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De ce fait, «Talisman» constitue une nouvelle expérience dans la carrière artistique de Nouiga. «C'est une tentative dans le domaine de l'abstraction, dont le point de départ est surtout tout ce qui est kabbalistique en plus de ma peinture.
Donc, je débute mon tableau par un découpage de ces signes et manuscrits que je colle, ensuite je m'exprime sur ma toile comme j'ai envie de le faire, sans restriction», nous dira l'artiste peintre qui trouve cette quête plastique très intéressante du fait qu'elle donne libre cours à l'imaginaire du peintre ; celui-ci peut arrêter son tableau quand il le sent nécessaire, contrairement à l'image concrète dont la fin est bien connue.
« Je trouve que c'est extraordinaire, car on ne connaît pas le temps qu'on va mettre sur chaque tableau. Chaque œuvre constitue un voyage bien particulier».
Ainsi, en abandonnant les compositions narratives de la peinture et la volonté de représenter, Miloudi Nouiga aborde une nouvelle aventure où prévalent signes ancestraux, traditionnels et préhistoriques, dépouillés de leur sens contextuel pour s'intégrer dans des surfaces de matières colorées.
D'où la naissance d'une graphie imaginaire, dont la magie réside dans le travail sur la couleur et le matériau. Le résultat est un équilibre constant entre le mouvement, la couleur et la figure donnant naissance à une expérience unique et une recherche très poussée.
«D'abord, il faut mûrir dans la peinture pour pouvoir arriver à ce stade-là, car l'abstraction est avant tout une réflexion et une étude qui n'est pas facile. Les gens se trompent quand ils pensent que l'abstrait est le plus simple chemin de la peinture ». Nouiga nous a aussi révélé qu'il aime cette liberté d'expression pour ne pas se figer dans le même style ou la même école de peinture, surtout qu'il est un pur autodidacte ayant fait ses recherches plastiques lui-même et de ses propres moyens, sans avoir recours à des notions académiques, et ayant été fasciné, par ailleurs, par des grands maîtres de la peinture.
Aujourd'hui, notre artiste se lance dans un défi, celui de réunir deux registres apparemment inconciliables, l'un appartenant à l'univers des signes archaïques, l'autre à la liberté du modernisme. «C'est ma première exposition dans l'abstraction.
Peut-être qu'il y aura d'autres, cela dépend de la réaction du public». Une réaction qui fut très positive d'après notre constat auprès de tous ceux venus nombreux pour découvrir une autre facette de Miloudi Nouiga qui, en plus de la peinture, possède plusieurs cordes à son arc, touchant, ainsi, plusieurs domaines comme celui de la gravure, la lithographie, la photo artistique, les folios, la carte postale artistique et les illustrations de livres.
Donc, je débute mon tableau par un découpage de ces signes et manuscrits que je colle, ensuite je m'exprime sur ma toile comme j'ai envie de le faire, sans restriction», nous dira l'artiste peintre qui trouve cette quête plastique très intéressante du fait qu'elle donne libre cours à l'imaginaire du peintre ; celui-ci peut arrêter son tableau quand il le sent nécessaire, contrairement à l'image concrète dont la fin est bien connue.
« Je trouve que c'est extraordinaire, car on ne connaît pas le temps qu'on va mettre sur chaque tableau. Chaque œuvre constitue un voyage bien particulier».
Ainsi, en abandonnant les compositions narratives de la peinture et la volonté de représenter, Miloudi Nouiga aborde une nouvelle aventure où prévalent signes ancestraux, traditionnels et préhistoriques, dépouillés de leur sens contextuel pour s'intégrer dans des surfaces de matières colorées.
D'où la naissance d'une graphie imaginaire, dont la magie réside dans le travail sur la couleur et le matériau. Le résultat est un équilibre constant entre le mouvement, la couleur et la figure donnant naissance à une expérience unique et une recherche très poussée.
«D'abord, il faut mûrir dans la peinture pour pouvoir arriver à ce stade-là, car l'abstraction est avant tout une réflexion et une étude qui n'est pas facile. Les gens se trompent quand ils pensent que l'abstrait est le plus simple chemin de la peinture ». Nouiga nous a aussi révélé qu'il aime cette liberté d'expression pour ne pas se figer dans le même style ou la même école de peinture, surtout qu'il est un pur autodidacte ayant fait ses recherches plastiques lui-même et de ses propres moyens, sans avoir recours à des notions académiques, et ayant été fasciné, par ailleurs, par des grands maîtres de la peinture.
Aujourd'hui, notre artiste se lance dans un défi, celui de réunir deux registres apparemment inconciliables, l'un appartenant à l'univers des signes archaïques, l'autre à la liberté du modernisme. «C'est ma première exposition dans l'abstraction.
Peut-être qu'il y aura d'autres, cela dépend de la réaction du public». Une réaction qui fut très positive d'après notre constat auprès de tous ceux venus nombreux pour découvrir une autre facette de Miloudi Nouiga qui, en plus de la peinture, possède plusieurs cordes à son arc, touchant, ainsi, plusieurs domaines comme celui de la gravure, la lithographie, la photo artistique, les folios, la carte postale artistique et les illustrations de livres.
