Intervenant dans ce cadre, M. El Messari a estimé que 30 ans après la récupération des provinces du Sud, la question du Sahara a pris une autre tournure et fut entourée de circonstances spéciales.
Evoquant le communiqué du ministère des Affaires étrangères qui affirme la disponibilité sincère et entière du Maroc à négocier un statut d'autonomie viable, crédible et définitif au bénéfice de tous les habitants du Sahara marocain, M. El Messari a souligné que le Maroc a toujours oeuvré, dans le cadre de l'ONU, en vue de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable de la question du Sahara.
L'existence sur le territoire marocain de forces de la Minurso est un gage du respect par le Maroc des institutions onusiennes et de la légalité internationale, a-t-il fait remarquer.
De son côté, M. Boucetta a abordé les perspectives d'avenir de la question du Sahara soulignant qu'il s'agit là d'un conflit maroco-algérien et non d'une affaire d'autodétermination ou de décolonisation.
Il a, ensuite, donné un aperçu historique des provinces du Sud avant et au cours de l'occupation espagnole, rappelant, à cet égard, l'avis de la Cour internationale de justice à La Haye qui a reconnu que le Sahara n’a jamais été «terra-nullus» avant l’occupation espagnole et souligné l'existence de liens juridiques et d'allégeance entre les Rois du Maroc et les populations du Sahara. Le Maroc reste attaché à sa souveraineté sur ses povinces du Sud et à une solution politique de la question du Sahara, a affirmé M. Boucetta.
Evoquant le communiqué du ministère des Affaires étrangères qui affirme la disponibilité sincère et entière du Maroc à négocier un statut d'autonomie viable, crédible et définitif au bénéfice de tous les habitants du Sahara marocain, M. El Messari a souligné que le Maroc a toujours oeuvré, dans le cadre de l'ONU, en vue de parvenir à une solution juste, durable et mutuellement acceptable de la question du Sahara.
L'existence sur le territoire marocain de forces de la Minurso est un gage du respect par le Maroc des institutions onusiennes et de la légalité internationale, a-t-il fait remarquer.
De son côté, M. Boucetta a abordé les perspectives d'avenir de la question du Sahara soulignant qu'il s'agit là d'un conflit maroco-algérien et non d'une affaire d'autodétermination ou de décolonisation.
Il a, ensuite, donné un aperçu historique des provinces du Sud avant et au cours de l'occupation espagnole, rappelant, à cet égard, l'avis de la Cour internationale de justice à La Haye qui a reconnu que le Sahara n’a jamais été «terra-nullus» avant l’occupation espagnole et souligné l'existence de liens juridiques et d'allégeance entre les Rois du Maroc et les populations du Sahara. Le Maroc reste attaché à sa souveraineté sur ses povinces du Sud et à une solution politique de la question du Sahara, a affirmé M. Boucetta.
