allam, l'entraîneur de l'équipe nationale. C'est en grande partie grâce à lui qu'on a pu atteindre ce niveau qui nous a permis de participer aux compétitions européennes et au championnat du monde. Je tiens à remercier également nos sponsors qui soutiennent financièrement les efforts de la Fédération notamment l'ONMT, Maroc Telecom, Centrale Laitière, Afriquia, Le Matin, BMCE Bank, 2M, Red Bull. Je les remercie beaucoup pour leur soutien et j'espère qu'ils continueront d'être à nos côtés.
Je suis très content de la performance que j'ai réalisée. D'autant plus, que c'est la première fois que je prends part à un championnat du monde. Le niveau des participants était élevé, notamment les Français qui sont très forts dans ce sport. La concurrence était rude, mais j'ai pu m'imposer grâce à Dieu et aux entraînements intensifs que j'ai suivis. j'ai occupé donc la troisième place. Je pense que c'est un résultat qui honore le Maroc, l'Afrique ainsi que tous les Arabes.
Comment vous avez commencé à pratiquer le jet-ski ?
Je faisais partie d'une école de cirque à Salé où j'apprenais le jonglage. Un jour, des responsables de l'Association marocaine de jet-ski étaient venus chercher des jeunes pour les former dans l'école de jet-ski qu'ils avaient ouverte. J'ai été retenu et c'est ainsi que j'ai commencé à pratiquer ce sport. Mon passage par l'école de cirque m'a permis de développer mon équilibre et ma concentration. Ce qui m'a aidé énormément en jet-ski.
Quelles sont les qualités que doit posséder un jeune pour devenir un bon jet- skieur ?
Physiquement, il faut qu'il soit petit de taille. Car cela lui permet de maîtriser son jet et d'être en parfaite symbiose avec lui. De même, il doit être fort. C'est ce qui explique d'ailleurs les exercices d'endurance qu'on fait quatre fois par semaine. De plus, un bon jet-skieur doit être discipliné et faire preuve de beaucoup d'humilité.
Que faut-il faire d'après vous pour développer davantage le jet-ski au Maroc ?
Il faut développer les clubs car il n'y en a pas assez. Il y a le club de Rabat, celui d'Agadir et celui de Marrakech. Il faut que chaque ville ait son club et son école de jet-ski pour que les jeunes puissent pratiquer ce sport. La majorité d'entre eux n'ont pas les moyens. Je pense que dans toutes les villes, il y a des champions potentiels. Il suffit de les former, de les encadrer et de les entraîner.
D'abord, je dédie cette victoire à S.M le Roi Mohammed VI parce qu'il a toujours soutenu le jet-ski. Je remercie également M. Oussama Al Allam, l'entraîneur de l'équipe nationale. C'est en grande partie grâce à lui qu'on a pu atteindre ce niveau qui nous a permis de participer aux compétitions européennes et au championnat du monde. Je tiens à remercier également nos sponsors qui soutiennent financièrement les efforts de la Fédération notamment l'ONMT, Maroc Telecom, Centrale Laitière, Afriquia, Le Matin, BMCE Bank, 2M, Red Bull. Je les remercie beaucoup pour leur soutien et j'espère qu'ils continueront d'être à nos côtés.
Je suis très content de la performance que j'ai réalisée. D'autant plus, que c'est la première fois que je prends part à un championnat du monde. Le niveau des participants était élevé, notamment les Français qui sont très forts dans ce sport. La concurrence était rude, mais j'ai pu m'imposer grâce à Dieu et aux entraînements intensifs que j'ai suivis. j'ai occupé donc la troisième place. Je pense que c'est un résultat qui honore le Maroc, l'Afrique ainsi que tous les Arabes.
Comment vous avez commencé à pratiquer le jet-ski ?
Je faisais partie d'une école de cirque à Salé où j'apprenais le jonglage. Un jour, des responsables de l'Association marocaine de jet-ski étaient venus chercher des jeunes pour les former dans l'école de jet-ski qu'ils avaient ouverte. J'ai été retenu et c'est ainsi que j'ai commencé à pratiquer ce sport. Mon passage par l'école de cirque m'a permis de développer mon équilibre et ma concentration. Ce qui m'a aidé énormément en jet-ski.
Quelles sont les qualités que doit posséder un jeune pour devenir un bon jet- skieur ?
Physiquement, il faut qu'il soit petit de taille. Car cela lui permet de maîtriser son jet et d'être en parfaite symbiose avec lui. De même, il doit être fort. C'est ce qui explique d'ailleurs les exercices d'endurance qu'on fait quatre fois par semaine. De plus, un bon jet-skieur doit être discipliné et faire preuve de beaucoup d'humilité.
Que faut-il faire d'après vous pour développer davantage le jet-ski au Maroc ?
Il faut développer les clubs car il n'y en a pas assez. Il y a le club de Rabat, celui d'Agadir et celui de Marrakech. Il faut que chaque ville ait son club et son école de jet-ski pour que les jeunes puissent pratiquer ce sport. La majorité d'entre eux n'ont pas les moyens. Je pense que dans toutes les villes, il y a des champions potentiels. Il suffit de les former, de les encadrer et de les entraîner.
