La démarche de Catherine Poncin consiste à travailler à partir d’images qui existent déjà telles des photographies dénichées dans des albums de familles ou prises de fonds photographiques de musées ou de régions ou de presse ou bien d’illustrations qu’elle isole de leur contexte, puis procède à l’exploration de leur représentation en construisant un parcours fictionnel d’une mémoire « affectée». « J’ai réalisé cette exposition en l’espace de trois années dans différentes régions du Maroc et avec diverses personnes en écrivant l’histoire avec la lumière et les images que j’ai pu recueillir», nous a confié Catherine Poncin qui, à travers ce long périple artistique, a pu entrer dans l’intimité de maisons familiales pour écouter durant de longues heures des histoires de vies contées qui ont servi par la suite à constituer son monde qu’elle nomme «l’image par l’image».
Mais, sa quête ne s’est pas limitée à ce travail intérieur, puisque son exploration l’a poussé à aller fouiner dans les labyrinthes des Médinas en photographiant ses égarements par fragments de couleurs qu’elle associe à l’instant passé. «Après avoir fini ma recherche, j’ai construit le travail et rassemblé toutes les photos, j’ai pensé à faire un livre dont les textes sont écrits par Rajae Benchemsi et Michèle Cohen Hadria, puis il y a eu la proposition de faire une exposition itinérante à travers les instituts français du Maroc», nous a expliqué Catherine.
Un travail original
En effet, un beau livre où Paul Ardenne de ’ Catherine Poncin’ Filigranes éditions nous dit que «Catherine Poncin, plutôt que photographier, rephotographie. L’appareil photo ne lui sert pas à capter la réalité, il n’a pas vocation à «écrire la lumière», n’est jamais utilisé comme matériel d’enregistrement de la réalité, mais à l’appropriation d’images déjà existantes, des images appartenant au vaste territoire du monde trouvé, images disponibles et dont Poncin fera son bien photographique par adoption de «l’image par image» comme sa démarche l’indique.
Par ce travail original, Catherine Poncin a rempli son palmarès par plusieurs expositions individuelles et collectives ainsi que par des commandes publiques et des collections privées.
Catherine Poncin est aussi chargée de cours à l’Université Paris 8, ce qui lui a permis de publier plusieurs publications et textes critiques, dont «L’art à l’âge contemporain», « La boîte de pandore», et «Sans conte, ni légende qui accompagne cette exposition itinérante qui fut réalisée à partir d’une photographie que Fatna Zohier, la belle –mère de Catherine, a bien voulu lui confier. Un premier pas ayant déclenché ce grand voyage photographique».
Mais, sa quête ne s’est pas limitée à ce travail intérieur, puisque son exploration l’a poussé à aller fouiner dans les labyrinthes des Médinas en photographiant ses égarements par fragments de couleurs qu’elle associe à l’instant passé. «Après avoir fini ma recherche, j’ai construit le travail et rassemblé toutes les photos, j’ai pensé à faire un livre dont les textes sont écrits par Rajae Benchemsi et Michèle Cohen Hadria, puis il y a eu la proposition de faire une exposition itinérante à travers les instituts français du Maroc», nous a expliqué Catherine.
Un travail original
En effet, un beau livre où Paul Ardenne de ’ Catherine Poncin’ Filigranes éditions nous dit que «Catherine Poncin, plutôt que photographier, rephotographie. L’appareil photo ne lui sert pas à capter la réalité, il n’a pas vocation à «écrire la lumière», n’est jamais utilisé comme matériel d’enregistrement de la réalité, mais à l’appropriation d’images déjà existantes, des images appartenant au vaste territoire du monde trouvé, images disponibles et dont Poncin fera son bien photographique par adoption de «l’image par image» comme sa démarche l’indique.
Par ce travail original, Catherine Poncin a rempli son palmarès par plusieurs expositions individuelles et collectives ainsi que par des commandes publiques et des collections privées.
Catherine Poncin est aussi chargée de cours à l’Université Paris 8, ce qui lui a permis de publier plusieurs publications et textes critiques, dont «L’art à l’âge contemporain», « La boîte de pandore», et «Sans conte, ni légende qui accompagne cette exposition itinérante qui fut réalisée à partir d’une photographie que Fatna Zohier, la belle –mère de Catherine, a bien voulu lui confier. Un premier pas ayant déclenché ce grand voyage photographique».
