Ce premier long métrage de Mohamed Asli, qui connaît la participation des artistes Abdessamad Miftah Elkhir, Abderrazak El Badaoui et Naîma Bouhmala, raconte l'histoire de trois amis ayant quitté leur village et qui travaillent pour une misère, dans un La nouvelle vie de Saïd, Ismaël et Othman sera émaillée d'histoires cocasses et de situations comiques qui livreront, en fin de compte, au spectateur un film tragi-comique de bonne facture, qui ne manque pas d'un souffle poétique certain.
Le film «A Casablanca, les anges ne volent pas» a déjà participé au dernier festival de Cannes, où il figurait parmi les films sélectionnés dans le cadre de la Semaine de la critique et à la rencontre d'Assilah de cinéma Sud-Sud organisée en juillet dernier.
Plus de 45 films de 15 pays arabes et étrangers seront projetés lors de cette manifestation cinématographique. Le jury du festival sera composé de réalisateurs et critiques venus d'Espagne, de France, de Syrie, d'Egypte et de Tunisie.
Les organisateurs du festival prévoient, également, de rendre hommage aux artistes et réalisateurs arabes et étrangers, dont l'artiste égyptien Nour Chérif.
Le réalisateur Mohamed Asli, qui a fait ses études cinématographiques en Italie, est l'auteur et producteur de plusieurs courts métrages et documentaires. Il vit actuellement au Maroc où il poursuit ses activités, notamment dans le cadre de la production internationale et la formation aux métiers de cinéma.
