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Nouzha Chekrouni, ministre déléguée chargée de la Communauté marocaine résidant à l'étranger est en visite actuellement en Egypte en vue de participer, en sa qualité de secrétaire générale de la commission du travail de la femme arabe, à une conférence sur le thème "la maîtrise de l'économie est la voie de la femme travailleuse vers la prise de décisions".
Lors d'une rencontre avec des membres de la communauté marocaine résidant en Egypte, la ministre a souligné que les organisations et associations de la communauté marocaine à l'étranger doivent s'ouvrir sur les citoyens des pays d'accueil, précisant à cet égard que son département encourage la création de ce genre d'espaces dans les différents pays abritant la communauté marocaine à l'étranger.
Les espaces d'amitié et de dialogue ouverts en Belgique, en Espagne et aux Pays-Bas, en partenariat entre le Maroc et les pays d'accueil, contribueront, a-t-elle ajouté, à faire connaître le Maroc à l'étranger.
Elle a, en outre, salué toute initiative visant l'encadrement des immigrés marocains, expliquant qu'un cadre organisationnel de la communauté marocaine à l'étranger constituera une force de proposition pouvant aider les responsables à résoudre les problèmes de cette catégorie sociale.
La ministre a rappelé les missions de son département qui visent à travers plusieurs actions à réaliser la pleine citoyenneté des MRE, en mettant en place une politique d'immigration fondée sur le partenariat.
La citoyenneté implique également le droit des RME à participer à la vie politique de leur pays, a-t-elle souligné, rappelant que S.M. le Roi Mohammed VI a donné Ses instructions pour préparer un projet de loi sur la représentativité politique des MRE, qui sera soumis à la haute approbation du Souverain une fois élaboré.
Elle a, en outre, souligné l'importance de la langue, de la culture et de la religion dans le raffermissement des liens entre les Marocains résidant à l'étranger et leur mère patrie, relevant à cet égard la nécessité pour les pays d'accueil de déployer davantage d'efforts en matière d'enseignement de la langue arabe et des préceptes de l'Islam aux enfants des MRE.
La rencontre a été également l'occasion de passer en revue les principales questions nationales, avec à leur tête, le dossier du Sahara marocain. La ministre a rappelé à ce sujet que S.M. le Roi Mohammed VI et toutes les composantes du peuple marocain optent pour une solution politique dans le cadre de la souveraineté du Maroc.
Elle a également rappelé les réformes engagées par le Maroc en matière de consécration des droits de l'Homme (mise en place de l'instance équité et réconciliation) et de la promotion de la condition de la femme (code de la famille).
De son côté, l'ambassadeur du Maroc en Egypte, M. Mohamed Faraj Doukali s'est félicité du dynamisme de la communauté marocaine en Egypte et du rôle qu'elle accomplit pour faire connaître le Maroc et ses causes nationales.
Nombre de participants à cette rencontre ont saisi cette occasion pour soulever plusieurs questions portant notamment sur l'absence d'un centre culturel en Egypte, le faible niveau de communication entre les membres de la communauté marocaine et la mère patrie, et le problème de l'équivalence des diplômes universitaires entre le Maroc et l'Egypte.
La communauté marocaine en Egypte est estimée à environ 3.000 personnes travaillant principalement dans les domaines du tourisme et des affaires en plus d'un nombre important d'étudiants.
Lors d'une rencontre avec des membres de la communauté marocaine résidant en Egypte, la ministre a souligné que les organisations et associations de la communauté marocaine à l'étranger doivent s'ouvrir sur les citoyens des pays d'accueil, précisant à cet égard que son département encourage la création de ce genre d'espaces dans les différents pays abritant la communauté marocaine à l'étranger.
Les espaces d'amitié et de dialogue ouverts en Belgique, en Espagne et aux Pays-Bas, en partenariat entre le Maroc et les pays d'accueil, contribueront, a-t-elle ajouté, à faire connaître le Maroc à l'étranger.
Elle a, en outre, salué toute initiative visant l'encadrement des immigrés marocains, expliquant qu'un cadre organisationnel de la communauté marocaine à l'étranger constituera une force de proposition pouvant aider les responsables à résoudre les problèmes de cette catégorie sociale.
La ministre a rappelé les missions de son département qui visent à travers plusieurs actions à réaliser la pleine citoyenneté des MRE, en mettant en place une politique d'immigration fondée sur le partenariat.
La citoyenneté implique également le droit des RME à participer à la vie politique de leur pays, a-t-elle souligné, rappelant que S.M. le Roi Mohammed VI a donné Ses instructions pour préparer un projet de loi sur la représentativité politique des MRE, qui sera soumis à la haute approbation du Souverain une fois élaboré.
Elle a, en outre, souligné l'importance de la langue, de la culture et de la religion dans le raffermissement des liens entre les Marocains résidant à l'étranger et leur mère patrie, relevant à cet égard la nécessité pour les pays d'accueil de déployer davantage d'efforts en matière d'enseignement de la langue arabe et des préceptes de l'Islam aux enfants des MRE.
La rencontre a été également l'occasion de passer en revue les principales questions nationales, avec à leur tête, le dossier du Sahara marocain. La ministre a rappelé à ce sujet que S.M. le Roi Mohammed VI et toutes les composantes du peuple marocain optent pour une solution politique dans le cadre de la souveraineté du Maroc.
Elle a également rappelé les réformes engagées par le Maroc en matière de consécration des droits de l'Homme (mise en place de l'instance équité et réconciliation) et de la promotion de la condition de la femme (code de la famille).
De son côté, l'ambassadeur du Maroc en Egypte, M. Mohamed Faraj Doukali s'est félicité du dynamisme de la communauté marocaine en Egypte et du rôle qu'elle accomplit pour faire connaître le Maroc et ses causes nationales.
Nombre de participants à cette rencontre ont saisi cette occasion pour soulever plusieurs questions portant notamment sur l'absence d'un centre culturel en Egypte, le faible niveau de communication entre les membres de la communauté marocaine et la mère patrie, et le problème de l'équivalence des diplômes universitaires entre le Maroc et l'Egypte.
La communauté marocaine en Egypte est estimée à environ 3.000 personnes travaillant principalement dans les domaines du tourisme et des affaires en plus d'un nombre important d'étudiants.
