Car en cas de nul 2-2, 3-3 ou autre, elle serait éliminée à la différence de buts marqués. En somme, les Italiens n'avaient plus leur destin en mains. Evoluant sans Vieri, ils n'ont guère dominé le début de match devant des Bulgares très à l'aise car ils n'avaient plus rien à perdre et tout à gagner.
Aussi, bien que se créant plus d'occasions que leurs adversaires, gâchées le plus souvent par Del Piero, Corradi et Cassano, ce sont les Bulgares qui allaient, contre toute attente, ouvrir le score sur un penalty sifflé par l'arbitre et transformé par Pétrov en fin de la première période, suite à une faute de Materazi en pleine surface de réparation.
Pendant ce temps, le Danemark menait devant la Suède. Ce qui donnait un certain avantage aux Italiens s'ils parvenaient à l'emporter. Heureusement qu'après le repos, tout allait changer dans les deux matches. Alors que les Italiens allaient égaliser dès la 46e minute par Perotta, les Suédois, de leur côté, ne voulaient pas en rester là en égalisant sur penalty marqué par Larson une minute plus tard. L'entraîneur italien allait renforcer son attaque pour changer le cours du jeu, en rappelant Vieri, quoique blessé, à la place de Corradi, trop brouillon.
Mais, encore une fois, malgré leur domination, les Italiens ont joué d'une manière désorganisée avec trop de déchets dans leurs passes. Ce qui ne leur a pas permis de prendre l'avantage. Ils durent attendre les dernières minutes pour sauver l'honneur par Cassano et sortir avec cinq points. Auparavant, les Suédois avaient égalisé (2-2), privant ainsi les Italiens de la qualification, malgré leur petite victoire qui n'a servi à rien.
Aussi, bien que se créant plus d'occasions que leurs adversaires, gâchées le plus souvent par Del Piero, Corradi et Cassano, ce sont les Bulgares qui allaient, contre toute attente, ouvrir le score sur un penalty sifflé par l'arbitre et transformé par Pétrov en fin de la première période, suite à une faute de Materazi en pleine surface de réparation.
Pendant ce temps, le Danemark menait devant la Suède. Ce qui donnait un certain avantage aux Italiens s'ils parvenaient à l'emporter. Heureusement qu'après le repos, tout allait changer dans les deux matches. Alors que les Italiens allaient égaliser dès la 46e minute par Perotta, les Suédois, de leur côté, ne voulaient pas en rester là en égalisant sur penalty marqué par Larson une minute plus tard. L'entraîneur italien allait renforcer son attaque pour changer le cours du jeu, en rappelant Vieri, quoique blessé, à la place de Corradi, trop brouillon.
Mais, encore une fois, malgré leur domination, les Italiens ont joué d'une manière désorganisée avec trop de déchets dans leurs passes. Ce qui ne leur a pas permis de prendre l'avantage. Ils durent attendre les dernières minutes pour sauver l'honneur par Cassano et sortir avec cinq points. Auparavant, les Suédois avaient égalisé (2-2), privant ainsi les Italiens de la qualification, malgré leur petite victoire qui n'a servi à rien.
