Jamais deux équipes du Maghreb n'étaient encore parvenues conjointement en finale de la Coupe d'Afrique des Nations. L'exubérant football de l'Afrique noire, souvent marqué par les coups d'éclats de joueurs hors norme, n'a donc pas résisté aux machines bien huilées du Maroc et de la Tunisie.
Les Aigles de Carthage, qui brigueront leur premier succès dans l'épreuve, et les Lions de l'Atlas, qui visent un deuxième titre, depuis celui conquis en 1976 en Ethiopie, ont damé le pion à tous les «gros bras» de l'Afrique de l'Ouest.
La sélection nationale avait dès son premier match frappé les imaginations en dominant le Nigeria d'Okocha. En quarts de finale, les Aigles de Carthage avaient mis sous l'éteignoir El Hadji Diouf pour sortir le Sénégal, finaliste en 2002.
Le Maroc est comme la Tunisie : une véritable machine de guerre qui peut compter sur ses 22 sélectionnés. Mercredi dernier, il n'a pas pâti de l'absence pour blessure de Talal El Karkouri, épatant en défense centrale lors des matches précédents.
«Nous avons montré beaucoup de discipline face à une équipe malienne talentueuse et le Maroc a su dicter son jeu et il méritait la victoire», a déclaré Badou Zaki.
Mais en égalisant mercredi dernier à huit minutes de la fin et en gagnant l'épreuve des tirs au but contre les «Super Eagles» du Nigeria, les Tunisiens, qui n'ont jamais goûté à une victoire à la CAN malgré deux finales et cinq demi-finales, prouvent qu'ils sont aussi sur la bonne voie...
Le «derby» Maroc-Tunisie s'annonce somptueux en finale. Car les Lions de l'Atlas cumulent la meilleure attaque et défense de la CAN 2004. La Tunisie possède, elle, un coach expérimenté en la personne de Roger Lemerre.
Les Aigles de Carthage, qui brigueront leur premier succès dans l'épreuve, et les Lions de l'Atlas, qui visent un deuxième titre, depuis celui conquis en 1976 en Ethiopie, ont damé le pion à tous les «gros bras» de l'Afrique de l'Ouest.
La sélection nationale avait dès son premier match frappé les imaginations en dominant le Nigeria d'Okocha. En quarts de finale, les Aigles de Carthage avaient mis sous l'éteignoir El Hadji Diouf pour sortir le Sénégal, finaliste en 2002.
Le Maroc est comme la Tunisie : une véritable machine de guerre qui peut compter sur ses 22 sélectionnés. Mercredi dernier, il n'a pas pâti de l'absence pour blessure de Talal El Karkouri, épatant en défense centrale lors des matches précédents.
«Nous avons montré beaucoup de discipline face à une équipe malienne talentueuse et le Maroc a su dicter son jeu et il méritait la victoire», a déclaré Badou Zaki.
Mais en égalisant mercredi dernier à huit minutes de la fin et en gagnant l'épreuve des tirs au but contre les «Super Eagles» du Nigeria, les Tunisiens, qui n'ont jamais goûté à une victoire à la CAN malgré deux finales et cinq demi-finales, prouvent qu'ils sont aussi sur la bonne voie...
Le «derby» Maroc-Tunisie s'annonce somptueux en finale. Car les Lions de l'Atlas cumulent la meilleure attaque et défense de la CAN 2004. La Tunisie possède, elle, un coach expérimenté en la personne de Roger Lemerre.
