Les cérémonies avaient commencé jeudi avec des rituels bouddhiques et brahmaniques qui confèrent un caractère sacré à la personne du monarque et devaient se poursuivre jusqu'à samedi dans le Royaume de 13 millions d'habitants.
Le Souverain, ancien ambassadeur de son pays à l'Unesco à Paris, a été nommé le 14 octobre à l'unanimité par le Conseil du trône, une semaine après l'abdication soudaine de son père Norodom Sihanouk, qui était monté sur le trône une première fois en 1941.
"Je promets de suivre la Constitution et toutes les lois du Royaume du Cambodge et d'exercer mes fonctions pour la prospérité de la Nation et du peuple", a dit le nouveau souverain, devant des représentants des corps constitués, des responsables religieux, des membres de la famille royale et des diplomates.
La cérémonie avait commencé après une procession colorée de deux heures dans l'enceinte du palais lors de laquelle le roi avait été transporté jusqu'à la salle du trône sur un palanquin doré.
Quoique complexes, les célébrations d'intronisation ont été plus modestes que les cérémonies de couronnement qui ont ponctué l'histoire de la monarchie depuis l'empire angkorien: elles se sont déroulées en comité restreint, apparemment pour des raisons budgétaires.
Le retour de Norodom Sihanouk en 1993 sur le trône --après son abdication en 1955-- avait également été relativement discret alors que le Cambodge commençait à renouer timidement avec la paix.
Phnom Penh avait néanmoins des allures de fête et vendredi avait été décrété jour férié pour le premier couronnement d'un nouveau Roi au Cambodge depuis plus un demi-siècle.
Samedi, au dernier jour des festivités, le roi, qui a promis de ne pas se mêler de politique, doit prononcer son discours d'investiture de la tribune d'un pavillon du palais, devant environ 50.000 personnes.
Le soir, des milliers de Cambodgiens devraient converger pour assister aux feux d'artifice prévus devant le palais, le long de la rivière du Tonle Sap, où sont programmés des spectacles de danse traditionnelle.
Le Souverain, ancien ambassadeur de son pays à l'Unesco à Paris, a été nommé le 14 octobre à l'unanimité par le Conseil du trône, une semaine après l'abdication soudaine de son père Norodom Sihanouk, qui était monté sur le trône une première fois en 1941.
"Je promets de suivre la Constitution et toutes les lois du Royaume du Cambodge et d'exercer mes fonctions pour la prospérité de la Nation et du peuple", a dit le nouveau souverain, devant des représentants des corps constitués, des responsables religieux, des membres de la famille royale et des diplomates.
La cérémonie avait commencé après une procession colorée de deux heures dans l'enceinte du palais lors de laquelle le roi avait été transporté jusqu'à la salle du trône sur un palanquin doré.
Quoique complexes, les célébrations d'intronisation ont été plus modestes que les cérémonies de couronnement qui ont ponctué l'histoire de la monarchie depuis l'empire angkorien: elles se sont déroulées en comité restreint, apparemment pour des raisons budgétaires.
Le retour de Norodom Sihanouk en 1993 sur le trône --après son abdication en 1955-- avait également été relativement discret alors que le Cambodge commençait à renouer timidement avec la paix.
Phnom Penh avait néanmoins des allures de fête et vendredi avait été décrété jour férié pour le premier couronnement d'un nouveau Roi au Cambodge depuis plus un demi-siècle.
Samedi, au dernier jour des festivités, le roi, qui a promis de ne pas se mêler de politique, doit prononcer son discours d'investiture de la tribune d'un pavillon du palais, devant environ 50.000 personnes.
Le soir, des milliers de Cambodgiens devraient converger pour assister aux feux d'artifice prévus devant le palais, le long de la rivière du Tonle Sap, où sont programmés des spectacles de danse traditionnelle.
